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L'ERRANCE DRAMATIQUE ET SANS
FIN DES PEUPLES ARABES
À la tête de ses émules, cette faune de charognards source de manipulations et de malheurs, BHL le belliqueux champion de la politique d'ingérence, en porte étendard et « vampire » aux canines bien aiguisées, est celui qui hante le plus, le profond sommeil des dirigeants arabes « assis en tailleur » sur des gisements colossaux de gaz et de pétrole, dont la courte vue des intérêts de leurs peuples n'a jamais été plus loin que leurs nombrils, alors qu'obnubilés par l'amour du « koursi » à tout prix et par les jouissances qu'il procure chez ces potentats qui exercent leur pouvoir en toute impunité, sans souci d'alternance. Fort de ses soutiens apparents mais aussi cachés, ce sioniste haineux à l'égard de tout ce qui est arabe et musulman n'en est pas à son premier coup bas, et est à chaque fois disponible et prompt à récidiver. Si nous lui prêtons une certaine « dangerosité » d'une réputation surfaite, c'est que dans cette France de plus en plus formatée sur le risque islamique grossi à l'extrême et sur la primauté des intérêts sionistes, ses élucubrations prennent valeur de parole d'Évangile, chez ceux qui le courtisent et le cirent, comme s'il détenait la pensée infuse. Il porte déjà sur sa conscience, en marionnette agitée par ses commanditaires et en agent avéré du Mossad, une grosse part de responsabilité de ces millions de réfugiés syriens et libyens déracinés, réduits à l'errance sans but ni fin, dans l'indifférence d'une communauté européenne de plus en plus recroquevillée sur elle-même dans un silence assourdissant, après avoir laissé faire les pyromanes de tous bords qui ont agi en son nom en terre arabe, et comble de traîtrise, soutenus en cela par les pétrodollars des monarchies du Golfe et de la Presqu'île arabique. Comme il est aussi, responsable d'autant de morts enfouis sous les décombres des quartiers des villes arabes détruites par suggestion humaniste, arrimée au peu convainquant principe des « droits de l'homme » - comprendre par là, les intérêts stratégiques du complexe militaro-industriel des grandes puissances dans leurs courses effrénées de croissance et de maintien de l'emploi-, sans se soucier de l'effacement de civilisations millénaires dans le « Bilad Acham », la Mésopotamie, la Palestine, et partout ailleurs en terre d'Islam. Tout cela s'est soldé en pertes colossales pour les pays arabes, et en profits faramineux pour l'Occident et son allié Israël ! BHL DANS LE RÔLE DE STAR SANGUINAIRE AU FESTIVAL DE CANNES ! Que l'on en juge ! À peine rentré de Libye, Bernard-Henri Lévy foulait le tapis rouge du Festival de Cannes pour y présenter son nouveau film fiasco : «Le serment de Tobrouk», qui relate son action aux côtés des traitres insurgés libyens en guerre contre Mouammar Kadhafi, qui faut-il à chaque fois le rappeler, ont été reçu par Sarkozy à l'Elysée, à la demande insistante se son ami BHL. Il va sans dire que les commentaires des directeurs de rédaction et éditorialistes qui lui sont proches, furent des plus élogieux ? Si c'est ainsi, c'est que ce richissime personnage qui détient une fortune de 150 à 180 millions d'euros, qui lui vient de l'exploitation du bois précieux de Côte d'Ivoire, du Cameroun et du Gabon durant plusieurs années par sa famille, se montre très généreux à leur égard ? cf.fable du corbeau et du renard-. Et tandis que la sueur africaine irriguait généreusement son compte en banque, à quelques milliers de kilomètres de la France qui couve ses fantasmes, Bernard-Henri Lévy distribuait les leçons de morale sur la dignité humaine. Mais qui oserait dire le contraire sans s'attirer les foudres des médias et de se voir privé des principaux plateaux de télévisions, dans une France régentée par les lobbies de l'information et de la communication, au service de l'idéologie sioniste et de la politique d'Israël? Et pourtant ! Dans son Édito du 15 juin 2012, le courageux Pascal Boniface s'adressant dans une lettre ouverte aux journalistes français leur dit ceci: « ? Mes bons seigneurs, avouez quand-même que vous avez l'air malin ! Le film « Le serment de Tobrouk » n'était pas encore sorti sur les écrans, que vous célébriez les louanges de son auteur, et faisiez des comparaisons avec Malraux et Chateaubriand. Vous dressiez le portrait flatteur de l'homme qui par son engagement a changé le cours de l'histoire. Je ne reviendrai pas sur l'absence de regard critique entre le récit du documentaire et la réalité. Je l'ai fait dans un précédent papier où je pronostiquais qu'il y aurait un écart entre l'accueil des éditorialistes et celui du public. Mais je veux souligner l'empressement avec lequel vous avez rendu compte du « Serment de Tobrouk » comme s'il s'agissait d'un blockbuster hollywoodien. Ce film a en effet bénéficié d'une promotion rarement vue pour un documentaire de guerre. Il est vrai qu'il s'agit en fait d'une fiction, ce que vous avez omis de préciser? Ne commencez-vous pas à réaliser le ridicule de la situation à mettre massivement sur le devant de la scène un personnage que le public rejette tout aussi massivement et avec constance ? Le même phénomène s'était déjà produit lors de la sortie de son livre « la guerre sans l'aimer ». Ne comprenez-vous pas que cela commence à affecter votre propre crédibilité et celle des médias en général, ce qui est plus grave ? Il y a tellement de révélations et d'informations qui ont été publiées que croire encore aujourd'hui à BHL relève soit de l'incompétence, soit d'une connivence coupable. » Voilà ce que dit ce chercheur, Directeur de l'Institut de relations internationales et stratégiques (IRIS) et enseignant à l'Institut d'Études européennes de l'Université de Paris VIII, ce « F'hal » qui fait honneur à la France. Ajoutons aussi dans la série des flops de BHL, la pièce de théâtre « Hôtel d'Europe » présentée au « théâtre de l'atelier » de 563 places qu'il a choisi par mégalomanie, se sentant plus important que le Pape, et qui n'a pas drainé les foules, malgré le talent du comédien Jaques Weber. Cette pièce est un cuisant fiasco et ce, même avec la présence de deux Présidents et d'un premier Ministre, en l'occurrence : Hollande, Sarkozy et Valls ! Cette pièce, qui conte la fin de journée, fort morose, d'un écrivain justement occupé à préparer un discours sur le sort du continent, a quitté l'affiche du théâtre de l'Atelier plus tôt que prévu. Rude coup pour ce néo-philosophe, qui avait déjà connu la même mésaventure, et dans le même théâtre, en 1992, avec sa première expérience de dramaturge, « Le Jugement dernier ». C'est dire, qu'au-delà du rôle d'étendard que lui fait jouer sa secte sioniste, il ne peut tromper que ceux qui n'ont jamais porté dans leur ADN, une once de bravoure et qui payent leur lâcheté en bases militaires et en armement financés au profit du rêve israélien, pensant de la sorte se prémunir en gagnant les grâces d'Israël et de ses soutiens, et bien évidemment, au détriment des intérêts de leurs peuples ! À noter par ailleurs, que dans son livre « De la guerre en philosophie » paru chez Grasset, notre faux philosophe mercenaire a été pris en flagrant délit de mensonge. Dans ce livre, et pour s'en prendre au vrai philosophe allemand, Emmanuel Kant, BHL cite un chercheur, un certain Jean-Baptiste Botul qui n'a jamais existé. Ce n'était là qu'un canular inventé, par un journaliste du Canard Enchaîné. Ce qui donne toute la dimension de la culture et du savoir de BHL piégé comme un novice. Et s'il continue à sévir dans le monde de l'édition, c'est qu'il a pour lui des réseaux aux ramifications plus importantes que les tentacules d'une pieuvre. Ces réseaux le maintiennent au-devant de la scène pour leur cause. À ce sujet, Dieudonné, l'humoriste, résume bien la situation dans un entretien qu'il a accordé au quotidien suisse «24 heures»: «Bernard-Henri Lévy soutient comme beaucoup de «penseurs» un mensonge politique monstre, assis sur une escroquerie qui se sert du drame de la shoah. En France, la domination des sionistes est objective: ils possèdent des réseaux extrêmement puissants.» Tout est dit ! Oui ! Il faut croire que le pays de l'esprit gaullien d'indépendance de la France vis-à-vis de l'OTAN, des USA et de la politique « arrogante » d'Israël a bien changé ! L'aveu fait par Bernard-Henri Lévy à la Convention nationale du CRIF à propos de la Libye, est significatif tant son alignement sur Israël est clair : « J'ai porté en étendard ma fidélité à mon nom et ma fidélité au sionisme et à Israël [?] C'est en tant que juif que j'ai participé à cette aventure politique, que j'ai contribué à définir des fronts militants, que j'ai contribué à élaborer pour mon pays et pour un autre pays, une stratégie et des tactiques ... » Mieux encore, BHL le subversif persiste et signe. Il reconnaît l'implication d'Israël dans l'aventure libyenne et il a supplié le locataire de l'Elysée de refaire la même expédition cette fois-ci en Syrie, en s'associant à l'ex Ministre des affaires étrangères Laurent Fabius, cet autre sioniste qui en enragé d'anti Assad, à montré toute sa hargne et sa détermination à détruire l'État syrien, pour se retrouver par la suite à la tête de cette auguste institution française : le Conseil Constitutionnel. Cela pourrait être utile d'occuper pareille place, qui sait un jour, devait-il se dire ! BHL martelait dans son appel au président Hollande, qu'il est aussi important de sauver le peuple syrien que de sauver l'euro. Simple question de chroniqueur quelque peu curieux, mais surtout inquiet pour son pays: qui parmi nous aurait marqué la même détermination pour les intérêts de l'Algérie par les temps qui cours, caractérisés par une bousculade au sommet pour l'accès au pouvoir, juste pour la jouissance ? L'amour de la patrie est devenu de nos jours, incompatible avec les intérêts des clans et des individus, et le serment fait aux martyrs prend valeur d'un attachement ringard qui ne permet pas l'accès à la double nationalité. Oui, c'est cela le plus triste, et à la fois le plus inquiétant ! Alors, les dirigeants arabes cherchent à plaire à ceux qui les ont mis dans leur ligne de mire, à ménager leurs susceptibilités, à se présenter bien souvent comme les défenseurs et les sous-traitants de leurs intérêts, au lieu de faire le cheminement inverse qui est celui du rapprochement avec leurs peuples en pratiquant une politique d'éveil qui tend à les unir et à les souder face au danger qui les guette. Oui ! Sans être grand clerc ou esprit alarmiste, ce sinistre personnage cherche cette fois-ci à s'approcher de l'Algérie qu'il ne désespère pas de la voir tomber dans l'escarcelle de l'Occident et rejoindre ainsi la liste de pays soumis comme l'est la Lybie, grâce à ses précieux conseils « d'homme humaniste ». À s'y méprendre, il faut dire que le soutien qu'apporte BHL non pas comme ami mais en agent du Mossad, à celui que toute la Kabylie des braves et des authentiques martyrs renie pour avoir vendu son âme au diable, et dont il est de bon usage de civilité d'en taire le nom, est certainement de mauvais augure. Oui ! L'histoire retiendra que si « le loup BHL » à la chemise blanche teintée de sang frais syrien et libyen se rapproche de la « bergerie » Algérie, c'est que le berger honni par la Kabylie vaillante du Djurdjura de la grande résistante Lalla Fatma N'soumer, de Aït-Ahmed, de Amirouche, de Abane Ramdane, de Krim Belkacem, et de bien d'autres « lions » de cette authentique région des braves qu'il n'honore point, s'essaye inlassablement à lui entrouvrir la porte d'accès ? Mais ne dit-on pas chez-nous : « Li yahseb ouahdah ichitlah ! » Qu'il sache que : qui s'y frotte à l'Algérie des braves comme il en existe encore d'Est en Ouest et du Nord au Sud, comme d'aucuns ont essayé de le faire au M'zab, s'y piquera certainement ? À bon entendeur salut, à toi le sioniste « khoubiz bladi » que nos compatriotes de Béni-Saf pas très vieux, te connaissent très bien ! Je te dirai ? en paraphrasant le Grand Jaques Brel- « même si tu te crois mèche, en réalité tu n'es que suif », pour nous les algériens de la noble lignée de l'Emir Abdelkader. Et j'ajouterai, que ceux qui savent reconnaître le bon grain de l'ivraie ne te reconnaissent aucun talent, pour avoir attiré notre attention sur tous tes flops ! Merci à eux, pour t'avoir démasqué ! Maudit soit le jour de ta naissance, et celles de tes semblables en oiseaux de mauvais augure! « Lahla irabhek ya ould el h'ram » ! MISE EN SCÈNE SANS CASTING À HOLLYWOOD ! N'ayant pas encore fini avec ce play boy des «guerres humanistes» des gens dits «civilisés», que nous voici maintenant avec une célèbre série télévisée américaine qui parie sur une guerre civile en Algérie. En effet, le prochain épisode de la série US «Madam Secretary» nous apprend Google, concernera l'Algérie ! Bien sûr pas en bien, comme il fallait s'en douter de la part du pays de «l'oncle Sam», cet autre méga va-t-en-guerre en chef étoilé, qui ne perd aucune opportunité pour booster son industrie d'armement pour le bien de la reprise de sa croissance économique qu'il mesure en emplois créés, et nous arabes, en millions de morts et de réfugiés et en centaines de milliers d'infrastructures détruites, sinon rayées de la carte. À en croire le site «Cartermatt» qui révèle ce scoop, le scénario présentera une Algérie «au bord de la guerre civile». La série en question relate les aventures politiques de la Secrétaire d'État des États-Unis, Elizabeth Mc Cord, pressentie pour le poste de Vice-présidente ? rien d'étonnant, s'il s'agissait de Hilary Clinton, dont le mari portait la kippa, ce jour là aux obsèques de Shimon Pérès-.Dans le cadre de ses fonctions, elle s'occupe de la diplomatie américaine et se retrouve confrontée à une situation trouble en Afrique du Nord. Le synopsis du prochain épisode, dont la sortie est prévue en octobre 2016, est clair : « Avec l'Algérie au bord de la guerre civile » Elizabeth négocie délicatement un changement de régime. Mais son plan tourne mal lorsque Roy Curtis (personnage), homme de confiance et ambassadeur US en Algérie, meurt de manière inattendue. Dans le même temps, Henry (autre personnage) se bat pour sauver des antiquités religieuses en Algérie ? j'ai pensé qu'il pourrait s'agir de celles des basiliques de Saint-Augustin à Annaba et de Notre-Dame d'Afrique sur les hauteurs d'Alger-, lorsqu'il découvre que « Hizb al Shahid » - encore une autre excroissance et trouvaille intégriste diabolique fantasmée comme toutes celles conçues au préalable dans les laboratoires de la CIA -. Cela sonne comme un aveu pour tous les naïfs qui n'ont pas encore compris le rôle moteur joué par les « yankees » dans la misère et la déchéance des peuples arabes et musulmans, en sous-traitants de l'État Hébreu. Oui ! Plus que le scénario inquiétant, c'est le choix même de l'Algérie qui interpelle. Peu importe que ce ne soit là qu'une fiction cinématographique, tout au moins espérons-le, nous qui en avons assez de vivre le marasme de notre quotidien et sommes dans l'incertitude du lendemain ! L'essentiel est de considérer que c'est là une suggestion fantasmée qui trouve ses ingrédients dans ce que nous livrons au quotidien, comme image d'un pays qui donne cette apparence d'une entité divisée à cause de nos « chamailleries », laissant penser à ceux qui ne maîtrisent pas les mécanismes du fonctionnement de notre société, que c'est là un pays qui part à la dérive. TRILOGIE TRAGIQUE ET DISQUALIFIANTE ! Sans attendre qu'on vienne nous le dire, il faut reconnaître que cette situation des plus inquiétantes qui nous colle à la peau, est symbolisée par un coefficient « TRI » des plus inadmissibles de notre mode désuet de gouvernance. « T » comme triche et trabendisme « R » comme rapine, « I » comme impunité sont ces trois écueils d'une société algérienne qui a quitté les rails balisés par des valeurs jadis respectées et très rarement transgressées, parce que constituant le ciment du vivre-ensemble, qu'il faudra bannir à jamais. C'est parce que nous n'avons pas su garder précieusement ce trésor de référents hérités, d'une société d'antan : régulée par le travail inspirée par la productivité, le mérite, la probité et le respect de la chose publique, que notre société est devenue cette entité désemparée, sans repères ni perspectives, et par conséquent fragilisée dans son existence? À croire que nous sommes en mode pilotage automatique, mais sans plan de vol ! Cela ne rassure pas nos concitoyennes et nos concitoyens qui ne perçoivent aucune traçabilité dans la gouvernance déplorable qui leur est servie? Alors oui ! Tant que nous n'aurons pas compris que c'est par nos comportements ? gouvernants et citoyens réunis - que nous prêtons le flanc à toutes les supputations même les plus extravagantes, il faut admettre que nous sommes bien en danger ! Il s'agit pour nous de chercher à serrer les rangs pour constituer ce rempart à toute tentative d'ingérence extérieure dans nos problèmes internes. Nous devons apprendre à nous assumer en tant que gouvernants au service exclusif de leur peuple, et en tant que citoyennes et citoyens ayant des droits, mais aussi et surtout, des obligations, en faisant de la moralisation de la vie publique à tous les échelons et de l'égalité des chances à travers l'immensité de notre territoire, plus qu'un pari, un défi à relever afin de consolider la cohésion sociale et l'unité nationale comme impératifs existentiels ! Nous avons toutes et tous, notre part du bonheur à portée de la main ! Il suffit juste de travailler de vrai, c'est-à-dire à faire perler la sueur de nos fronts, pour rendre cela possible, à travers l'émergence d'un État fort et juste. Fixons-nous un cap et un horizon et entreprenons toutes les réformes qui s'imposent aux plans politique, économique, social et culturel pour faire que ce projet d'union nationale, puisse relever du domaine du possible ! Faisons le avec notre diaspora que nous avons longtemps négligée ! Oui ! Pour que l'Algérie puisse se porter mieux, nous avons surtout besoin de se retrousser les manches et d'être dans l'action, plutôt que dans le bavardage et la division, que nos ennemis sauront exploiter le moment opportun, si c'est nous qui leur offrant cette possibilité ! Chacun de nous devra s'identifier à l'Algérie par ce qu'elle lui a donné ? formation, santé, emploi- et par son attachement à la terre de ses ancêtres ! Dans le nouvel ordre mondial transcendant, en somme cette mécanique globale diabolique et injuste, nôtre pays ne doit plus être perçu que comme des des puits de gaz et de pétrole, ou comme une entité affabulée d'un drapeau, et d'un vague souvenir de décolonisation ! La mobilisation face au danger qui menace notre intégrité territoriale est aussi l'affaire du peuple, dès lors qu'il perçoit chez ses gouvernants le souci de l'exemplarité dans tout ce qu'ils entreprennent. Alors ! À quand une « télé » publique d'éveil citoyen en lieu et place des feuilletons à l'eau de rose, et celui de « Harim Soltane » de l'effritement et de la décadence de l'empire ottoman sur les cendres duquel, ceux qui réfléchissent à l'avenir de leur peuple, espèrent ériger le « Grand Israël » ! Citoyennes et citoyens, réveillez-vous pour construire ensemble, une Algérie unie et solidaire dans ses diversités plurielles, et qu'aucune force aussi puissante soit-elle, ne pourra déstabiliser lorsque le peuple sera uni pour y faire face! *Professeur |