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Les rituels de
remise en vigueur ont toujours été de la plus grande importance, dans tout ce
qui concerne la représentation des idées et des idéaux liés au sacré et aux
principes de l'Ancien Monde.
Il y a une quinzaine d'années, depuis ce pays fascinant qu'est le Japon, à l'occasion du prêt d'œuvres sacrées du Temple du Kofukuji, cette remise en vigueur avait eu lieu avant l'inauguration de leur exposition au Grand Palais parisien, symbole du progrès technique ! : «Des moines (...) procéderont à la traditionnelle ouverture des yeux des statues. Ce rite très ancien s'accomplit lorsque les pupilles d'une statue ou d'une peinture sont complétées, au moment ultime de la création mais également dans le cas d'une restauration ou d'un transport des œuvres. Mises en sommeil avant de quitter le Japon, elles retrouveront ainsi leur âme». 40 Vue du Grand Palais. Tour Auto by Airstar. 41 Dans le monde ancien, les fêtes, urbaines ou rurales, visent la même finalité. Dans le nouveau, comme le dit M. Aïvanhov, au lieu de rester une occasion collective de l'«élévation de l'être humain», la fête est devenue un simple moment de «désacralisation du lien qui unit tous les hommes autour de Dieu, (...) de son avilissement».42 Vue d'une rave party. 43 Remarquons cependant la survivance, bien réelle et mobilisatrice de tout un chacun, surtout dans l'Andalousie, de la répétition de rituels anciens -même si quelque peu réduits et simplifiés- et de commémorations chrétiennes ou historiques. Ceci est encore visible dans tout le sud de l'Europe, attaqué constamment par les élites technocratiques de l'UE. En France, les rituels collectifs ont quasiment disparu des paysages, éradiqués par l'esprit moderne et l'idéologie d'une nouvelle religion, laïque, républicaine et franc-maçonne -c'est-à-dire in fine anticatholique et anti-divine. Dans ses «Réflexions sur la Révolution», Marcel Clément explique en ce sens : «La Révolution française, sur ce terrain préparé (la Renaissance du paganisme antique, qui a séparé l'admiration de la beauté de la nature, de la foi en la grâce, et la Réforme, qui a séparé le jugement de chaque raison individuelle de la norme de la Raison divine) puis ensemencé par les ?philosophes' et l'Encyclopédie, a établi les lois sur la souveraineté du peuple ou, en d'autres termes, a séparé le droit (positif) de la morale (naturelle). C'est sans doute cette séparation radicale du droit, et donc des lois, de la norme inscrite dans l'agir humain conforme à la raison qui est à l'origine de cette sorte de tournis qui agite la France depuis deux cents ans. En détachant le droit de son fondement divin pour l'établir sur un fondement humain (laïcisme), on condamne les lois et avec elles la morale publique à changer aux quatre vents des opinions et des modes intellectuelles». 44 C'est ainsi que l'on aboutit, aujourd'hui, à une grande vulnérabilité du peuple français et des institutions de ce pays à la pointe de la désacralisation, face à l'assaut destructeur et violent d'un système de gouvernance mondialisé et pathologique, déconnecté des réalités humaines et profondément corrompu. Pierre Dauzier, ancien PDG d'un grand groupe de communication, n'écrit-il pas au sujet de la caste au pouvoir puis de la perte des traditions au profit de la technologie : «Après avoir contrôlé l'État, les énarques envahissent les entreprises où ils distribuent des postes, convaincus de leur supériorité. C'est le seul pays industrialisé où une petite minorité technocratique contrôle à ce point les lieux de pouvoir. La démocratie française est une oligarchie administrée (...). Des espèces disparaissent : les aventuriers, les pionniers, les guerriers, les conquérants, les saints. Dans chaque foyer, les écrans ont remplacé nos dieux lares : les crucifix et le buis des Rameaux de ma maison natale. Il n'y a plus d'empereur. Nos dirigeants politiques se bornent à mettre en scène les scenarii d'un avenir préfabriqué par l'évolution technologique. Il n'y a plus de grandes hérésies ». 45 Avant cette dite «pandémie», nous avons bien vu que la suppression programmée des rites et des rituels traditionnels, et leur remplacement par de nouvelles formes collectives de rassemblement festif, sportif, musical ou politico-militaire (soit républicain pour la France, tel que la fête du 14 Juillet), les rituels urbains sont appelés à disparaître sous la pression due à «la crise du Covid-19», par la puissance du numérique et de la virtualisation. Ils sont aujourd'hui complétés par de nouveaux rituels glorifiant les victimes spectaculaires et héroïques du terrorisme, telles celles du Colonel de gendarmerie Beltrame et du professeur Samuel Paty assassiné récemment -et honoré dans l'enceinte même de la Sorbonne, haut lieu millénaire de l'enseignement. Cet évidement -suppression de la substance même de la fête collective, de son sens fédérateur autour d'un temps-espace particulier, s'est considérablement amplifié à partir des années 1990. Ce tournant majeur a vu notamment l'humanité basculer dans l'acceptation, passive ou active, du sacrifice délibéré et satanique de millions d'Irakiens-un autre véritable holocauste, qui se répète régulièrement sur les Palestiniens, avec la complicité même de certaines élites politiques, intellectuelles et religieuses du monde musulman. Il l'est davantage encore aujourd'hui, à l'occasion de la gestion, par le confinement et le couvre-feu, de la crise sanitaire due au SARS-COV-2. Dans une efficacité maximale de la propagande et de la guerre psychologique, les injonctions politiques (qui n'ont rien à voir avec le sanitaire), anxiogènes et contradictoires, l'instauration d'un apartheid social basé sur le QR-code (certifiant la vaccination dont les vrais chiffres de mortalité et d'effets indésirables graves restent tabous 46), poussent véritablement au bannissement de la fête, du repas partagé et de la rencontre47. Par des politiques radicales et largement disproportionnées ayant imposé la «distanciation sociale», l'interdiction des regroupements (parfois de plus de 4 personnes, aujourd'hui de 10) et la recommandation de séparation entre les générations au sein même des familles (lors du repas de Noël, par exemple), ce bannissement du partage risque d'être durable. Il continue d'avoir des conséquences désastreuses sur la santé mentale des populations occidentales 48 - dont la résilience est notoirement affaiblie depuis la fin de la IIe Guerre mondiale sous une politique d'amollissement obtenue par l'énorme puissance des industries du «Tittytainment» ? combinaison toxique du divertissement tous azimuts et de la pornographie explicite ou non ?, de la recherche quasi absolue du confort et de l'enrichissement individuel prôné par le libéralisme. N'oublions pourtant pas qu'au temps du Moyen-Âge, les villes et les villages de France, la «fille aînée de l'Église», étaient rythmés par des processions et des scènes revisitées et jouées de la Bible, entre autres relations dynamiques avec la dimension supérieure de la vie collective. C'est ainsi, par exemple, qu'à l'occasion du retour de Charles, duc d'Orléans, dans sa ville, son «entrée solennelle (est) marquée de nombreuses réjouissances» : «(...) le Prince est abrité sous un dais comme celui des processions solennelles. A chaque carrefour, sur des estrades, prennent place des musiciens ou des acteurs qui jouent des tableaux vivants. L'un d'eux représente la scène de David et Goliath ? facilement identifiable pour une population à qui la Bible est encore familière, et dont le sens ne peut échapper à personne. Partout des feux de joie attirent la foule, invitée à se servir de gâteaux sur des tables dressées de loin en loin. Les Orléanais offrent au Duc et à son épouse quatre mille écus d'or et de la vaisselle d'argent».49 Toujours à Orléans, ces rituels étaient complétés, dans une dimension toute religieuse, lors des représentations des Mystères, et notamment du «Mystère du siège d'Orléans» : «Il s'agit d'un vaste spectacle composé par un auteur anonyme, et dont le manuscrit se trouve aujourd'hui à la Bibliothèque vaticane; une œuvre énorme, quelques vingt mille vers destinés à mobiliser cinq cents acteurs. (...) le siège d'Orléans y est évoqué avec force détails. (...) on peut d'ailleurs admirer que, moins de dix ans après les événements dont Orléans avait tant souffert, un pareil effort ait pu être mené. La représentation d'un Mystère comme celui-ci devait prendre plusieurs jours; les épisodes se déroulaient en divers lieux, où étaient dressés échafaudages et éléments de décor; les scènes étaient sans doute évoquées à l'entrée des boulevards où les Anglais avaient jadis installé leurs bastides».50 3 - Désacralisation et dé-théâtralisation de la vie collective Selon la seule tradition chrétienne - dont la destruction progressive laisse donc émerger les projets démiurgiques et anti-vie auxquels nous assistons -, comme du point de vue de grands penseurs occidentaux de la tradition, tels que Mircea Eliade et Julius Evola, la désacralisation moderne du Monde correspond, à la seconde chute, après celle d'Adam. Cette dernière, originelle, a, faut-il le rappeler, fait oublier à l'homme sa compréhension profonde et intégrale du sacré, sa fusion originelle avec le Kosmos - tout en lui laissant quelques réminiscences. Et c'est bien cet oubli majeur dont tous nos Prophètes ont été chargés de réparer, à travers les Révélations successives. Malgré leurs messages successifs, l'homme moderne a chassé de son esprit toute qualité mythique si caractéristique de la pensée traditionnelle. «Il suffira de se rappeler ce que la cité ou la maison, la nature, les outils ou le travail sont devenus pour l'homme moderne et religieux, pour saisir sur le vif ce qui le distingue d'un homme appartenant aux sociétés archaïques ou même d'un paysan de l'Europe chrétienne. Pour la conscience moderne, un acte physiologique : l'alimentation, la sexualité, etc., n'est rien de plus qu'un processus organique, quel que soit le nombre de tabous qui entrave encore (règles de bienséance à table, limites imposées au comportement sexuel par les «bonnes mœurs»). Mais pour le «primitif», un tel acte n'est jamais simplement physiologique ; il est, ou peut devenir un sacrement, une «communion au sacré».51 C'est donc ce processus continu et progressif de désacralisation de l'espace, du temps et de la vie que l'on associe à l'avènement de la ville moderne, ville dont les modèles actualisés continuent encore d'influencer le reste du monde : «Le sacré et le profane constituent deux modalités d'être dans le monde, deux situations existentielles assumées par l'homme au long de son histoire. Ces modes d'être dans le monde n'intéressent pas uniquement l'histoire des religions ou la sociologie, ils ne constituent pas uniquement l'objet d'études historiques, sociologiques, ethnologiques. En dernière instance, les modes d'être sacré et profane dépendent des différentes positions que l'homme a conquises dans le cosmos; ils intéressent aussi bien le philosophe que tout chercheur désireux de connaître les dimensions possibles de l'existence humaine ». 52 Analyser les processus d'atteinte aux valeurs authentiques et aux sources spirituelles nous rattachant au Divin, en Occident -mais aussi en Orient, en terre d'islam où le poison du wahhabisme et du takfirisme continue d'agir 53 -, en remettant l'homme en rapport réel et concret avec ses traditions, casser les chaînes du matérialisme et de l'individualisme «en brisant les idoles» -ces sacro-saints principes d'un Occident libéral-libertaire qui essaime partout ailleurs son mode de vie et son idéologie 54 : telle devrait être la visée générale des efforts à entreprendre avant qu'il ne soit trop tard. En ce qui nous concerne, face aux dangers de subversion et de perversion de l'islam authentique, et démasquant «le wahhabisme et le réformisme islamique dans une perspective géopolitique, historique et eschatologique», Y. Hindi écrit fort à propos : «Éviter de (re)tomber dans les (mêmes) pièges nécessite d'avoir une parfaite connaissance de la planification stratégique de l'ennemi... Le monde musulman ne saura faire face au cancer qui le ronge sans fonder une réelle et solide contre-stratégie basée sur une analyse prospectiviste incluant une profonde et authentique pensée de restructuration. Ce qui est impossible sans le travail d'introspection et d'autocritique qui s'appuie sur l'Histoire réelle et non sur un roman historique fantasmé et les chimères des idéologies modernes». 55 De la côte ouest des USA à la Nouvelle-Zélande, en passant par l'Europe, les peuples et les communautés commencent brutalement à le comprendre depuis l'an dernier, comme nous l'avons fait lors des coups de force idéologiques pseudo-musulmans, puis de l'irruption sanglante de Daech en Irak et en Syrie. Aujourd'hui, en Occident, à la faveur des masques obligatoirement portés, tout à fait inutiles et signes (ésotériques) de la soumission 56, les vrais masques de l'illusion démocratique, de la perversion et de l'extrême corruption de leurs oligarchies commencent à tomber. De part et d'autre de la Méditerranée, cet effondrement général de cet Occident et le grand Reset programmé, comme la dégénérescence-dépravation des élites anglo-saxonnes transatlantiques (Epstein/Maxwell) et latines (Duhamel 57) - reliées et interdépendantes par leurs intérêts et leurs pratiques publiques et privées - devraient nous faire méditer sur cet avertissement de Julius Evola (dont on comprend rétrospectivement pourquoi il a été banni et largement critiqué, même par des courants catholiques) : «Les forces obscures de la subversion mondiale ont trouvé dans les masses des esclaves modernes un instrument docile et obtus, adapté à la poursuite de leurs buts. Là où elles ont déjà triomphé dans les immenses camps de travail, on voit méthodiquement appliquer, sataniquement, l'asservissement physique et moral de l'homme, en vue de la collectivisation et du déracinement de toutes les valeurs de la personnalité». 58 Cet avertissement est d'une brûlante actualité pour quiconque s'inquiète, à l'intérieur ou à l'extérieur, pour sa patrie, sa communauté et sa famille, quiconque cherche à s'abreuver à la source authentique de sa Tradition ? seul véhicule qui mène à la dimension vitale et immuable du Sacré. Sans oublier que, in fine, comme le dernier messager, Mohammed, Paix sur Lui, en a témoigné en son temps prophétique, Jésus a rassuré ses compagnons faiblissant face à ses ennemis, par ses paroles : «Confiance..., n'ayez pas peur; j'ai vaincu le monde».59 Et Saint Jean, après lui : «La victoire qui triomphe du monde, c'est notre foi». Ce message d'espérance de nos frères chrétiens ne rejoint-il pas celui qui est écrit dans notre Livre sacré ? : «Dis : «Ô Mes serviteurs qui avez commis des excès à votre propre détriment, ne désespérez pas de la miséricorde d'Allah. Car Allah pardonne tous les péchés. Oui, c'est Lui le Pardonneur, le Très Miséricordieux». (Sourate 39, Az-Zumar, verset 53). Le Très-Haut annonça également la bonne nouvelle de la largesse de Sa Miséricorde : «Et Ma miséricorde embrasse toute chose». (Sourate 7, Al-A`râf, verset 156). Décrivant ceux qui espèrent en Sa Miséricorde, le Très-Haut dit aussi : «Certes, ceux qui ont cru, émigré et lutté dans le sentier d'Allah, ceux-là espèrent la miséricorde d'Allah». (Sourate 2, al-Baqara, verset 218). Notes : 40- Jean ? Michel Charbonnier, «Nara : trésors bouddhiques du japon ancien. Le temple du Kofukuji», op. Cit., p. 16 41-https://commons.wikimedia.org/wiki/File:Grand_Palais._Tour_Auto_by_Airstar._Paris_2016.jpg 42- «Une activité n'a de sens que si elle contribue à l'élévation de l'être humain. (...), à son ennoblissement.» O.M. Aïvanhov, op. Cit., pp. 65-66 43- https://pxhere.com/fr/photo/1552297 44- M. Clément, op. Cit., p. 19 (nous soulignons). 45- P. Dauzier, Le marketing de l'Apocalypse, éd. La Table ronde, Paris, 1998, p. 131 & 139. 46- https://pgibertie.com/2021/07/31/le-gouvernement-a-planque-50-des-deces-pour-sous-evaluer-la-part-des-vaccines- decedes/ https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/christine-cotton-vaers https://pgibertie.com/2021/07/30/la-grande-etude-de-suivi-pfizer-est-enfin-publiee-le-vaccin-na-pas-deffet-sur-la-mortalite-et-il- cacherait-la-contagiosite-dasymptomatiques-avec-de-tres-fortes-charges-virales/ https://www.francesoir.fr/societe-sante/un-mensonge-detat-jean-michel-claverie-jette-un-froid-sur-bfmtv 47- Parfois sous peine d'amendes conséquentes voire, comme les nombreux rapports l'indiquent, d'intrusion des forces de police dans les domiciles des récalcitrants et d'arrestation (en Belgique, au Québec, en Australie également). 48- Lire les travaux percutants de l'anthropologue de la santé suisse, Jean - Dominique Michel et son site : https://jdmichel.blog.tdg.ch/ ; ainsi que les statistiques alarmantes de l'hôpital de Nantes, par exemple, qui a enregistré + 80 % d'urgences psychiatriques en Octobre 2020. 49- R. Pernoud, Jeanne d'Arc, op. Cit., pp. 89- 90. L'auteure cite à ce sujet F. Michaud ? Fréjaville, Histoire d'Orléans et de son terroir, T. 1, éd. Horvath, 1983, p. 416 50- Pernoud, op. Cit., p. 86 51- Eliade, «Le sacré et le profane dans le monde moderne» in Le sacré et le profane, Gallimard, Paris, 1965, pp. 19-20 52- Ibid., p.20. 53- Cf. Youcef Hindi, Occident et Islam, avec en sous-titre Sources et genèse messianiques du sionisme. De l'Europe médiévale au choc des civilisations, éditions Sigest, septembre 2015, «La vérité sur le wahhabisme : des Saoud à Daech» : http://www.comite-valmy.org/spip.php?article6728. 54- Cf. aux travaux de Jean ? Claude Michéa, notamment : L'Empire du moindre mal : essai sur la civilisation libérale, Paris, Climats, 2005, rééd. Champs-Flammarion, 2010, Notre ennemi, le capital, Paris, Flammarion, «Climats», 2016. 55- http://lemmings.unblog.fr/2017/06/23/youssef-hindi-aux-origines-de-la-crise-du-monde-musulman/ 56- Bill Willers : «Les masques en tissu que l'on voit partout aujourd'hui sont devenus symboliques. Aussi utiles soient-ils pour arrêter les gouttelettes en suspension dans l'air, ils n'empêchent pas le passage des virus, comme le montre l'avertissement sur une boîte du type de masque que l'on voit couramment. Au mois de mars, l'expert préféré des médias, Anthony Fauci, a déclaré sans ambiguïté sur CBS 60 Minutes que : «Il n'y a aucune raison de se promener avec un masque». Deux mois plus tard, alors que les demandes de confinement s'intensifiaient, il a changé d'avis et s'est prononcé en faveur du masque en tant que «symbole destiné à être vu par les gens». Les articles de presse indiquant que les masques sont inefficaces, voire contre-productifs, parviennent rarement aux aux yeux du grand public, ou bien ils ont tout simplement disparu. Or, le masque est sans aucun doute un symbole ? un symbole de soumission» in https://www.mondialisation.ca/le-masque-comme-symbole-de-soumission/5647424 57- Très puissant conseiller politique et universitaire, longtemps à la tête de l'école de formation de l'élite politique (Sciences Po), qui a été, sans surprise, acquitté en juin 2021 pour «prescription des faits» de pédophilie... https://actu.fr/ile-de-france/paris_75056/affaire-olivier-duhamel-une-enquete-pour-viols-et-agressions-sexuelles-ouverte-par-le-parquet-de-paris_38509440.html https://www.francetvinfo.fr/economie/emploi/metiers/droit-et-justice/affaire-epstein-polemique-apres-la-demande-de-l-ouverture-d-une-enquete-en-france_3574545.html Dans un article ambigu, sorti du référencement du net, «Olivier Duhamel, saint patron du complot mondial», L'Étudiant libre, janvier 2021, nous lisons : «Mensonges donc, que ces réseaux pédophiles, élites sataniques et dignitaires corrompus. Tout cela n'existe pas. Vraiment ? En fait si, et les exemples ne manquent pas. A-t-on déjà oublié l'affaire Jeffrey Epstein, ce milliardaire américain accusé d'être à la tête d'un vaste réseau de trafic de mineurs ? A-t-on oublié les liens qui unissaient Epstein aux démocrates américains, au clan Clinton ou à certains héritiers européens ? A-t-on oublié son suicide, en août 2019, quelque temps avant son procès, et la fusillade chez une des juges chargés de l'affaire un an plus tard? Plus récemment encore, l'affaire Olivier Duhamel a éclaboussé d'importantes personnalités de la gauche bourgeoise, provoquant des démissions en série dans les hautes sphères françaises.» https://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:LIuMnjkKZbMJ:https://letudiantlibre.fr/societe/ledito-de-la-semaine-3-olivier-duhamel-saint-patron-du-complot-mondial/+&cd=2&hl=fr&ct=clnk&gl=fr&client=firefox-b-d 58- Evola, Julius, Révolte contre le monde moderne, les éditions de l'Homme, Ottawa, 1972 (nous soulignons). 59- Homélie de l'Abbé Puga, op. 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