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Que demande la société à la femme, son utérus ou son cerveau ? Pourtant, elle voudrait bien investir ses deux organes dans la promotion sociale, si les misogynes lui permettaient en daignant réduire, un tant soit peu, leur pouvoir phallocratique. L'Algérie ne peut négliger l'impulsion universelle suscitée par l'égalité entre les citoyens, dans le but de généraliser la citoyenneté morale aux dames. Sans aucun doute, Alger refuse de conjuguer son devenir à l'imparfait ; surtout que l'objectif principal de ce troisième millénaire étant «l'autonomisation» des femmes. Les pays voisins ont atteint la vitesse de croisière dans le domaine du changement des mentalités. Ils ont bien compris qu'à l'origine, ces changements doivent jaillir de la communauté elle-même. La preuve est que dans ces contrées, l'hymen ne colle plus à la réputation de la fille nubile, ni à l'honneur de la famille. Il ne constitue plus la dot sacrée exigée de la jeune mariée. Le conjoint a pu sauter le pas et briser le tabou. Quoique pour le machiste ce faible débit de libération des autres maghrébines ne peut charrier les changements au sein de notre pays. Il voudrait bien se référer à ces peuples ayant mis le cap au Nord, mais il craint que son épouse cesse d'être sa femme-objet pour devenir sa compagne. Il appréhende le fait que le législateur puisse lui conférer le droit de pouvoir le chasser du foyer conjugal s'il en abusait de son statut de chef de famille. Il paraît que le bien-être social s'obtient par le nivellement des espérances à travers l'égalisation des chances. Notre société est ainsi interpellée par l'égalité entre les sexes, qui s'annonce comme un problème aux données explosives et dont les solutions évasives ne conduiraient qu'au pire. C'est dans ce cadre que s'inscrit le «Gender mainstreaming» qui signifie l'équité entre les hommes et les femmes. Ce concept est apparu, pour la première fois, comme une stratégie politique possible en 1985, lors de la troisième conférence des Nations Unies sur les femmes à Nairobi (la revue Deutschland évoque, à ce titre, que le Kenya compte 26.000 groupes de défense des droits de la femme). En Europe, notamment en Allemagne, 40% des femmes ayant poursuivi des études supérieures ne font pas d'enfants. Elles voient dans le mariage une source de décadence intellectuelle. Souvent elles recourent à l'interruption volontaire de la grossesse bien que l'avortement soit proscrit. Certains pays incitent les Organisations non gouvernementales à passer outre ces interdits. Comme cette association d'un pays nordique (à l'image de Greenpeace) appelée «Woman on waves» (femme sur les vagues) qui, à l'effet d'aider les femmes des contrées où l'avortement est prohibé à se débarrasser de leurs foetus, s'est dotée d'un hôpital flottant. Cette forme de contraception «passive» conséquente à l'investissement total de ces dames dans le travail, est considérée comme le facteur essentiel de la décrépitude des sociétés occidentales qui se caractérise par le vieillissement démographique. Présentement, il est introduit en Allemagne le concept de «balancing» pour désigner l'équilibre entre la vie familiale et la vie professionnelle. Sa voisine la Suisse se plaint, elle aussi, de la baisse effroyable du taux de natalité qui porte un grave préjudice à l'équilibre intergénérationnel. Dans ce sens, si l'on se référait à la théorie disant que tout pays, qui recouvre son indépendance après une longue guerre meurtrière, vit naturellement un baby-boom qui sera suivi soixante ans plus tard d'un papy-boom. Ce phénomène et ses aléas sont attendus en Algérie à partir de 2012. Il est à rappeler que l'Union nationale des femmes algériennes avait un ancêtre: «l'Union des femmes musulmanes algériennes» qui activait en 1947. Cette organisation était l'un des effluents du mouvement nationaliste, puisque le Parti du peuple algérien comptait dans ses rangs des groupes de femmes comme le prouve le combat de madame Nassima Hablal qui a rejoint le PPA en 1946. Mais «les pas fameux», qui craignent l'évidence, ont tendance à parasiter l'histoire dans le but de monopoliser la vaillance des dames. Ils accusent ce mouvement de rétractif afin de désavouer le géniteur légendaire du nationalisme algérien dont s'étant une mission sacrée d'effacer son discours des annales de l'histoire. On concède à l'histoire une lie politicienne où les patriotards cultivent le fanatisme azuré et l'amnésie lacunaire pour jeter l'opprobre sur les promoteurs de cette nation. La famille étant un sujet très important qui doit mobiliser tous les citoyens en vue de restructurer judicieusement la société qui chavire par le déséquilibre de son mât de misaine tant que «Louiza» n'aura pas sa place au niveau du socle républicain. Bien qu'il ressorte du discours du premier magistrat que la nation attend énormément de la femme et espère qu'elle changera la société par une action calme et dynamique, qui révolutionnerait la vie nationale. L'Algérienne semble avoir compris que s'émanciper ne veut pas dire s'occidentaliser. Mais être soi-même et bien en harmonie avec les autres. Celle-ci, selon l'analyse de l'ethnologue, doit savoir utiliser ce qui lui est étranger pour mieux être elle-même. C'est, hélas, en voyant son image masculine se ternir par la dépréciation du culte de la virilité que le macho s'est mis à crier à l'invalidation de sa prostate. Il hurle sa colère face à cette émasculation insidieuse administrée par voie cathodique. Il ouvre ses hostilités (tous azimuts) sur la femme qui ne veut plus porter son utérus en fardeau. Parce que madame a constaté, à ses dépens, qu'elle se fait davantage serrer le bât à chaque fois qu'elle accouche et la haire à coups de menaces de répudiation si elle mettait au monde une fille. Ne dit-on pas, dans ce contexte, que pour attacher une femme, il faut lui faire des enfants ? Celle-ci refuse, désormais, de fabriquer ses chaînes au grand dam de ce mâle. Bien que de nos jours quand le père marie sa faille, celle-ci devient sa mère chaleureuse et lorsque son fils se marie, ce dernier, sous les ordres de son épouse, se transforme en une horrible mégère et va terroriser son propre papa, qui doit fuir vers l'hospice. Le devoir sacré de lignage (silate errahim) et le droit des parents sur les ascendants ne semblent plus religieusement observés. Bien que cette obligation ait été rappelée par un texte de loi. La «dématernalisation» pourrait s'installer en Algérie, si l'on se réfère au sexe ratio des candidats au Bac 2004 qui est à 57% composé de filles. Il ne faut pas oublier, pourtant, que le taux d'analphabètes chez les femmes est de 35% contre 26% chez leurs frères. Une autre alarme vient également de cette indication affirmant qu'au niveau universitaire, il a été recensé 13% des étudiantes qui ont goûté à la drogue. La dénatalité qui fut un phénomène social en Occident pourrait se propulser jusque chez nous (si elle n'est déjà là), compte tenu du prolongement du célibat dicté par le manque de moyens qu'exige le mariage et l'espacement des naissances dont les slogans ont convaincu la majorité des couples. La question est de savoir si notre jeunesse n'est pas séduite par cette forme de «contre culture» ; sachant que l'intelligence, à la base, est unisexe. Nul n'ignore que l'instruction, qui est l'artillerie, ayant libéré le génie, ne puisse pas affranchir la femme de l'emprise de l'homme. Il est à constater que le diplôme est devenu la clé du travail pour les femmes alors que pour les hommes, il est facultatif. D'où l'évidence que les travailleuses ont un niveau scolaire de loin plus important que celui des hommes. L'Office national des statistiques a révélé que le nombre des femmes qui travaillent s'élève à 1.400.000 en 2004. Il a avancé les proportions suivantes: 50% des travailleuses sont mariées, 35% sont célibataires, 14% divorcées, 5% sont veuves et 18% habitent seules. Celles-ci détiennent un taux de diplômes supérieur à celui des hommes. Des chiffres d'autres organismes officiels corroborent ce sursaut social féminin puisqu'il est établi que les femmes représentent 56% des effectifs de la santé, 46% du corps enseignant. Ces statistiques en décolleté donnent l'envie de crier victoire sur les «dit-on». En résumé, le travail a bien des effets libérateurs et c'est là que gît le noyau dur de la domination masculine contemporaine. Cela va s'en dire, l'égalité entre les sexes demeure un plaidoyer ontologique, que toute société voudrait mettre en avant. Même celle ayant une réputation pour leur mépris du sexe dit faible. Les femmes ont bien rattrapé les hommes sur le plan des qualifications professionnelles. C'est bien prouvé, l'homme n'est pas l'axe du monde. C'est plutôt sa compagne qui serait le nombril de l'humanité. Il est à savoir que le spectre de la dégaine masculine se rencontre même en Chine où la femme déplore le fait qu'étant enfant, elle est sous la tutelle de son père ; mariée, elle se retrouve sous l'autorité de son mari et une fois veuve, elle se voit sous la garde de son fils. Ainsi la qualité de vie des filles se mesure à la longueur de la laisse masculine. Il est aussi établi que certains pays d'Asie pratiquent de l'infanticide sélectif avec pour victime désignée, la fille. Donc pour avoir le droit de survivre, la mousmé (fille) doit subir l'enfer phallocratique comme une obligation du fait. Le supplice étant la clef de sa survie ! L'être de la fille est trahi à l'état foetal par l'échographie. Celle-ci perd congénitalement ses droits pour venir au monde (tout comme le garçon, le corps couvert de sébum et l'âme vierge), avec billet d'écrou mentionnant son enfermement à vie et les souffrances en caution. C'est, dit-on, une condamnation ancestrale qui doit invalider son existence, au seul motif de son sexe ; puisqu'elle a toujours été accusée du péché originel, d'où cette éternelle discréditation morale. Nul ne peut faire fi du texte d'Olympe de Ganges, rédigé en 1791, réclamant une égalité complète des sexes en droits et en devoirs. C'est la première dame qui certainement a participé activement dans la révolution française et revendiquait l'extension des droits de l'homme et du citoyen à la femme ; notamment les articles suivants (intégralement reproduits) qui sont favorables à l'émancipation de la femme et à son insertion dans la vie politique et économique du pays : Article 1- La femme naît libre et demeure égale à l'homme en droits. Les distinctions sociales ne peuvent être fondées que sur l'utilité commune. Article 2- Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de la femme et de l'homme ; ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et surtout la résistance à l'oppression. Article 3- Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation, qui n'est que la réunion de la femme et de l'homme ; nul corps, nul individu, ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément. Article 4- La liberté et la justice consistent à rendre tout ce qui appartient à autrui ; ainsi l'exercice des droits naturels de la femme n'a de bornes que la tyrannie perpétuelle que l'homme lui oppose: ces bornes doivent être réformées par les lois de la nature et de la raison. Article 6- La Loi doit être l'expression de la volonté générale ; toutes les Citoyennes et Citoyens doivent concourir, personnellement ou par leurs représentants, à sa formation ; elle doit être la même pour tous ; toutes les Citoyennes et tous les Citoyens, étant égaux à ses yeux, doivent être également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leurs capacités et sans autres distinctions que celles de leurs vertus et de leurs talents. Article 7- Nulle femme n'est exceptée ; elle est accusée, arrêtée, et détenue dans les cas déterminés par la Loi. Les femmes obéissent comme les hommes à cette Loi rigoureuse. Article 8- La Loi ne doit établir que des peines strictement et évidemment nécessaires, et nul ne peut être puni qu'en vertu d'une Loi établie et promulguée antérieurement au délit et légalement appliquée aux femmes. Article 9- Toute femme étant déclarée coupable : toute rigueur est exercée par la Loi. Article 10- Nul ne doit être inquiété pour ses opinions même fondamentales ; la femme a le droit de monter sur l'échafaud ; elle doit avoir également celui de monter à la Tribune ; pourvu que ses manifestations ne troublent pas l'ordre public établi par la Loi. Article 11- La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de la femme, puisque cette liberté assure la légitimité des pères envers les enfants. Toute citoyenne peut donc dire librement, je suis mère d'un enfant qui vous appartient, sans qu'un préjugé barbare la force à dissimuler la vérité ; sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la Loi. Article 12- La garantie des droits de la femme et de la citoyenne nécessite une utilité majeure ; cette garantie doit être instituée pour l'avantage de tous et non pour l'utilité particulière de celles à qui elle est confiée. Article 13- Pour l'entretien de la force publique, et pour les dépenses d'administration, les contributions de la femme et de l'homme sont égales ; elle a part à toutes les corvées, à toutes les tâches pénibles ; elle doit donc avoir de même part à la distribution des places, des emplois, des charges, des dignités et de l'industrie. Article 14- Les Citoyennes et Citoyens ont le droit de constater par eux-mêmes, ou par leurs représentants, la nécessité de la contribution publique. Les Citoyennes ne peuvent y adhérer que par l'admission d'un partage égal, non seulement dans la fortune, mais encore dans l'administration publique, et de déterminer la quotité, l'assiette, le recouvrement et la durée de l'impôt. Article 15- La masse des femmes coalisées pour la contribution à celle des hommes a le droit de demander compte, à tout agent public, de son administration. Article 16- Toute société, dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de constitution et celle-ci serait nulle si la majorité des individus qui composent la Nation n'a pas coopéré à la rédaction. Tout récemment, la science a pu prouver, grâce à la piste génétique, que les femmes survivent aux hommes et que le déclin immunitaire de ces derniers soit plus rapide avec l'âge. Quoique la durée de vie des femmes fût inférieure, compte tenu des accidents de la grossesse, de l'accouchement et de l'allaitement. De nos jours, la santé maternelle est devenue un incontournable indicateur de santé publique. Par-delà cette preuve, la science a aussi permis le clonage qui confirme les capacités de la femme à pouvoir faire des enfants sans recourir à la semence mâle. Sur le plan biologique, des études récentes ont montré que les hormones sexuelles féminines diminuent les risques de maladies cardio-vasculaires et que le taux élevé de testostérone (hormone sexuelle male) a des effets négatifs sur le cholestérol (qui est un gradient de mortalité) et lui confère un terrible lot de cardiopathies ischémiques. Il est aussi rapporté par des généticiens que les maladies liées au sexe touchent les hommes plus que les femmes. Chez la femme le chromosome X défectueux est compensé par l'autre X. Chez l'homme dont les 2 chromosomes sont différents X et Y ; comme il n'y a qu'un X, celui-ci est sujet aux maladies. En outre, il est en outre prouvé que plus une société est égalitaire, meilleure est la santé de sa population. Plus elle devient équitable et plus son espérance de vie augmente. Par ailleurs, selon l'esquisse anatomique, le pantalon convient mieux à la femme. Il faut donc savoir conduire cette «démasculanisation» du pouvoir afin d'intégrer notre nation dans le monde de demain. Sur le plan psychologique, l'article d'Elke Dobner «Comment les femmes dirigent» fait le constat suivant : «Qu'à Quotient Intellectuel égal, les femmes sont plus aptes à diriger les équipes en raison de leur Coefficient Emotionnel.» Depuis, les gens bien-pensants se sont ligués pour réfléchir sur ce phénomène de société et libérer les peuples des carcans de l'orthodoxie. Ce point d'orgue a soulevé les troubles du métabolisme social. Mohamed Aziz Lahbabi fait état, dans son livre «Du clos à l'ouvert», d'une étude sociologique effectuée par Margaret Mead (à travers laquelle il invite les antiféministes maghrébins à bien méditer) qui, après une longue et minutieuse étude de trois tribus, a établi que même les différences psychologiques entre les sexes (que nous croyons «aller de soi») ne résultent, en fin de compte, que des influences sociales et des conventions devenues habitudes. La savante américaine a constaté que dans l'une de ces tribus ce sont les hommes qui sont timides. Ce sont eux qui font de la broderie, tandis que les femmes traitent les affaires et sont, avant tout, robustes et pratiques. D'autres études, dues aux travaux de différents chercheurs, confirment les résultats obtenus par cette Margaret Mead. Notre auteur conclut par cette interrogation: «L'histoire et les faits de tous les jours ne se chargent-ils pas d'apporter un démenti formel à ceux qui prétendent que physiologiquement et mentalement la femme soit moins dotée que l'homme pour accomplir certaines tâches intellectuelles ou de responsabilité ?» De toute évidence, cette question doit secouer l'orgueil des têtes enturbannées. Hélas, le temps a toujours défié la nature en créant, à la fois, des surhommes et des victimes ! Jadis, la femme algérienne s'occupait de son domicile, sa cour, sa basse-cour (étable, poulailler, clapier...), son jardin maraîcher... Elle participe activement aux travaux des champs avec son mari, aux côtés duquel elle a toujours combattu. En outre, et à la différence de la dame moderne, elle faisait sa galette et son petit-lait, sassait et moulait son grain, tamisait sa semoule, roulait son coucous, préparait ses réserves et ses conserves, tissait... Présentement, la ménagère échappe à la domesticité grâce à l'évolution technologique et notamment l'automation qui a mis à sa disposition la machine à laver, la cuisinière, le four électrique, la cocotte-minute, l'aspirateur, le robot et la pilule contraceptive (que d'aucuns considèrent comme la révolution des temps modernes). Elle réclame, de ce fait, la parité. Elle cherche, désormais, à investir le temps gagné sur toutes ses corvées à s'idéologiser en troquant son voile contre un burnous pour susciter la révérence au masculin. Enfin, si l'homme a doté son foyer de ces équipements, comment pourrait-il retenir sa conjointe à la maison ? Il peut cependant tremper le sceau validant cette libération dans le défaitisme culpabilisant le siècle et attribuer la crise sociale à son malaise conjugal. L'Etat, de son côté, semble appeler du pied la femme à s'incorporer dans les formations politiques, et ce, pour qu'il puisse se mettre à l'air du temps et exprimer son option démocratique et son désir d'instaurer la parité au niveau de toutes les sphères du pouvoir, en vue d'une pratique constitutionnelle correcte. Néanmoins, son appel soulève d'innombrables questions dont la plus importante est de savoir si la parité serait une dot démocratique ou un dol politique ? Ça, c'est une autre affaire ! D'ailleurs, le machiste crie déjà au scandale. Pour lui, les deux chambres ne seront jamais des «gynécées». Il enjoint, dans son dernier élan de phallocrate au «scrotum plié», la soeur de tirer un trait définitif sur la politique où de grands hommes ont laissé leurs moustaches. Alors dira-t-il : «Mesdames, tenez-vous bien des sérénades politiciennes et ne traversez pas le miroir aux chants des alouettes, la parité est toujours portée au registre «La yazouz».» * Professeur d'enseignement paramédical - Annaba |