Envoyer à un ami |
Version à imprimer |
Version en PDF
En d'autres termes, le
public, les patients et leurs familles ne sont pas informés sur ce que
l'industrie pharmaceutique et la médecine psychiatrique connaissent depuis
longtemps.
Depuis plusieurs décennies que l'industrie pharmaceutique et la psychiatrie gardent toujours la population dans l'ignorance aux sujets des torts causés par l'introduction des psychotropes sur le marché, parce que pareille connaissance aurait pu dégonfler le ballon qui était devenu une vraie planche à billets pour les 2 parties. Le silence ahurissant de l'association américaine de psychiatrie (APA) ne fut rompu que récemment après que des poursuites engagées sur le Risperdal (aux effets directes de Gynécomasties et lobotomie chimique (destruction du lobe frontale)), pour avoir négligé d'informer les patients. Le risque de faire un syndrome neuroleptique grave fut aussi largement ignoré, mais on estime à 2 millions de morts à travers le monde sur une période de 20 ans et 1,8 million auraient pu survivre si les médecins avaient été prévenus de ce problème. Idem pour l'Agence britannique du médicament n'a rien dit de la manière avec laquelle le médicament rispéridone agit sur l'humeur, l'attention, la clarté des idées, la mémoire, la vitesse mentale, la réactivité émotive, la motivation, la créativité et toute autre qualité intellectuelle. Véritable entreprise de destruction mentale de l'individu. Un désastre qui continu. Les neuroleptiques, médicaments utilisés dans les troubles psychiatriques sévères comme la schizophrénie, ont malheureusement des effets directs et secondaires, dont la dystonie. Celle-ci peut apparaitre dès la prise du médicament (dans des formes parfois spectaculaires mais transitoires) mais elle se déclare souvent que des mois ou des années plus tard. Les psychotropes utilisés en général en psychiatrie ne fonctionnent pas en corrigeant quelque chose d'anormal dans le cerveau car il n'existe aucun test qui affirme ou infirme ex ante qu'il y a un déséquilibre chimique. C'est pourquoi les psychiatres ne veulent pas prélever du sang ou effectuer des robinets spinaux pour déterminer la présence de déséquilibre biochimiques chez les patients. Il a été démontré cliniquement que les psychotropes affectent non seulement les humains mais aussi les animaux, pour ces derniers les résultats ont été révélés après autopsie. Il existe tout une panoplie d'effets directs, secondaires parfois durables après la prise des psychotropes : la maladie de Parkinson (Haldol, Reglan, Risperdal, Orap, Zyprexa, etc.). Les hypotensions artérielles (provoquées par effet alpha bloquant par la prise du Leponex entre autres) à l'origine des syncopes, des troubles de la régulation thermique, hypothermie et hyperthermie, convulsions, constipations voir perforation digestive. Les gynécomasties (apparition de seins), troubles menstruels et sexuels, trouble de la croissance chez l'enfant, troubles cardiaques ventriculaires graves, etc. incontinences urinaires, troubles de la déglutition exposant à des fausses routes, etc. idées et comportements suicidaires ; apathie, sensations vertigineuses, prises de poids, hyperlipidémies, hyperglycémies et diabètes, etc. Syndrome malin des neuroleptiques (SMN) est une réaction grave, pouvant engager le pronostic vital. Les lésions cérébrales causées par les médicaments psychotropes et neuroleptiques se manifestent par un rétrécissement vu dans les scanners du cerveau et études d'autopsie. En réponse aux défenseurs de l'industrie pharmaceutique, des études montrent que les neuroleptiques conduisent à des changements similaires du cerveau chez les animaux. EPISODE PSYCHOTIQUE L'un des grands torts que la psychiatrie cause à ses patients c'est qu'elle élude et shunte la durée requise nécessaire de 6 mois pour établir le diagnostic sans recourir à aucun médicament. Il est connu que la durée moyenne pour qu'un psychiatre vous administre un psychotrope ne dépasse guère 3 minutes ! Cette durée minimum de 06 mois dite épisode psychotique va permettre à la psychothérapie d'agir sans que le patient absorbe des médicaments. L'épisode psychotique de 06 mois a permis d'obtenir de remarquables résultats en Europe du Nord ou plus de 90% des malades furent sauvés de la prise médicamenteuse. Il faut ajouter aussi, rares sont les psychiatres qui ont eu une formation et ont été entrainés à la psychothérapie. La psychothérapie est le contraire de la psychiatrie. Elle enseigne aux gens comment surmonter les défis auxquels ils se trouvent confrontés plutôt de les engourdir avec des médicaments à l'effet dévastateur sur le cerveau et le corps humains. Un bon psychothérapeute peut parfois atteindre des résultats remarquables qui peuvent durer toute une vie sans que son patient recoure aux médicaments. L'argent ainsi économisé se chiffre en milliards $ de médicaments onéreux, seule une petite partie de ces dépenses peut-être utilisée pour la psychothérapie nonobstant les 2 énormes avantages que celle-ci procurera, uno des améliorations sensibles de la santé mentale et secundo sauvera des millions de patients de l'empoisonnement par les psychotropes. Les psychiatres qui prescrivent des médicaments gagnent beaucoup plus que ceux qui font de la psychothérapie, nous devrons neutraliser cet incitatif en payant beaucoup mieux pour de la psychothérapie. Le traitement central de la psychothérapie est la thérapie familiale de groupe accompagnée par un traitement psychosocial dont l'objectif n'était pas tant les symptômes psychotiques que la préservation de l'espoir d'en discuter des succès obtenus par les patients afin de les aider à améliorer le contrôle sur leur vie. Pour un retour à une vie normale du patient, il faut que les mentors de la psychothérapie proposent un modèle de soutien psycho familial et psycho social ainsi que de placement individuel, une manière très précisément définie de soutenir au travail où à l'école le patient. Cette méthode a eu des effets spectaculaires en Europe du Nord où 90% des patients furent guéris selon une étude médicale nordique. Les 4 entités complices à l'origine de l'empoisonnement des patients si ceux-ci se retrouvent exposés par malheur à une consultation psychiatrique: 1- Les laboratoires pharmaceutiques qui vendent sur le marché de véritables poisons ont pour seul souci le profit financier qu'ils réussissent à entretenir par l'argent, une corruption structurelle dans toutes les institutions de tutelle des médicaments des Etats, dite timidement conflit d'intérêt (à l'exemple du lobbying pharmaceutique parlementaire et du ministère de la santé français, pays le plus corrompu au monde par les lobbies pharmaceutiques), plus particulièrement au niveau de la corporation des psychiatres à l'exemple de Marcel Rufo qui depuis 40 ans propage un discours charlatanesque qui n'a aucune assise scientifique, ni qualifiable ni quantifiable et a réussi à endormir, embaumé et aliéné une partie de l'opinion publique crédule, même les medias ce sont rendus compte au point de ne plus l'inviter dans leurs plateaux. Le véritable business de Marcel Rufo, dont il ne parle jamais, qu'il cache, consiste à prescrire des médicaments dangereux avec ses assistants de façon massive, dont l'inoculation de ces poisons a détruit de façon irréversible des dizaines de milliers d'adolescents en France, pour le seul bonheur des bigs pharma car personne n'a enquêté sur le conflit d'intérêt entre Marcel Rufo et les sociétés pharmaceutiques (le marché des psychotropes et antidépresseurs en France représente 35% du montant du total du marché du médicament en France). Preuve étant Marcel Rufo ne parle jamais du sevrage médicamenteux qu'il faut obligatoirement mettre en œuvre pour sauver les adolescents de l'addiction aux psychotropes et aux antidépresseurs et assurer de façon efficace cette «sortie du médicament»). 2- Le défaut de surveillance et l'absence contrôle des pouvoirs publics entachés par la complaisance et par une très forte propension à la corruption et au conflit d'intérêt. (Refusent de confectionner des lois et une réglementation intègre pour brider et arrêter cette hécatombe de destructions des personnes). 3- Les psychiatres formatés, très peu sont formés à la psychothérapie et ont pour unique souci de se débarrasser du patient en l'empoisonnant par les psychotropes (les psychiatres ne sont formés que pour prescrire des drogues). Les psychiatres ne recourent jamais à l'empathie et à la psychothérapie et doivent être tenus et astreints à observer durant 6 mois à 12 mois pour étudier l'évolution d'un épisode psychotique, période durant laquelle 90% des patients guérissent sans qu'aucun médicament ne leur soit prescrit. 4- Le défaut de combativité, l'apathie et l'ignorance manifeste des familles des patients, enchainées par les difficultés de la vie, dévitalisées par l'emprise des Etats, fatiguées, soumises et voir décérébrées ne veulent pas populariser et mettre sur la voie publique ce grave problème des psychotropes et neuroleptiques à l'origine des effets directs dévastateurs sur les patients. Sans parler du black out médiatique entre les mains des puissances de l'argent (Blackrocks et Vanguard). Les psychotropes provoquent par effet direct (et non secondaire) la maladie qu'ils sont censés guérir. *Dr en sciences physiques et DEA en économie |
|