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![]() ![]() ![]() ![]() Les titres
de journaux à propos d'un triste anniversaire sont nombreux. Je ne pouvais pas
faire preuve d'un irrespect en me dispensant de le souhaiter à mon tour.
Il y a cinq ans, une armée en marche nous avait alertés de l'arrivée d'un fléau qui allait s'abattre sur l'Algérie et sur le monde. Nous avions eu la grande imprudence de ne pas les avoir écoutés. Nous avions été inconscients car les conséquences de notre irresponsabilité ont été grandes. C'est toujours dans les moments graves qu'il faut écouter les alertes des gens prudents et compétents. Ils furent pourtant nombreux à alerter l'opinion publique du drame. Nous aurions dû les prendre au sérieux pour éviter les millions d'infectés dans le monde et des centaines de milliers dans un état qui avait frôlé la limite du fatal. Des milliards ont été engloutis pour essayer de sauver la population, les plus grands savants et laboratoires se sont épuisés à s'acharner pour suivre un chemin sans espoir. Ils avaient fait fausse route et plus grave, ils avaient persisté dans l'erreur. Le fléau a été notre punition de ne pas avoir suivi la lumière et de nous retrouver bannis sur une arche de Noé, flottant au grès des pics de la pandémie. Nous avons été punis de ne pas avoir suivi le chemin de la raison et de la science. Nous avons été présomptueux de penser que celui de la vaccination était le bon. Ils nous avaient avertis que des charlatans proposaient des vaccins fabriqués par des laboratoires assoiffés d'argent jusqu'à vouloir décimer l'humanité. Les grands laboratoires et les groupes pharmaceutiques nous ont menés vers le risque de la destruction du monde. Nous voilà maintenant devant une Algérie dévastée qui a vu ses forces vives disparaître. Elle, aussi, n'a pas écouté les voix de la raison scientifique, la vraie. Elle n'a pas voulu croire de grands professeurs nous proposant un remède miracle. Elle avait rejeté cette solution venant pourtant d'un éminent sage de la recherche, avec une barbe de druide. Elle avait choisi la vaccination générale d'une population qui allait le payer cher en survivant. La survie sera hélas la sanction des autorités de santé algériennes. L'incompris de Marseille avait prêché dans un désert de crédules. Ont été également écartés les remèdes par absorption d'eau de javel, par thérapie de la banane, de la boue des rivières sacrées et de bien d'autres solutions. Nous avons eu l'imprudence d'inoculer des vaccins mortels. Il y en a même qui dissimulaient une petite puce électronique pour nous contrôler, nous avaient dit des lanceurs d'alerte avisés. D'autres également nous avaient bien avertis qu'il y avait un risque de faire naître des enfants à trois pattes ou de faire disparaître le cheptel mondial. Ils nous l'avaient dit. Nous voilà maintenant où nous en sommes, cinq ans après, dans les conséquences de notre irresponsabilité. Et le pire est que les gouvernements continuent sur le chemin du crime collectif car ils achètent encore de ce poison mortel, les vaccins contre la Covid. L'humanité n'apprend jamais rien des leçons de ses malheurs. |
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