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Le règne des
reines qui ont dirigé l'Empire anglais fut un cauchemar pour les Anglaises,
notamment celui de Victoria. C'est pour cela qu'on s'étonne que les femmes ne
votent pas pour des femmes même dans les pays les plus égalitaires. Elles
sentent, d'instinct, la magouille et le resserrement des chaînes qui vont avec.
On l'a vérifié scientifiquement : le corps a une mémoire indépendamment de la
mémoire qu'on connaît. Dans son livre, La difficulté de vivre, Françoise Dolto
relate l'histoire d'un petit garçon qui voyait des trous partout jusqu'à se
fracasser la tête contre les murs. D'éminents spécialistes se sont penchés sur
son cas, en vain. Jusqu'au jour où l'un d'eux eut l'idée de diagnostiquer la
mère. Durant la Seconde Guerre mondiale, on a creusé un trou dans la cave pour
cacher une fillette de 3-4 ans. Seule rescapée des bombardements, sans
séquelles apparentes, elle se maria 20 ans plus tard et accoucha d'un bébé. Il
a fallu mettre la génitrice sous hypnose pour la libérer de son amnésie afin de
la soigner du traumatisme enfoui dans l'inconscient et guérir le fils. Jadis,
les merveilleux aïeux analphabètes affirmaient que la malédiction des parents
rejaillit sur les enfants...
Passons et reconnaissons que la parité est sans doute la pire des arnaques faites aux femmes. Sous Saddam, l'Irak avait plus de femmes dans son Parlement que la France de Chirac. Saddam, bombardé par l'Oncle Sam, ne trouva comme urgence que de ressusciter les lois de l'honneur. Pour que coule de nouveau le sang de la « sacrifiée » contre la folie de l'Oncle Sam. Pour se débarrasser de Kadhafi, les prétendants au « trône » se sont réunis à Paris pour jurer qu'ils feraient de la Libye un pays laïc. Une fois le dictateur lynché, le pays pulvérisé grâce aux avions de Sarkozy, à l'ombre édénique du Ksar, les signataires retournèrent leurs stylos pour ressusciter la polygamie que le défunt avait interdite. Qui mieux qu'une « femme » peut liquider la femme ? Qui mieux qu'une « femme » peut lécher une main assassine tout en évitant de l'écorcher ? Qui mieux qu'une « femme » peut servir de paravent ? De souffre-douleur ? En Algérie, c'est plus secret, plus sournois. Une Régence conçue pour se remplir avec des mercenaires sans pedigree ; toujours partants après avoir brûlé les traces du crime et obliger la victime à creuser sa tombe et avant de crever, bénir leur bourreau. Bien qu'on soit à la mode avec des ministres femmes, des walis femmes, des députées femmes, des chefs de partis femmes, apparemment. Bien qu'on soit plus apaisé si la Kabylie venait de disparaître. Qui mieux qu'une « idiote utile » pour y mettre le feu sous l'œil des gourous. Enflammer les réseaux sociaux quitte à souffler sur la flamme par intermittence dans l'espoir de faire jaillir le brasier infernal. Que représente ce coin perdu qui n'a ni gisement d'or, encore moins de pétrole, de gaz conventionnel ou pas ? Seule la mémoire dérangeante de nos ancêtres les Berbères y a trouvé refuge avec une robe et un drapeau qui font peur. On n'y peut rien contre la mémoire inconsciente des corps... Stephens-Davidowitz, ex-employé de Google et auteur de « Tout le monde ment », révèle, lettres et chiffres à l'appui, que les pères américains se soucient, en premier, des capacités du cerveau de leur fils et pour leur fille, de son sex-appeal. Que dire des autres paternels ? C'est pour cela que la parité fait de la femme une plante décorative à qui on laisse pousser des épines quand elle est de service. Des hommes du pouvoir qui n'arrivent pas à s'entendre entre eux ou ont trop peur de s'exposer. Les Allemands, sans chichis, l'admettent : ils n'ont pas trouvé de remplaçant à leur chancelière. Seule capable de venir à la Régence prier la Sainte chaise roulante de reprendre ses milliers de clandestins. Par contre, Macron joue la parité à fond en nommant, pour veiller à la santé des Français, l'épouse au lieu du mari plus concerné par le virus de Wuhan et le vaccin. Un Lévy, investisseur dans l'industrie vaccinale et co-fondateur du labo de Wuhan. Le patron de l'Elysée opte pour la « Sinistre de la Santé » qui démissionne en pleine pandémie pour la mairie de Paris, classe la chloroquine comme produit vénéneux et la fait disparaître des pharmacies. Elle rigole, l'assermentée d'Hippocrate, quand on lui parle de masques, de la dangerosité de l'aluminium et du mercure dans les 12 vaccins obligatoires pour bébé. Comme d'habitude, le plus mauvais choix pour distraire, polémiquer, pointer du doigt le sexisme qui a toujours bon dos comme le racisme. Aux dernières nouvelles, l'ex-«la Sinistre», comme l'appellent certains journalistes, est nommée pour veiller sur le cancer des Français, infiniment plus rentable qu'une grippe. Bon courage aux médecins qui veulent lui faire un procès pour mise en danger de la vie... Le cancer, c'est connu, il n'a pas besoin de virus pour tuer. La France qui avait le meilleur système de santé, la voilà qui n'a plus rien. Simple cirque sans chapiteau où le clown ne sait ni rire ni pleurer. Non seulement, les hommes de la politique ridiculisent les femmes en choisissant les pires, mais exposent en premier les « idiotes inutiles » à la contamination : « 88% des infirmiers sont des infirmières, 90% des caissiers sont des caissières... et 90% du personnel dans les EHPAD (s'occupant de personnes dépendantes, maisons de retraite et autres) sont des femmes » (Maxime Combes, Mediapart 20/03/2020). Chez les Amérindiens (Indiens) et les Asiatiques, issus d'un système millénaire matriarcal, la prudence est de mise par rapport à l'Occident et au « monde arabe ». C'est pour cela qu'un Freud ne parle pas aux premiers encore moins un Pasteur. C'est intéressant de savoir que le docteur Raoult s'en remet, avec sa chloroquine aux travaux des Chinois qui s'inspirent des Amérindiens : l'écorce d'un arbre sauvage contre le Covid-19. Au moment où l'Homme, convaincu de son immortalité et son droit à l'ingratitude, met le feu aux forêts. C'est l'Afrique, le continent maudit, dont personne ne parle, sauf concernant sa démographie et ses épidémies, qui totalise 70% des incendies de la planète. Dans son livre, les Bâtards de Voltaire paru en 1991, John Saul écrit : « ...Tel est l'effet contraignant d'une civilisation qui cherche automatiquement à diviser en recourant à des réponses toutes faites, alors que nous avons désespérément besoin d'unifier l'individu en recourant à des questions ». Grâce au virus de Wuhan, les questions viennent, enfin ! La foule s'unifie dans l'affolement et les lamentations du temps perdu. Mais à quoi sert le luxe sécurisant d'un Titanic et la magie de son orchestre quand le maudit cargo se greffe aux arêtes de l'iceberg ? Comme d'habitude, l'urgence du dominant ne coïncide pas avec celle du dominé. Pendant que le premier est en train de fabriquer son vaccin, l'autre pleure son mort. Seul bémol, la mondialisation de l'éveil ou du re-souvenir (s'il n'est pas trop tard). Et pour le confinement, que dire de plus qu'un Adam Shamir d'Israël, le 28/03/2020, dans son article, Le corona, la peur et la pauvreté : « Malgré mon âge, la maladie ne me fait pas peur du tout. On ne meurt qu'une seule fois et c'est inévitable. C'est l'interférence des gouvernements à la main lourde qui nous pèse vraiment sur la nuque. C'est le confinement et non la maladie que je redoute... Cette recommandation de rester à la maison et de bien le prendre peut nous sembler louche; cet emprisonnement des citoyens est une étape qu'aucun tyran n'avait pu envisager jusque-là. Les autorités nous tiennent comme ils l'ont toujours voulu, par la peur, la recherche du pain restant l'unique activité permise, plus de manifs ni de rassemblements, la distanciation sociale à la place de la solidarité. Le premier mort du coronavirus en Israël, c'est un vieux survivant de l'Holocauste de 88 ans (sans le virus, il aurait été éternel); la deuxième victime, c'est une vieille dame qui avait toutes les maladies possibles, couronnées par le corona. La troisième..., c'est une nonagénaire. La maladie n'est pas si grave, le remède est bien pire. Une fois le confinement annoncé, 600.000 Israéliens se sont inscrits sur la liste de demandeurs d'emplois, parce que les petites et moyennes entreprises ont renvoyé leurs salariés sans les payer. Les employés mis à pied pourraient demander des prêts, à rembourser avec intérêts, une fois l'état d'urgence levé, mais personne ne dit où ils trouveront l'argent pour rembourser... ». On pourrait effacer le mot Israël et le remplacer par celui de l'Algérie, le poids, la précision, l'efficacité et les statistiques en moins. Il ajoute : « La sécurité intérieure (le Shabak) et la sécurité extérieure (le Mossad) ainsi que les forces de police se sont unies pour créer et activer un système futuriste de surveillance totale. Maintenant, ils repèrent et suivent tous les résidents israéliens, tout le temps. Si une personne a la fièvre et qu'elle est considérée comme potentiellement porteuse du virus, le système de surveillance trace toute personne qui ait été en contact avec elle depuis peu, ou soit juste passée à côté et leur fait savoir par texto qu'ils doivent aller en quarantaine pour 15 jours. Désormais, ils pistent tous les déplacements et toutes les rencontres de tous... tout le temps. Les effectifs de la police secrète du monde entier n'avaient jamais eu pareilles capacités magiques, maintenant ça y est. L'Etat juif est le terrain de test pour le projet de surveillance mondiale totale. Le corona passera, mais la surveillance absolue est en train de s'installer pour toujours, a prédit Yuval Noah Hariri. Seule la peur de la pandémie aurait pu faire que les gens acceptent une chose pareille et que la panique au corona l'a fait ». On se croirait dans le meilleur des mondes. Et comme d'habitude, pour acquérir la méthode des experts israéliens, les dirigeants vont accourir, notamment arabes, qui ne se maintiennent que grâce au pistage et au flicage. Heureusement que dans ce domaine, c'est la compétence qu'on redoute le plus : « Les migraines que nous donne le virus, c'est de la petite bière, à côté des conséquences terribles du confinement massif. L'économie réelle va se désintégrer, les travailleurs... vont travailler pour une bouchée de pain quotidien ou mourir. Seuls les financiers vont survivre et prospérer, eux et leurs troupes libérales... Le monde se partage entre ceux qui ont envie de se soumettre au confinement et ceux qui gardent un peu de santé mentale. Les maîtres du discours, les médias libéraux et leurs adeptes sont tous pour le confinement. Le Gardian et le New York Times prêchent le danger mortel du virus... J'ai essayé de suivre les infos... à la télé; il n'y avait pas de nouvelles, que de l'hystérie en ligne... ». Et pour cause, c'est le confinement et la ruine pour les pauvres, les précaires, les mi-temps qui sont, le plus souvent, des femmes. Malheur à ceux qui n'habitent pas en Suisse, en Suède, en Russie, au Belarus, au Canada, au Japon et curieusement en Chine et au Maroc. Certains de ces gouvernements distribuent gratuitement de la chloroquine à tout le monde, d'autres aident financièrement les plus démunis, sont à l'écoute de leurs concitoyens, subissent les directives des « maîtres décideurs » en les écorchant ou en passant outre selon leur poids. C'est certain, on n'a pas la même montre... Shamir conclut : « Qui a créé le Covid-19 ? C'est une question intéressante, mais moins importante, désormais. Qui a créé la panique et qui s'en sert pour atteindre ses buts, voilà ce qui est important ». Toute création a un but. Chercher celui qui a créé le virus, on trouve celui qui en profite. On voit que l'auteur est un homme. Une femme aurait trouvé beaucoup plus important le créateur du virus en supposant qu'il soit dissocié du profiteur. Génétiquement programmées pour donner la vie, les filles d'Ève font tout pour la protéger et limiter les dégâts pour les survivants. Vont-elles finir par tuer tous ceux qui s'approchent de leurs petits comme les chimpanzés ? Dans le Japon antique, dans une maisonnette où règne une misère extrême, une vieille décide de disparaître pour que ses petits-enfants affamés puissent jouir d'une part supplémentaire. Un soir, elle s'isole avec son fils et lui dit : « Fils, je sens mon heure. Demain avant l'aube, porte-moi sur ton dos jusqu'au sommet de la montagne pour mon Dernier voyage... » Et le fils de répliquer : « Mère, ton heure n'est pas venue puisque tu as encore de solides dents pour manger de la viande ». Le jour suivant, la mamie se munit d'un gros caillou et casse ses dents, obligeant ainsi le fils à s'exécuter... On comprend pourquoi le Japon est le seul pays au monde où des jeunesses de plus de 100 ans se lèvent de bon matin pour souhaiter une bonne journée à leurs petits-enfants et arrière-petits-enfants ainsi que ceux des voisins. Et le plus surprenant, c'est que ces derniers avouent en avoir besoin... Les femmes n'ont pas d'ego, mais des névroses. Elles captent les tensions là où les hommes voient du vent, elles ressentent dans leur chair la direction néfaste où se dirige le train mondial. La psychiatrie classe la névrosée comme malade alors qu'elle aurait dû soigner l'ego masculin qui n'a aucune raison d'exister vu le résultat. La religion a mis l'homme au centre, image de Dieu, alors qu'elle aurait dû mettre le couple pour que vive l'enfant. Notamment, quand on voit l'indifférence des femmes envers le pouvoir. Ce sont des hommes qui ont le plus encouragé le vote féminin. Au 19e siècle, John Stuart Mill, équivalant à notre Bennoune national, affirmait qu'il fallait que les femmes votent. On le traitait de fou. Deux siècles plus tard, la folie s'assume dans l'existence virile d'un Pouvoir mondial cloné à lui-même. Que faire ? Si le coronavirus nous prête vie, il faut revenir au tirage au sort. Certains pays comme le Canada, les Pays-Bas, l'Islande, l'Irlande... ont déjà tenté l'expérience, bien sûr sans intéresser les médias. Et dire que pour Montesquieu, le fondateur de l'Etat de droit moderne : « Le suffrage par le sort est de la nature de la démocratie; le suffrage par choix est de celle de l'aristocratie ». Idem pour Rousseau, dans Le Contrat social, en 1762: « Quand le choix et le sort se trouvent mêlés, le premier doit remplir les places qui demandent des talents propres..., l'autre convient à celles où suffisent le bon sens, la justice, l'intégrité... ». 20 ans, à peine, après la publication des œuvres des deux plus grands philosophes des Lumières, « la désignation des gouvernants par le sort s'était comme évanouie. Il n'en fut jamais question pendant la Révolution américaine et la française » (Bernard Manin). On l'a compris, si les Pères fondateurs avaient maintenu le tirage au sort, le règne sans partage d'une poignée d'individus aurait été impossible. Des énergumènes que la majorité des 7,55 milliards d'humains ne connaît ni d'Ève ni d'Adam. Maintenant que la vie humaine est menacée, les femmes ne peuvent que s'impliquer de gré ou de force. Quitte à revenir ou inventer la Djemâa mixte. Et espérer qu'en Algérie, il y aura des « tayabates », épargnées par l'Alzheimer, tirées au sort pour essayer de sauver un peu de ce qui reste de la mémoire primitive et de nos arbres magiques. Tel un Fidel Castro, cerné par le blocus de l'Oncle Sam et l'écroulement de l'URSS, conseillant aux Cubains de se débrouiller avec les recettes ancestrales des grands-mères. Comme un Hirak orphelin qui, d'instinct, met sa confiance en sacrant celles que les décideurs mortifères classent parmi les parias : les vieilles. Forcément les plus dangereuses. L'Inquisition toujours à l'œuvre... Que faire ? Pour Ghislaine Lanctôt, l'auteur de La Mafia médicale : « Si le gouvernement nous dit de tourner à droite, il faut tourner à gauche. S'il dit à gauche, tournez à droite. Faites le contraire pour votre salut... » (Personocratia Diesse, Youtube). |