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Après cette parenthèse
polémologique, reprenons le fil de notre analyse sur le factice mais fructueuse
vaccination à base de produits commerciaux ARN-m. Pour preuve de l'inefficacité
des vaccins contre le coronavirus, la publication d'une étude israélienne dans
Science et Magazine. Selon Science Magazine parue le 26 août 2021, relayant une
étude effectuée en Israël, être contaminé par le Covid-19 confère une immunité
plus grande qu'un vaccin. En effet, la protection immunitaire naturelle
développée après l'infection par le Covid est 13 fois
plus efficace contre le variant Delta que l'administration du vaccin Pfizer.
Autrement dit, le système immunitaire humain est plus puissant pour résister au
variant Delta, selon cette étude israélienne. « Les données récemment publiées
montrent que les personnes qui ont déjà eu une infection par le SRAS-CoV-2
étaient beaucoup moins susceptibles que les personnes vaccinées et jamais
infectées d'obtenir Delta, d'en développer des symptômes ou d'être
hospitalisées avec un Covid-19 grave », rapportait Science Magazine.
Selon le magazine, « Il s'agit de la plus grande étude d'observation dans le monde réel à ce jour pour comparer l'immunité naturelle et induite par le vaccin au SRAS-CoV-2». « Cette analyse a démontré que l'immunité naturelle offre une protection plus durable et plus forte contre les infections, les maladies symptomatiques et les hospitalisations dues à la variante Delta », avaient déclaré les chercheurs israéliens. Néanmoins, il convient de souligner que l'étude avait également montré que toute protection est limitée dans le temps. La protection offerte par l'infection naturelle diminue au fil du temps, tout comme la protection offerte par les vaccins. Tout comme les virus, au fil du temps, perdent leur virulence, c'est-à-dire leur contagiosité et leur létalité diminuent considérablement. Comme on le sait, un virus est toujours en mutation. C'est sa nature. C'est une loi de l'évolution. Qui plus est, le virus n'a pas intérêt à tuer son hôte car, en le tuant, il disparaît également. En tout état de cause, l'homme est porteur d'anticorps, qui sont la réponse immunitaire aux antigènes des différentes souches d'un virus. Quand la santé du capital prime celle de l'être humain, l'injection de manipulation scientifique, administrée à haute dose dans le corps social, devient la norme. Tel est le contexte pandémique actuel financièrement instrumentalisé par les multinationales du médicament. Alors que les vaccins ARN-m sont toujours en phase d'essai clinique, devant leur échec patent à enrayer le virus, notamment contre le variant Omicron et ses dérivés, les laboratoires proposent d'administrer une quatrième (cinquième dans certains pays abonnés aux vaccins ARN-m de Pfizer) dose. À ce stade expérimental, avec ces vaccins ARN-m, le seul effet bénéfique concrètement observé est d'ordre financier. Le chiffre d'affaires de l'entreprise américaine Pfizer a bondi de 95 % en 2021, atteignant 81,3 milliards de dollars, et dégageant 22 milliards de bénéfices. BioNTech : 19 milliards de chiffres d'affaires et 10 milliards de bénéfices. Moderdna : 20 milliards de chiffres d'affaires et 12 milliards de bénéfices. À eux trois, ces trois groupes pharmaceutiques ont réalisé 65.000 dollars de bénéfices par minute. Avec l'augmentation du prix de vente décidée, la quatrième injection est assurée de croître de 50% les bénéfices des laboratoires pharmaceutiques. Pourtant, initialement, les marchands pharmaceutiques affirmaient qu'avec l'administration de deux doses de vaccin la protection serait assurée à plus de 90% pour une très longue durée. Après seulement quelques mois, on avait découvert que leur efficacité était d'à peine 39%. Pire : les deux doses ne protègeraient de la maladie qu'une petite fraction des vaccinés, et pour seulement quatre mois au plus. Malgré cet échec vaccinal, sans s'appuyer sur aucune étude clinique, les marchands des laboratoires pharmaceutiques soutiennent maintenant qu'une quatrième (cinquième) dose doit être administrée pour garantir une meilleure protection (sic). Comment croire qu'une quatrième injection serait plus efficace que les trois premières ? Exhibé comme le remède miracle contre la Covid-19, aujourd'hui la vaccination peut être considérée comme un échec médical cuisant. En effet, la vaccination contre le coronavirus était présentée comme le « nouveau Graal » de la médecine moderne, en lieu et place de la thérapeutique médicale curative et des traitements médicamenteux prophylactiques, considérés désormais comme des méthodes moyenâgeuses en matière de soins. Des « fatwas gouvernementales » avaient même été édictées contre des médecins désireux, dans le respect de leur serment d'Hippocrate, de soigner scientifiquement leurs patients ou prescrire quelque traitement médicamenteux antiviral. Seule la « potion magique vaccinale » est censée guérir le malade atteint du Covid-19. Voire redonner des forces à l'économie malmenée par le virus, et non pas par les mesures politiques destructrices décrétées par les gouvernements. L'injection de deux doses d'ARN-m allait permettre aux « citoyens » de recouvrer leur liberté longtemps confinée, mise sous assignation de résidence, et à la société de renouer avec son fonctionnement normalisé. Aujourd'hui, après deux années d'expérimentation, malgré l'injection de trois ou quatre, la vaccination n'a pas tenu ses promesses. Elle a laissé place à la méfiance, la défiance. Depuis quelques semaines, selon les médias, les pays occidentaux dont 80% de la population adulte sont pourtant vaccinés enregistrent une augmentation de cas. Selon ces organes gouvernementalement informés, on assiste à une nouvelle flambée de contaminations, observée notamment au Portugal. La majorité des personnes contaminées est pourtant totalement vaccinée. Certains pays, outre l'injection d'une quatrième dose de l'inefficace vaccin ARN-m, envisageraient de rétablir les mesures restrictives « pour soi-disant juguler la propagation du virus ». D'aucuns, comme au temps du début de la pandémie ou actuellement en Chine, suggèrent d'instaurer un nouveau confinement, mesure moyenâgeuse par excellence, comme la définit le professeur Éric Raoult. Ainsi, dans ces pays, malgré une couverture « vaccinale » de plus de 80% de la population adulte, sévit toujours une flambée de cas. La vaccination de la majorité de ces populations n'a permis ni de diminuer le rythme de la propagation du virus, ni de réduire les formes graves nécessitant la réanimation. Sans aucun doute, les vaccins ARN-m ne protègent ni de la contamination, ni de l'hospitalisation, ni du décès. Ni de la transmission du virus. Au contraire, ces vaccins faciliteraient l'augmentation des anticorps facilitants, comme on l'a souligné précédemment. En effet, en raison de la multiplication de la vaccination, les successifs variants deviennent résistants à tous les vaccins, mais pas à l'immunité naturelle, du fait de l'accumulation des taux d'anticorps facilitants provoqués par les injections répétées des doses de vaccins ARN-m. Cette diminution des défenses immunitaires se traduit par une dangerosité accrue pour les vaccinés et un portage viral toujours plus fort. Selon les spécialistes honnêtes, ce sont bien les vaccins qui favorisent ces mutations, contrairement au discours gouvernemental accusant les non-vaccinés d'être responsables de la propagation de la pandémie dans les pays pourtant massivement vaccinés. Comme le recommandent les experts, notamment japonais, dans l'attente de l'adaptation du vaccin au nouveau variant, pour éviter les mutations générées par les vaccinations répétitives, il serait plus prudent de favoriser une autre médication. Effectivement, comme le prouve l'expérience actuelle, la multiplication des injections avec des vaccins fondés sur la souche originelle du virus n'a aucune utilité médicale, sinon d'enrichir les laboratoires pharmaceutiques. Or, en dépit de l'échec de la vaccination, les laboratoires pharmaceutiques, au lieu d'adapter leur vaccin au variant Omicron (ou ses sous-variants), incitent les populations à l'injection d'une quatrième dose avec les mêmes vaccins élaborés pour la primitive souche du coronavirus apparue fin 2019. Selon les auteurs de l'étude japonaise, les injections répétées de vaccins à ARN-m multiplieraient les anticorps facilitants, conduisant inéluctablement à des infections de formes sévères. En effet, avec chaque nouvelle injection, en raison de la multiplication des anticorps facilitants, les copies du virus augmenteraient la charge virale des vaccinés, contrairement aux non-vaccinés. Devant le rebond des contaminations, statistiquement fabriqué, les gouvernants s'apprêteraient, suivant les conseils pécuniairement avisés de Pfizer, à ordonner, dans une fuite en avant vaccinale, la généralisation de la quatrième injection. Comment croire que cette quatrième injection serait plus efficace que les trois premières ? Pour quel motif les gouvernants des pays atlantistes, notamment la France, incitent-ils à ce rappel sans aucun argument scientifique ni essai clinique ? Par ailleurs, curieusement, depuis l'apparition de la pandémie, au lendemain de chaque levée des restrictions, de chaque déconfinement, après quelques semaines de « Liberté » recouvrée, certains scientifiques stipendiés interviennent dans les médias pour préparer psychologiquement la population à une énième vague de contaminations provoquée par le surgissement d'un nouveau variant (la propagation médiatique de la cinquième vague a déjà été enclenchée, notamment au Portugal). Une chose est sûre : la pandémie n'est pas près de s'arrêter. Ou plutôt les gouvernants ne sont pas disposés de circonscrire l'opportune « pandémie fictionnelle », ce feuilleton viral interminable à rebondissements hystériques invariablement identiques, dont le scénario machiavélique est conçu dans les coulisses des pouvoirs dominants. De toute évidence, l'imposture sanitaire n'est pas près de finir de contaminer notre vie quotidienne, de s'arrêter en si bon chemin tant que l'agenda des puissants ne sera pas rempli. Jusqu'à présent, on nous affirmait que, pour reprendre une vie normale, il faudrait que la majorité de la population ait ses deux doses. Puis trois doses. Actuellement, avec trois doses déjà injectées, 80% des personnes ont un schéma vaccinal complet. Or, avec l'annonce du rappel d'une quatrième dose obligatoire, « afin de bénéficier d'une meilleure protection » selon la rhétorique propagandiste usitée, le schéma complet vaccinal à trois doses deviendrait de facto caduc, si les gouvernements réinstauraient le Pass vaccinal. En vérité, le schéma vaccinal ne sera jamais complet du fait de l'imposition d'une quatrième, cinquième, sixième... dose. Et en raison des nouveaux variants fabriqués par les vaccins ARN-m. Au grand bénéfice des laboratoires pharmaceutiques. Par ailleurs, comment expliquer la faiblesse du nombre de décès dans ces deux continents, l'Asie et l'Afrique ? Par l'innocuité du coronavirus ? Comment interpréter la surmortalité du Covid-19 officiellement enregistrée par les États occidentaux et leurs pays satellites ? Par la surestimation du nombre de décès attribués au Covid-19, surtout quand on apprend que plus de 99% des morts du virus étaient atteints d'une autre maladie grave, de comorbidité ? Comment analyser cette disparité de la mortalité devant ce virus à géographie variable ? À croire que ce virus mute en fonction des États, s'embrase au gré des orientations politiques et économiques des dirigeants, tue statistiquement selon la volonté des gouvernements ! |
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