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S'il fallait une preuve du
caractère psychopathique des dirigeants successifs sionistes, elle nous est
fournie par leurs multiples scélérates déclarations. Pour comprendre la
politique génocidaire actuelle de l'Etat sioniste, il suffit de remonter à la
source du programme des fondateurs de l'entité sioniste. Voici une compilation
de citations des fondateurs de l'Etat israélien, aux sources indiquées.
David Ben Gourion, octobre 1936 : « Nous ne suggérons pas d'annoncer maintenant notre but final qui va très loin ? Plus loin encore que les révisionnistes qui s'opposent à la partition. Benne ne veut pas abandonner la grande vision, la vision finale qui est une composante organique, spirituelle et idéologique de mes (...) aspirations sionistes» (David Ben Gourion, Mémoires, volume III, page 467). «Les frontières des aspirations sionistes sont l'affaire du peuple juif et aucun facteur externe ne pourra les limiter.» (Ouvrage cité ci-dessus : discours en 1937.) Ben Gourion, lettre à son fils (1936) : « Un Etat juif partiel n'est pas une fin, mais seulement un commencement. Je suis convaincu que l'on ne peut nous empêcher de nous établir dans les autres parties du pays et de la région.» Ben Gourion, 1938 : « Les frontières des aspirations sionistes incluent le Liban-Sud, le sud de la Syrie, la Jordanie d'aujourd'hui, toute la Cisjordanie et le Sinaï.» (Rapport au Conseil mondial de Poalei Zion (futur Parti travailliste) à Tel-Aviv.) Ben Gourion, discours de 1938 : « Après être devenus une force importante grâce à la création de l'Etat, nous abolirons la partition et nous nous étendrons à toute la Palestine. L'Etat ne sera qu'une étape dans la réalisation du sionisme et sa tâche est de préparer le terrain à l'expansion. L'Etat devra préserver l'ordre non par le prêche mais par les mitrailleuses.» Joseph Weitz, (1940) chef du Service de colonisation de l'Agence juive : « Entre nous, il faut qu'il soit clair qu'il n'y a pas de place pour les deux peuples dans le pays. Nous n'atteindrons pas notre but s'il y a des Arabes dans ce petit pays. Il n'y a pas d'autre issue que de transférer les Palestiniens d'ici dans les pays avoisinants. De les transférer tous. Il ne doit pas rester un seul village, une seule tribu.» Le même Joseph Weitz explicitait ce que signifiait pratiquement « rendre la Palestine juive» : « Il y en a qui croient que la population non juive même en pourcentage élevé, à l'intérieur de nos frontières, sera plus facilement surveillée par nous ; et il y en a d'autres qui croient le contraire, c'est-à-dire qu'il est plus facile de surveiller les activités d'un voisin que celles d'un locataire. (Je) tends à soutenir ce deuxième point de vue et j'ai un argument supplémentaire : la nécessité de renforcer le caractère de l'Etat qui sera désormais juif (...) avec une minorité non juive limitée à 15%. J'étais déjà arrivé à cette conclusion fondamentale dès 1940 (et) je l'avais notée dans mon journal.» « Nous devons utiliser la terreur, l'assassinat, l'intimidation, la confiscation des terres et la suppression de tous les services sociaux pour débarrasser la Galilée de sa population arabe.» (Rapport Koenig ? Al-Hamishar (journal israélien), 7 septembre 1976.) 1948 : fondation de l'Etat d'Israël Ben Gourion, en mai 1948 : «Nous devrions nous préparer à lancer l'offensive. Notre but c'est d'écraser le Liban, la Cisjordanie et la Syrie. Le point faible, c'est le Liban car le régime musulman y est artificiel et il nous sera facile de le miner. Nous y établirons un Etat chrétien, puis nous écraserons la Légion arabe, éliminerons la Cisjordanie ; la Syrie tombera dans nos mains. Nous bombardons alors et avançons pour prendre Port-Said, Alexandrie et le Sinaï.» (Recommandations devant l'Etat-Major suprême, Ben Gourion, une biographie, par Michael Ben Zohar, New York: Delacorte, 1978.) Question du général Yigal Allon à Ben Gourion : « Que ferons-nous de la population de Lydda et Ramle ?» (environ 50.000 habitants). Ben Gourion, selon son biographe, agita la main et dit : « Chassez-les !» (juillet 1948, M. Ben Zohar). Première visite de Ben Gourion à Nazareth Ben Gourion regarda autour de lui avec étonnement et dit : «Pourquoi y a-t-il autant d'Arabes ? Pourquoi ne les avez-vous pas chassés ?» (Source, opus cité supra M. Ben Zohar.) Uri Lubrani, conseiller spécial aux Affaires arabes du Premier ministre israélien David Ben Gourion en 1960. « Nous réduirons la population arabe à une communauté de bûcherons et de serviteurs.» (Sabri Jiryis, Les Arabes en Israël (The Arabs in Israel ? New York : Monthly Review Press, 1976.) Raphaël Eitan, chef d'état-major des Forces armées israéliennes : « Nous déclarons ouvertement que les Arabes n'ont aucun droit à s'établir ne serait-ce que sur un centimètre d'Eretz Israël. Vous autres bonnes âmes et modérés devriez savoir que les chambres à gaz d'Adolf Hitler seraient pour eux un palais de récréation... La force est la seule chose qu'ils comprennent et qu'ils ne comprendront jamais. Nous utiliserons la force extrême jusqu'à ce que les Palestiniens viennent à nos pieds en rampant.» (Gad Becker, Yediot Aharanot, 13 avril 1983, New York Times, 14 avril 1983.) Le même Eitan précisa : « Lorsque nous aurons pacifié le pays, tout ce que les Arabes pourront faire, ce sera de tourner en rond comme des cafards drogués dans une bouteille.» (Idem supra.) Heilbrun, président du Comité pour la réélection du général Sholom Lahat, le maire de Tel-Aviv : «Nous devons tuer tous les Palestiniens, à moins qu'ils se résignent à vivre ici comme des esclaves.» (Octobre 1983.) Collusion et collaboration des sionistes avec le nazisme Fédération sioniste d'Allemagne, un mémorandum au parti nazi le 21 juin 1933 : «Dans la fondation du nouvel Etat, qui a proclamé le principe de la race, nous souhaitons adapter notre communauté à ces nouvelles structures... Notre reconnaissance de la nationalité juive nous permet d'établir des relations claires et sincères avec le peuple allemand et ses réalités nationales et raciales. Précisément parce que nous ne voulons pas sous-estimer ces principes fondamentaux, parce que, nous aussi, nous sommes contre les mariages mixtes et pour le maintien de la pureté du groupe juif. Les juifs, conscients de leur identité, au nom desquels nous parlons, peuvent trouver place dans la structure de l'Etat allemand car ils sont libérés du ressentiment que les juifs assimilés doivent éprouver... Nous croyons en la possibilité de relations loyales entre les juifs conscients de leur communauté et l'Etat allemand. Pour atteindre ses objectifs pratiques, le sionisme espère être capable de collaborer même avec un gouvernement fondamentalement hostile aux juifs... La réalisation du sionisme n'est gênée que par le ressentiment des juifs à l'extérieur, contre l'orientation allemande actuelle. La propagande pour le boycott actuellement dirigée contre l'Allemagne est, par essence, non sioniste.» Source : Lucy Dawidowicz, A Holocaust reader, p. 155. Le mémorandum ajoutait : «Qu'au cas où les Allemands accepteraient cette coopération les sionistes s'efforceraient de détourner les juifs, à l'étranger, d'appeler au boycott anti-allemand.» Source : Lucy Dawidowicz, The War Against Jews (1933-1945) Ed. Penguin Books,1977, pp. 231- 232. Ben Gourion, premier dirigeant de l'Etat d'Israël, le 7 décembre 1938, devant les dirigeants sionistes du Labour : «Si je savais qu'il est possible de sauver tous les enfants d'Allemagne en les amenant en Angleterre, et seulement la moitié d'entre eux en les transportant en Eretz Israël, je choisirais la deuxième solution. Car nous devons tenir compte non seulement de la vie de ces enfants, mais aussi de l'histoire du peuple d'Israël.» Source : Yvon Gelbner, Zionist Policy and the Fate of European Jewry, dans Yad Vashem Studies. Jerusalem. Vol. XII, p. 199. La circulaire de la Wilhelmstrasse indique : « Les objectifs que s'est donné cette catégorie (de juifs qui s'opposent à l'assimilation et qui sont favorables à un regroupement de leurs coreligionnaires au sein d'un foyer national), au premier rang de laquelle se trouvent les sionistes, sont ceux qui s'écartent le moins des buts que poursuit en réalité la politique allemande à l'égard des juifs.» Source : Lettre circulaire de Bülow-Schwante à toutes les missions diplomatiques du Reich. N° 83, 28 février 1934. «Il n'y a aucune raison, écrivait Bulow-Schwante au ministère de l'Intérieur, d'entraver, par des mesures administratives, l'activité sioniste en Allemagne, car le sionisme n'est pas en contradiction avec le programme du national-socialisme dont l'objectif est de faire partir progressivement les juifs d'Allemagne.» Source : Lettre num. ZU 83. 21. 2818 du 13 avril 1935. Reinhardt Heydrich, chef des Services de sécurité SS : « Nous devons séparer les juifs en deux catégories : les sionistes et les partisans de l'assimilation. Les sionistes professent une conception strictement raciale et, par l'émigration en Palestine, ils aident à bâtir leur propre Etat juif... Nos bons vœux et notre bonne volonté officielle sont avec eux.» (1935 Das Schwarze Korps, organe officiel de la SS.) Source: Hohne. Order of the Death'a Head, p. 333. Circulaire de la Gestapo de Bavière à la police, 28 janvier 1935 : « Les membres de l'organisation sioniste, en raison de leur activité orientée vers l'émigration en Palestine, ne doivent pas être traités avec la même rigueur qui est nécessaire pour les membres des organisations juives allemandes (assimilationnistes).» Source : Kurt Grossmann, Sionistes et non-sionistes sous la loi nazie dans les années 30, Yearbook. Vol. VI, p. 310. Alfred Rosenberg, principal théoricien nazi, écrit : «Le sionisme doit être vigoureusement soutenu afin qu'un contingent annuel de juifs allemands soit transporté en Palestine.» Source : A. Rosenberg : Die Spur des Juden im Wandel der Zeiten, Munich 1937, p. 153. Nota : Betar : groupe paramilitaire sioniste : «Le Betar allemand reçut un nouveau nom : Herzlia. Les activités du mouvement en Allemagne devaient obtenir, bien-sûr, l'approbation de la Gestapo ; en réalité, Herzlia agissait sous la protection de cette dernière. Un jour, un groupe de SS attaqua un camp d'été du Betar. Le chef du mouvement se plaignit alors auprès de la Gestapo et, quelques jours plus tard, la police secrète annonça que les SS en question avaient été punis. La Gestapo demanda au Betar quelle compensation lui semblait la plus adéquate. Le mouvement demanda que la récente interdiction qui leur avait été faite de porter des chemises brunes soit levée ; la requête fut satisfaite » Source : Ben Yeruham, Le Livre de Betar, T. H, p. 350. « L'organisation sioniste des juifs allemands avait une existence légale jusqu'en 1938, cinq ans après l'avènement d'Hitler... La Jüdische Rundschau (journal des sionistes allemands) parut jusqu'en 1938.» Source : Leibowitz, Israël et Judaïsme. Ed. Desclée de Brouwer, 1993. p. 116. « Le sauvetage des juifs en Europe ne figurait pas en tête de liste des priorités de la classe dirigeante. C'est la fondation de l'Etat qui était primordiale à leurs yeux.» Source : Tom Segev. Le Septième Million. Ed. Liana Levi, Paris, 1993, p. 539. Mémorandum du Comité de sauvetage de l'agence juive : « Devons-nous aider tous ceux qui en ont besoin sans tenir compte des caractéristiques de chacun ? Ne devons-nous pas donner à cette action un caractère national sioniste et tenter de sauver en priorité ceux qui peuvent être utiles à la Terre d'Israël et au judaïsme ? Je sais qu'il peut sembler cruel de poser la question de cette façon, mais nous devons malheureusement établir clairement que si nous sommes capables de sauver 10.000 personnes parmi les 50.000 personnes qui peuvent contribuer à la construction du pays et à la renaissance nationale ou bien un million de juifs qui deviendront pour nous un fardeau ou, au mieux, un poids mort, nous devons nous restreindre et sauver les 10.000 qui peuvent être sauvés. Malgré les accusations et les appels du million de laissés-pour-compte.» Source : Mémorandum du Comité de sauvetage de l'agence juive. 1943. Cité par Tom Segev. (Op. cit.) Itzak Shamir (futur Pemier ministre d'Israël) et Abraham Stern, document remis à l'ambassade d'Allemagne à Ankara (à cette époque les troupes du maréchal Rommel étaient déjà en Egypte) : « En matière de conception, nous nous identifiions à vous. Pourquoi donc ne pas collaborer l'un avec l'autre ?» Mémorandum de l'agent des services secrets nazis à Damas, Werner Otto Von Hentig, sur les pourparlers avec les émissaires de Stern et de Shamir : « La coopération entre le mouvement de libération d'Israël et le nouvel ordre en Europe sera conforme à l'un des discours du chancelier du IIIe Reich dans lequel Hitler soulignait la nécessité d'utiliser toute combinaison de coalition pour isoler et vaincre l'Angleterre.» Nota : ces documents se trouvent au Mémorial de l'holocauste (Yad Vachem) à Jérusalem, classés sous le numéro E2M. Israël Eldad, un des chefs historiques du groupe Stern, confirme, dans un article publié dans le quotidien de Tel-Aviv, le Yediot Aharonoth, du 4 février 1983, l'authenticité de ces pourparlers entre son mouvement et les représentants officiels de l'Allemagne nazie. Extraits : « Principes de base de l'Organisation militaire nationale (NMO) en Palestine (Irgun Zevaï Leumi) concernant la solution de la question juive en Europe et la participation active du NMO à la guerre aux côtés de l'Allemagne. Il ressort des discours des dirigeants de l'Etat national-socialiste allemand qu'une solution radicale de la question juive implique une évacuation des masses juives de l'Europe. (Judenreines Europa). Cette évacuation des masses juives de l'Europe est la condition première de la solution du problème juif, mais cela n'est possible que par l'installation de ces masses en Palestine, dans un Etat juif, avec ses frontières historiques. Résoudre le problème juif de façon définitive et libérer le peuple juif, c'est l'objectif de l'activité politique et des longues années de lutte du « mouvement pour la liberté d'Israël » (Lehi) et de son Organisation militaire nationale en Palestine (Irgun Zevaï Leumi). Le NMO, connaissant la position bienveillante du gouvernement du Reich envers l'activité sioniste à l'intérieur de l'Allemagne, et les plans sionistes d'émigration estime que : 1- Il pourrait exister des intérêts communs entre l'instauration, en Europe, d'un ordre nouveau, selon la conception allemande, et les véritables aspirations du peuple juif telles qu'elles sont incarnées par Lehi. 2- La coopération entre l'Allemagne nouvelle et une nation hébraïque rénovée (Vôlkisch Nationalen Hébräertum) serait possible. 3- L'établissement de l'Etat historique juif sur une base nationale et totalitaire, et lié par un traité au Reich allemand, pourrait contribuer à maintenir et à renforcer, dans l'avenir, la position de l'Allemagne au Proche-Orient. A condition que soient reconnues, par le gouvernement allemand, les aspirations nationales du Mouvement pour la liberté d'Israël. «(Lehi), l'Organisation militaire nationale (NMO) offre de participer à la guerre aux côtés de l'Allemagne. La coopération du mouvement de libération d'Israël irait dans le sens des récents discours du chancelier du Reich allemand, dans lesquels Monsieur Hitler soulignait que toute négociation et toute alliance devait contribuer à isoler l'Angleterre et à la battre. D'après sa structure et sa conception du monde, le NMO est étroitement lié avec les mouvements totalitaires européens.» Source : le texte original, en allemand, en appendice num. 11, dans le livre de David Yisraeli : Le Problème palestinien dans la politique allemande, de 1889 à 1945, Bar Ilan University, Ramat Gan, Israël, 1974, pp. 315-317. Les pourparlers ont subi un coup d'arrêt lorsque les troupes alliées ont arrêté, en juin 1941, l'émissaire d'Abraham Stern et Itzak Shamir, M. Naftali Loubentchik, au bureau même des services secrets nazis à Damas. D'autres membres du groupe ont poursuivi des contacts jusqu'à l'arrestation, par les autorités britanniques, de M. Itzak Shamir, en décembre 1941, pour «terrorisme et collaboration avec l'ennemi nazi». Ben Gourion : « Beghin appartient incontestablement au type hitlérien. C'est un raciste disposé à détruire tous les Arabes dans son rêve d'unification d'Israël, prêt, pour réaliser ce but sacré, à user de tous les moyens.» Source: E. Haber, Menahem Beghin, The Man and the Legend. Ed. Delle Book. New York, 1979, p. 385. 34151-8. |
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