L'armée sioniste n'est pas près d'arrêter le désastre. En élargissant son déploiement meurtrier au Yémen et au Liban, elle ne compte pas stopper le désastre avec une liste qui s'allonge sans fin portant déjà sur près de 40.000 morts palestiniens. La population de Ghaza déracinée, vouée à l'errance, à la famine et aux maladies est assassinée à grands feux dans l'intention de la faire disparaître totalement.

Le Parlement israélien vient de confirmer l'officialité du refus de Tel-Aviv d'entériner définitivement ce que le monde entier réclamait en l'occurrence la reconnaissance d'un Etat palestinien. Cela faisant, la certification est d'autant plus réelle qu'un blanc-seing est accordé à la horde militaire sioniste d'étendre son agression à toute la région. Les raids aveugles contre le Yémen en sont la confirmation d'une volonté de destruction qui augure d'une catastrophe avec des ondes de choc qui toucheront le monde entier.

Le détroit d'Ormuz, déjà en forte ébullition présage des catastrophes et des drames outrageusement délocalisés qui atteindront l'ensemble des continents. L'Occident et le reste ont bien raison de s'inquiéter et de se recroqueviller sur eux-mêmes pour tenter de se prémunir contre les effets catastrophiques induits par la sauvagerie sioniste. La déraison de Netanyahou et de ses semblables a atteint un degré tel qu'elle laissera planer des odeurs de poudre sur le monde entier.

Les menaces des rebelles houtis yéménites ne sont pas à prendre à la légère. Leur engagement a déjà donné un avant-goût sur les conséquences économiques qu'il a engendrées. Et tout laisse à penser que ce n'est que l'annonce d'une déflagration régionale dont l'économie mondiale, déjà malmenée, aura à en subir les effets.

La mer Rouge n'a jamais autant mérité son nom. Le drame que le sionisme projette est que sa couleur déborde maintenant sur le monde entier.