Hier, lors du premier jour du baccalauréat, les candidats étaient unanimes que le sujet de langue arabe, avec lequel ils ont débuté les épreuves, était abordable pour tous les candidats, y compris ceux des filières littéraires. Les candidats, rencontrés hier à la sortie du lycée Tayeb Mehadji à Maraval, centre d'examen de la filière littéraire dont le coefficient est fixé à 5, étaient plus ou moins rassurés. « J'ai très bien travaillé. Le sujet de l'arabe était abordable », dira un candidat. En effet, le coup d'envoi des épreuves du Bac a été donné hier à partir du lycée Omar El Mokhtar au quartier Akid Lotfi, en présence du wali. Le coup d'envoi des épreuves a été donné vers 8h30 dans l'ensemble des centres d'examen. Une heure avant, les candidats ont commencé à affluer vers les centres. Certains étaient accompagnés de leurs proches. Les candidats étaient visiblement stressés, ainsi que leurs parents, en se rendant dans les centres d'examen à Oran. À la sortie de l'épreuve de langue arabe, ils ont exprimé leur satisfaction, affirmant que les sujets proposés correspondaient aux programmes étudiés et que ceux qui s'étaient bien préparés pouvaient les aborder facilement. Pour le premier jour, coïncidant avec le 9 juin 2024, toutes les branches ont entamé les épreuves du baccalauréat par la langue arabe et l'éducation islamique. Sans compter les branches de gestion et économie, qui ont passé l'épreuve de droit.

A Oran, près de 31.400 candidats ont été répartis sur 100 centres d'examen. Les épreuves du deuxième jour seront communes à tous les élèves, avec les matières des mathématiques et de la langue anglaise.