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Université Oran 2-Université de Florence en Italie: Une convention-cadre signée à distance pour renforcer la coopération

par K. Assia

  Une convention-cadre de coopération scientifique et culturelle vient d'être signée entre l'Université Oran 2 Mohamed Ben Ahmed et l'Université de Florence en Italie. Celle-ci a été conclue à distance entre le professeur Ahmed Chaalal et la présidente de l'Université Florence Mme Alessandra Petrucci. Cette convention porte sur la coopération et un échange scientifique et académique dans le domaine de la paléontologie entre le département des sciences de la terre de l'Université de Florence et la faculté des sciences de la terre de l'Université Oran 2 de quoi renforcer l'espace de concertation et le partenariat dans l'organisation des évènements scientifiques et les sessions académiques. Elle a également pour objectif de booster les projets de recherches communs. Ce projet porte également sur des échanges d'étudiants dans le cadre de leurs projets et de leurs stages. L'université de Florence demeure parmi les 33% des meilleures universités au monde et accueille plus de 60.000 étudiants entre étrangers et italiens avec des pôles et sièges didactiques décentrés dans plusieurs villes de la Toscane comme Prato, Emploli, Pistoia, Sesto, San Sasciano, etc. Elle comprend 12 facultés et compte 1.600 doctorants, 1.800 enseignants chercheurs et un personnel administratif et technique de 1.600 personnes. En juillet dernier, une convention de jumelage avec l'université tunisienne de Sousse portant sur la coopération dans les domaines de l'entrepreneuriat, la recherche scientifique et l'encadrement pédagogique a été signée pour un délai de 5 ans. Celle-ci vise à impliquer les deux établissements universitaires dans les activités pédagogiques et de recherche et à coopérer dans divers domaines en encourageant particulièrement l'esprit entrepreneurial en milieu universitaire et à échanger les expériences, surtout que l'Université Oran-2 a connu, ces cinq dernières années, un bond qualitatif dans ce domaine, couronné par la soutenance d'une première thèse de doctorat à l'échelle nationale, dans le cadre de l'arrêté ministériel portant sur le mécanisme «un diplôme-une startup».