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La première phase de l'étude relative à l'aménagement
et au développement des zones frontalières de la wilaya de Souk Ahras a été présentée dimanche à l'initiative de la
Direction générale de l'aménagement et de l'attractivité du territoire du
ministère de l'Intérieur, des Collectivités Locales et de l'Aménagement du
Territoire. Dans son intervention durant la rencontre de deux
jours tenue à la salle des conférences Miloud-Tahri
en présence des chefs de daïras et présidents des Assemblées Populaires
Communales (APC) des cinq communes frontalières de la wilaya, le directeur
général de l'aménagement et de l'attractivité du territoire du ministère de
l'Intérieur, Madjid Saâda, a indiqué que cette étude
dégagera "le plan d'un programme opérationnel" dont la mise en œuvre
permettra d'améliorer les conditions de vie des habitants et de structurer les
capacités endogènes de développement de la wilaya. Cette étude
"comprend trois étapes portant sur le diagnostic stratégique des
problématiques et orientations générales, le projet d'aménagement, de
développement et plan de programme ainsi que le tableau de commande d'exécution
et d'évaluation", a affirmé l'intervenant.
Il a ajouté que cela s'inscrit "dans le cadre de la dynamique accélérée d'édification et de développement que connaît l'Algérie ces dernières années et la politique nationale adoptée par l'Etat pour l'aménagement du territoire et dotée d'outils législatifs, juridiques et organisationnels". S'exprimant devant une assistance composée également de directeurs exécutifs de la wilaya, d'universitaires et de chercheurs, le même responsable a souligné que "cette politique a été couronnée par la promulgation de plusieurs lois et décrets dont la loi 10-02 du 29 juin 2010 portant approbation du schéma national d'aménagement du territoire". "Ces régions font l'objet d'un intérêt spécial de la part du président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, qui œuvre à mettre en place des mécanismes et des programmes spéciaux pour leur développement et l'amélioration des conditions de vie de leurs habitants afin de contribuer à diminuer les disparités", a ajouté M. Saâda dans son intervention durant la rencontre tenue en présence du directeur régional de l'Agence nationale de gestion intégrée des ressources en eau, du directeur régional du Haut-commissariat pour le développement des steppes et de représentants du mouvement associatif. |
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