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Les révolutions emploient presque autant d'années à
se terminer qu'à se préparer. «Citation»
Tous les régimes et pouvoirs appuyés par un appareil sécuritaire, omnipotent et omniprésent s'écrouleraient dans les jours, mois et ans à venir.Le pouvoir a peut-être réussi pour le moment à acheter la paix sociale afin de chosifier l'ambiance sociale via l'import-import, l'ANSEJ, la CNAC,... Mais l'élan populaire n'oublierait jamais la dignité, la liberté et la justice sociale.Le pouvoir actuel a transformé la société en une fonction de soumission c'est-à-dire de réceptacle d'ordres même les responsables sont devenus irresponsables (Tag ala men Tag !). L'origine du mal est en nous : La désobéissance civile n'est pas un problème pour le peuple. Le véritable problème c'est l'obéissance civile. Ce sont les gens qui obéissent aux diktats imposés par les dirigeants de ce pouvoir et qui ont donc soutenu des si?. !! On nous traumatise avec l'image de la Syrie et de la Libye et non de nous rassurer avec des options pareilles aux pays scandinaves. Des milliers de personnes ont été anéantis à cause de cette obéissance. L'obéissance des gens est le véritable problème quand l'ignorance, la pauvreté, la famine, la maladie, la stupidité, la cruauté et l'injustice sinon «El-Hogra»-«M'Harga»- ou «El-Harba» ravagent ce peuple. Voila le problème, c'est que les gens soient obéissants comme des agneaux alors que les prisons sont pleines à craquer de petits voleurs et que les plus grands escrocs sont à la tête du pays. C'est cette image hideuse qui pose problème aujourd'hui !!!! Le processus révolutionnaire est parvenue pacifiquement à ébranler profondément l'état omnipotent ou plutôt sécuritaire en 19 88, ensuite venue la période de l'agitation et du désordre ou le sécuritaire revenait en force. L'Etat de droit et la démocratie n'avaient pas eu lieu après la concorde. Les think tanks étaient parvenus à polluer le chemin de la liberté, de la dignité et de la justice sociale pour laisser place aux ultralibéraux qui sont parvenus à ruiner l'épargne personnelle et faire perdre leurs économies pour ceux qui ont la chance d'avoir un revenu. Le changement du système, la vicissitude du régime et l'interversion du pouvoir se boostent par : -la reforme du système, -le calvinisme du régime, -et le changement du pouvoir. Pour aller vers la rupture définitive de ce système pernicieux, de ce régime déplaisant et de ce pouvoir défectueux? Ces trois (système-régime-pouvoir) grandes doctrines peuvent se modifier par : *Trois petites belles révolutions pour qu'elles deviennent «citoyennes» (république), *Trois petites insurrections pour qu'elles deviennent «civiques» ( démocratique) *Ou trois petites révoltes pour devenir «patriotiques» (populaire) Et sortir de l'impasse d'un peuple que l'on ne connait pas exactement si c'est du «ghachi» ou du «gâchis» ou une «masse de gens» ou «plèbe» et que chacun tripote comme bon lui semble pour que se soit une véritable «R.A.D.P». L'objectif final de l'action contestataire de ces trois nouveaux concepts de gouvernance est bien entendu le bien être morale qui représente la loi de la raison et la force de la loi c'est enfin le contentement, social, matériel et environnemental ; c'est déjà la satisfaction. Cet ensemble de concepts se meuvent au milieu d'un nouveau contexte social ou la légalité,l'égalité et la légitimité ; trois piliers de l'état de droit contenus dans une véritable république ou la séparation des pouvoirs devrait être réelle et effective de façon à admettre et coexistent le disant et le contre disant ;l'opposant et le partisan ;l'adhérent et l'adversaire, le plus et le moins semblable à une lampe qui s'illumine qu'avec la réunion des ions positives et des ions négatives,la lampe (avec le + et le) éclaire et illumine en même temps. Par conséquent, en société il faut le sens et le contre sens, l'esprit contradictoire fait avancer les choses et la nature étant faite de la sorte ; même la joie, l'amour et bien d'autres sentiments et valeurs ne peuvent exister si la communion de l'homme et de la femme n'est pas réelle et sincère. Et dites vous bien dans la vie en général ne pas reconnaitre son talent, c'est avantager les incompétents et favoriser la réussite matériel et personnel des médiocres car si le peuple est bien souverain (atteint le degré de la maturité citoyenne) comme on le fredonne,il est aussi gravé dans le registre de la constitution mais il ne peut exercer lui-même tout le moins qu' il peut de souveraineté car deux médiocres et propre à rien se moquent des lois ceux qui les promulguent( ne connaissent pas le contexte) et ceux qui les enfreignent ( connaissent bien le contexte pour être au-dessus des lois) pour ôter l'âme souveraine contenue dans les institutions. La camaraderie et la confiance viendront naturellement lorsque régneront la discipline et les valeurs morales. Taos Zhu Gong L'exemple le plus fascinant qui mérite la considération historique et ce sens d'inspiration intelligente, c'est ce début de l'histoire de la révolution Française. L'histoire n'accepte point les complexés, vers 1789 la situation financière (rentière) de la France était devenue très périlleuse sinon risquée, pas d'argent pour régler profusément les dépenses et à cette même époque personne n'avait l'intention de prêter au Roi. La France s'engouffrait sous le poids de la dette. «Louis XVI»bienfaiteur, chargeait «Turgot» comme ministre pour remettre de l' ordre dans les finances (austérité)). Turgot décidait de limiter et diminuer les dépenses ;de ne plus gaspiller l'argent dans les fêtes et d'autres futilités ; de supprimer les pensions aux courtisans( semblables aux rentiers algériens) mais sous l' influence de Marie Antoinette( Reine), Turgot était remercié et avait quand même prédit une banqueroute à la France. Louis XVI décidat de réunir les Etats généraux, une assemblée formée à l'époque de «seigneurs, prêtres, bourgeois?».Cette assemblée (votera les lois et surveillera soigneusement toutes les dépenses) mais décidât à ce que le roi ne doit plus pouvoir faire tout ce qu'il lui plaisait (abolition de l'autisme royal). Ces états généraux avaient changé de noms et se faisaient appeler assemblée constituante,delà ils amorcèrent une grande reforme ( suppression des redevances que les paysans payaient aux seigneurs, établissement des impôts payés par tous les français).Ces reformes avaient fait la joie des français qui organisaient partout en France des fêtes, mais cette assemblée continuait son travail en votant la fameuse «déclaration des droits de l'homme( aout 1789)» ou tous les français étaient, sont et seront égaux devant la loi ;les français étaient désormais devenus des citoyens à part entière ( des hommes libres) et n'étaient plus sujets et le roi n' était plus leur maitre mais leur serviteur, la fête continuait grandement par la prise de la bastille. L'assemblée constituante terminait finalement son travail pendant l'été 1791 qui était remplacé par une assemblée législative formée de députés. En 1792 la «convention» remplace l'assemblée législative et supprime la «royauté» pour l'instauration d'une nouvelle république. Ce roi était finalement condamné et exécuté pour trahison par la «convention» qui était représentée par les montagnards qui étaient devenus maitres dont Robespierre fut leur chef. L'Histoire de la France continuait dans le sens du changement, de la reforme et de la rupture, avec l'instauration de l'empire de Bonaparte suivit d'une nouvelle royauté pour atterrir à la 2ieme république (la révolte républicaine de février 1848 à1851) qui se terminât par un second empire de «Gambetta». L' ami intime de «Gambetta», «Jule ferry» instaurât la 3ieme république ou l'enseignement primaire devenait gratuit et obligatoire en même temps, prenait forme entre 1815 et 1914 la république s'épanouissait avec «des novas» comme V. Hugo,Pasteur et bien d'autres Grandes Figures Françaises qui avaient déclenché la révolution industrielle par la révolution culturelle et scientifique ;pour dire en fin de compte que la république malgré toutes les turbulences qu'avait connu la France la république s'était imposée et avait engendrée la révolution industrielle, un départ réussi pour un début de la civilisation Européenne. Le choix réside entre la réussite du capitalisme et les promesses du communisme Paul Hoffman Ce n'était la, qu'un bref aperçu sur l'itinéraire historique d'un grand pays qu'on le veuille ou non, et sans complexe, pour se valoir d'égal à égal et reconnaitre le bon sens, le savoir, le courage et la volonté. La France avait déclenché et propulsé une civilisation à l'échelle universelle à partir de l'innovation d'une république. L'histoire sociale nous renseigne qu' il n' y a pas de politique sociale sans un mouvement social (élites) capable de l' imposer, car l'axiome de base est de soutenir toujours ce qui est fort mais jamais ce qui est faible, de la grandeur, le mérite,la trempe, la force, la portée, l'utilité et l' importance d'un état c'est aussi ces mêmes valeurs qui sont imprégnées chez les individus qui le composent, un état qui prime les intérêts de ces individus avec plus d' art qui façonne la civilisation de façon générale, mieux qu' un état piteux qui amenuise et rabaisse les hommes pour en faire des instruments dociles entre ses mains, avec cette pitoyable action ou rien de grand,d'utile,de vrai,de juste, de beau et d'agréable ne saurait s'accomplir. Le vrai courage reste de nos élites de chercher et de dire cette vérité sociale, cette liberté tant recherchée,? et d'éviter de subir la «loi triomphante» et éphémère du mensonge. L'absence intentionnée ou décidée d'une élite organique agissante et ayant l'aptitude de préparer des concepts basiques, et ayant également dans le même registre le poids des analyses sur toutes les tendances et les choix qui balisent le cordon ombilical social.Le rôle principale de cette élite étant la recherche de nouveaux concepts bouleversants pour sortir de ce marasme qu'est le volontarisme populiste, rentier et cette culture du laxisme qui infecte le développement, la gouvernance,, le système d'entreprise,? du pays. Aujourd'hui les gens connaissent le prix de toute chose et la valeur d'aucune Oscar Wilde Se sont les novas humanistes,un penseur, un sage, un philosophe un être dont le mérite lui revient de droit et que des centaines et de centaines de personnes incognitos peuvent s'appauvrir pour enrichir ces novas( artisans de l'histoire sociale, économique, culturel et même sportive) parce que leur utilité sociale à permis de sauver d' une maladie, d'un drame, d'une catastrophe, d' un génocide,d'une guerre, inventer quelque choses d'utile, de beau,de juste,de bien, et de vrai pour la société, écrire un poème, un livre, avoir une médaille,? Ces novas sont des étoiles qui deviennent très brutalement et extrêmement brillante, avec une grande augmentation de son éclat, c'est avec ces novas dont ils sont et font la lumière,qui guident la civilisation, se sont des hommes qui contribuent vraiment au bien de l' humanité par leur génie,leur exercice, leur emploi, leur sacrifice et ne trouvent point le temps pour penser à l'argent encore moins à amasser des fortunes. La richesse matérielle des personnes en Algérie a été toujours à l' origine d'une injustice, d un meurtre, de la corruption,du vol, de détournements,d'une appropriation illicite, d'une escroquerie, de la dépravation, de la malversation ; de la prévarication, de l'abus d'un pouvoir?. cette façon autiste et funeste de gérer, de gouverner, d'administrer, de régenter,de commander nous laisse donc penser à revoir les leçons stupides et débiles qu' on avait appris à l' école algérienne ; être honnête n'est plus à la mode et ne fait plus partie du lexique de la gestion de nos administrations publiques et privés, même les responsables carriéristes oublient le droit et font de l'injuste, du méchant et du sale. L'emploi d'administration par les carriéristes est cette avidité des biens et services de ce bas monde qui lui procure le désir et le plaisir d'avoir de la puissance et de la richesse éphémère par un argent sale et d' égueulasse expression populaire de chez nous «khanez bi drahem», il n y a qu' a voir nos billets de 200DA qui reflètent le symbole de la saleté et de la non valeur réelle dans le sens péjoratif le plus large possible. L'Algérien, c'est aussi une conscience enfermée à libérer pour devenir un vrai citoyen préférant l'avantage général à son avantage. Une personnalité historique et anthropologique à façonner dans une école performante et une loi fondamentale conséquente, qui peut lui permettre de s'émanciper de toute forme d'aliénation et de s'arrimer dans la contemporanéité du monde. Le constat d'échec à cet impératif est aujourd'hui sans appel. L'Algérien ne se sent pas du tout libre?. Ne dit on pas que «la liberté est un rêve précieux de tout esclave». Le désir et le plaisir exprimés par des individus voulant être citoyens pour être fidèlement représenter dans des partis d'oppositions structurés sur des bases solides et renforcé par des élites ayant réellement un rôle de contre pouvoir (ions positives) politique,social, et économique et se forcent d'être respecter par le gouvernement sachant pertinemment qu' ils sont capable de s'inscrire en tant qu' indicateur de bien être de la population, de leur mode de vie ?. Et d'être encore plus un baromètre lié à la liberté de manifester, la liberté du savoir, la revendication des droits et des obligations pour faire rouler la société dans le sens du bien être car toute reforme politique, économique et sociale ne servent à rien si celles-ci sont boiteuses conjoncturelles. Le provisoire ne peut engendrer que du provisoire et la contestation devient encore plus crédible par l'absence d'une vision de projet de société qui créera un vide, rempli par les mythologies déplumées d'un raisonnement sensé en plus d'un déficit économique, social, politique et culturel en un mot c'est ce qu' on est en train de respirer dans ce pays pour aboutir à une philosophie nouvelle à l'algérienne de l'avoir avant celle du savoir. Gérer consiste à faire des choses ; diriger c'est de faire les bonnes choses L'alerte, le SOS populaire,le peuple dans sa grande majorité souffre dans son quotidien ; le couffin de la ménagère bien que maigre mais sa valeur dépasse ce chiffre inflationniste qu'on nous fixe, et qu'on n'arrive pas à trouver du coté finance ; coté sociale l'impunité est devenue la règle première fait ce que bon te semble sans limite,la négligence de nos valeurs, des normes et des règles font que la culture de la saleté, du désordre, des nuisances,de la désorganisation, de la confusion, de la corruption, du mensonge, de l'égoïsme priment. C'est le quotidien de l'algérien qui relève d'un parcourt de combattant, que la mission de l'état ne peut satisfaire et se trouve dépasser par les événements, un ministre qui distribue des balais aux walis pour effectuer l'opération nettoyage (saletés, informelles, squattages?) ???!!! Sans que cela puisse réussir !!Il serait compliqué et plus difficile par la suite de faire croire que l'investissement rapporte plus qu'un «container» en argent, en sueur et en difficultés. La paix est menacée par ce désordre économique, l'indiscipline sociale, et gestion politique injuste, par l'absence de démocratie, de transparence, de liberté, de droits de l'homme, de rendre des comptes, la pénalisation et par la dégradation catastrophique de l'environnement en général. C'est tout un fardeau qui rend dur la vie de l'algérien, et il crie son ras le bol ; mais cette fois- ci c'est peut être avec de la violence, ne dit on pas que «la violence aux mains du peuple n'est plus violence mais justice». Les grandes avancées de la civilisation, d'un développement d'un pays que ce soit, en art, en information, en littérature, en peinture, en agriculture, en industrie, ?Ces avancées n'ont jamais été amorcées d'une intervention d'un gouvernement. Le constat établit au niveau de nos secteurs sensés être les propulseurs de la relance du développement,les centres et les pôles créateurs de la croissance économique, la santé, le système d'enseignement, les systèmes d'innovations et de sophistication, de l'environnement, les indicateurs d'efficience,la globalité de notre système économique, ces indicateurs que je viens d'avancer font l'objet d'un classement mondiale par des organismes onusiens officiels, l'Algérie est placée dans tableau de classement par pays parmi les derniers du tableau parce que l'acte de création a été atrophié malgré la richesse dans tous les domaine sauf dans le politique qui amorti les vitalités de ce peuple. Alors que la première place du classement lui revient, en matière de bureaucratie, de corruption, d'opacité dans les affaires publiques, dans le non droit ( non applications ou applications de travers de nos lois ) pour ce qu' il s'agit de ceux qui nuisent à l'économie, à la société et au pays, quand les fautes augmentent les réalisations diminuent forcement.Notre tissu économique est largement dominé par des personnes physiques détenteurs d'unités économiques, il est configuré principalement par un secteur commercial et de services qui représente globalement notre économie soit plus de 90% d'économie tertiaire,le secteur créateur de richesse a été agonisé par la loi 88 qui a permis au FMI d'éliminer tout outils de créativité matériel. Ceci nous a conduit à juste titre, à avancer que la gouvernance de ce pays n'est ni révolutionnaire, ni historique, ni intelligente, ni légitime mais autiste c'est-à-dire celui qui ne connait que ses propres arguments connait mal sa cause, et ce pouvoir n'a ni les yeux pour voir le malheur de ce pays, ni les oreilles pour écouter les doléances du peuple, ni la tête pour diriger ce riche pays.Pendant la période de H.Boumediene on dépensait pour la richesse du pays, aujourd'hui on dépense encore plus pour la richesse des personnes usurpateurs. C'est l'aventure prétentieuse et prestigieuse de dépenser plus et encore plus car l'aisance financière est prometteuse ; pour avoir moins et les exemples sont nombreux ( auto-route-centrale à électricité-augmentations de salaire en contrepartie d'une productivité négative?.), car celui qui néglige l'art,le contrôle,l'éducation, la morale,la maitrise, c'est la punition, le mal et la platitude qui le sanctionnent parce qu' on a délaisser la culture du bien et éponger le respect de la loi ; nous sommes plus prés de l'indigence. On a pas su faire la refondation de notre Etat, c'est-à-dire forcer pacifiquement le passage de l' état de soutient (mamelle-providence-?) à l'Etat de justice (Etat de droit) par le biais d'une négociation sincère d'un nouveau contrat politique ou la légitimité populaire prédomine, et qui se prépare sur la base entre la nation et l'Etat, cela conduirait inéluctablement à une nouvelle politique qui devrait s'imposer par la dialectique de l' alternance politique ou une nouvelle gouvernance s'instaure qui serait obligée de diriger les affaires du pays dans la transparence la plus totale par des responsables ayant une moralité acquise d'avance dont la loyauté, la compétence, l'innovation et l' intégrité représentent les critères de la passerelle pour la réussite de la promotion sociale qui mettra fin aux carriéristes, aux sangsues et aux rentiers. L'espoir nous donne effectivement des ailes, malheureusement il ne nous montre pas comment voler, c'est avec le gout de la lutte et de la résistance active que germe l'art de planer pour parvenir au beau, au vrai,au juste, au bien et à l' utile : telles sont les valeurs d'un grand pays amorçant la civilisation sinon l'application de la théorie de Bennabi ( pays colonisable) ne va pas trop s'attendre pour être mise en?.. !!. |