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Ce trio-Titanic ne pouvait cloner
son talon d'Achille sans provoquer l'Iceberg... Hier, n'importe quel bougnoul,
ni trop vieux ni trop esquinté, pouvait terrasser ces bestioles microscopiques
avec une simple tisane, un cachet d'aspirine, une virée chez la
voyante-guérisseuse, le cheikh-taleb, le
gourou-sorcier ou le toubib de campagne pas encore assermenté à BigParma. Le plus cité des auteurs modernes, Naom Chomsky, n'a rien vu venir. Encore moins, le Pr,
Didier Raoult, grand spécialiste des maladies virales, projeté de force dans la
lumière pour lancer avec une prudente lassitude : «il y a 13 coronavirus dans
la circulation, un 14eme de plus ou de moins, quelle importance... » (Youtube) Tout en ajoutant que tous les 5-6ans le virus
d'Ebola est tiré de son tiroir...
Il ne nous dit pas si c'est pour faire rire ou peur. On n'a pas besoin de savants pour craindre le pire d'entre eux : le virus de la peur. Et dire qu'on se moquait de nos vieux quand ils parlaient du «mauvais-œil». Aujourd'hui, on dit placebo, méthode Coué, la loi de l'attraction etc. Et la perversité des medias réside dans le fait de nous rassurer avec des mots et nous terrifier avec le décompte des victimes à longueur des 24h. Unique conseil : lavez-vous les mains. Au propre et au figuré ?! Heureusement, l'ONU a prévenu : le 21eme est le siècle des désordres mentaux. Pour le moment, le Pr Raoult tient le coup. Face à la camera de France TV, il affirme qu'il faut faire une différence entre mourir de la grippe ou avec la grippe. Comme son collègue le Pr Henri Joyeux qui différencie bien, mourir de la rougeole ou avec la rougeole. Tout en précisant que l'enfant est déjà vacciné dans le ventre de sa mère. Certes tout virus qui se respecte mérite son vaccin. «Les événements mondiaux n'arrivent pas par hasard : On fait en sorte qu'il s'agisse des intérêts nationaux ou du commerce ; et la plupart des événements sont manigancés et menés par ceux qui tiennent les cordons de la bourse.»(Denis Healey) Les mauvaises langues disent que celui de Wuhan tombe bien : contestation quasi planétaire, période hivernale, électorale, coincé entre un marché d'animaux et l'unique laboratoire chinois haute sécurité «virale». Déjà en 2011, classée année de la Contestation, on évoquait un virus de la grippe capable d'exterminer l'espèce humaine (Google). En 2009, une année à peine après la crise économique, des millions de personnes devaient mourir du H1N1. Il faut dire que les pays occidentaux avaient pris le danger à sa mesure en achetant jusqu'à 2 fois plus de doses que le nombre de leurs citoyens. On connaît la suite... L'Allemagne, obligée d'incinérer 16 millions de vaccins après avoir essayé en vain de les vendre (Le Point.fr 17/08/2011). Il paraît qu'on ne peut pas jeter les vaccins dans les toilettes et tirer la chasse. Trop dangereux, mais pas assez pour les injecter à un nouveau-né. Et dire que les Allemands avaient prévu de faire une marche fin mars (21 ?) pour revendiquer la libre médicalisation. Traduction : pas d'obligation, pas d'interdiction. Chacun est propriétaire de son corps et pour les enfants, seuls les parents sont habilités à faire leur bien. Quant à l'Italie, en 1986, durant la catastrophe de Tchernobyl, elle prit tout au sérieux : destruction des légumes, abattage, incinération d'animaux et la quarantaine pour les enfants. Pendant que sa voisine, la France, épargnée par le Saint Esprit, fit le contraire. Certes les Italiens c'est aussi précieux que des Suisses pour leurs élus. Leurs laboratoires peuvent faire des analyses et obliger Monsanto et BigPharma à dédommager leurs victimes. Ils ont même vérifié tous les vaccins et ont conclu que le moins dangereux était celui de leurs chats. (site Cogiitoo.com). Heureusement que le virus de Wuhan, en dehors de Wuhan, ne tue que les vieux à la santé déjà bousillée. Pour le moment, d'après le responsable de l'OMS, tout est possible avec ce virus. On est convaincu qu'il est spécial s'il defie la «sainte trinité» antivirale chinoise-française-étasunienne. Mais, on l'imagine mal grimper le mont Olympe et s'attaquer aux vieux milliardaires au système immunitaire aussi blindé que l'éden de leur bunker. On n'imagine mal leur progéniture s'empiffrer d'aspartame et autres cochonneries spéciales bazar et souk. Comme le dit la Pub arabe : «pas assez chère, mon fils !». L'édulcorant se contente de leur ramener des milliards par an. Idem pour Mr Vaccin, Bill Gates, qui se montre aussi invincible que ses potes. D'après son ex-médecin, il ne vaccine pas ses enfants, qui sont «beaux, vifs, intelligents comme «vaccinés naturellement» (Google). On rejoint là, l'épouse de Trump qui affirmait, durant la campagne présidentielle de son mari, que les milliardaires ne vaccinent pas leur progéniture. Depuis, il y a contamination dans l'air. Les pays les plus riches, sont les plus hostiles aux vaccins, d'après une étude anglaise. «Épidémie mondiale de maladies chroniques dues à la vaccination ? 130 associations demandent des comptes à l'OMS au sujet des vaccins. À l?occasion de la réunion du «réseau mondiale des laboratoires» sur le contrôle de la qualité des vaccins, des scientifiques, médecins et journalistes médicaux du monde entier ont adressé un appel à l'OMS. Ils demandent la cause de l'augmentation alarmante des maladies chroniques dans le monde soit étudiée et soulignent que les vaccins sont les responsables les plus probables. Ces informations cruciales n'ont pas encore fait l'objet des discussions publiques de la part des politiciens ou des principaux medias.» (Source Klagemauer TV.FR 27/10/2019). On comprend pourquoi les Maîtres achètent journaux, magazines, TV... Toujours le secret. Il reste, le «tam-tam» de l'Internet, dixit Umberto. De plus, en plus censuré, agressif, racoleur, payant et vampirisant. Dans son livre, «À reculons comme une écrevisse», le célèbre philosophe, confie : «... si j'étais un homme de pouvoir empêtré dans des affaires obscures et si j'apprenais qu'une révélation allait bientôt mettre en lumière mes méfaits dans la presse, je n'aurais plus qu'une solution : je poserais ou ferais poser une bombe à la gare, dans une banque, ou dans la rue à la sortie de la messe. Ainsi, je serais sûr que pendant au moins une bonne quinzaine de jours, les premières pages des quotidiens, l'ouverture des journaux télévisés seraient consacrées à l'attentat et la nouvelle qui m'inquiète, confinée dans les pages intérieures, passerait inaperçue... » Signalons que pour l'auteur, le mot bombe peut-être pris au figuré. Il cite l'«effet de bombe» à la Berlusconi. Les gaffes incompréhensibles qui ont permis à la TV berlusconienne d'enterrer définitivement la RAI (télévision publique), tout en multipliant ses dividendes. Quand on tape sur Google «attentat sous faux drapeau» on trouve plus d'une cinquantaine d'exemples où les grandes puissances (Allemagne, Japon, la Russie, les USA... ) avouent y avoir recouru. Que dire des petites nations arabes, de leurs éternelles cachotteries pour paraître plus saint que saint entrainant le vide dans la mémoire, les archives et jusqu'au tableau scolaire. Par exemple, on ne sait rien sur la décennie noire de l'Algérie que ce qu'a bien voulu nous communiquer l'Unique et ses sœurs. On ne peut jurer, main sur le Coran, sur «qui tue qui ?» Question vite murmurée, vite évaporée. Idem pour la réconciliation qui, à peine déclarée, s'étouffait avec ses youyous. Dans Les 7 piliers de la Sagesse, Lawrence d'Arabie décrit les Arabes : «... pas de demi-tons dans leur registre de vision... de noir et de blanc... Ils ne connaissent que le vrai et le faux... Leurs pensées n'étaient à l'aise que dans les extrêmes... On pouvait balancer les Arabes à une idée comme au bout d'une corde, car l'allégeance jamais formulée de leur âme en faisait des serviteurs obéissants. Aucun d'eux n'échapperait au lien avant que le succès ne vint, et avec lui les responsabilités, le devoir et les engagements. Alors, l'idée avait disparu et le travail finissait... en ruine... Leur esprit était étrange et sombre, rempli de dépressions et d'exaltations, manquant de discipline, mais plus riche d'ardeur et plus fertile en croyance que tout autre au monde... » Que demande le maitre, qu'un serviteur obéissant. Dans les 1001 Nuits, tout est dit : «Ce qui appartient au maitre est défendu à l?esclave.» Ce qui explique les plans de Brezinski pour en finir avec l'URSS avec la réislamisation des Arabes. Un monde, pourri de la tête, si facile à utiliser et à se suicider avec les mains incestueuses de Daech, d'Al Quaïda ... «En vérité, il n'y a pas d'armée islamique, de groupe terroriste appelé Al Quaida. Et n'importe quel officier des renseignements informé le sait. Mais, il y a une campagne de propagande pour que le public croie en la présence d'une entité identifiée. Le pays derrière cette propagande est les USA.» (Pierre-Henri, ancien militaire des Renseignements français) Dans le livre «Une Mort à la Lettre», Saïd Mekbel répond à l'interview de Monika Borgmann : «... j'ai toujours été contre le pouvoir en place... Les gens du FIS se sont rendu compte que je me battais, moi aussi, contre le pouvoir... Je rêvais d'écrire de petites choses gentilles qui font rire les gens... je suis un porte-parole... C'est ce rôle... que le pouvoir ne veut pas. J'ai eu des offres pour avoir des responsabilités très, très importantes. Et parallèlement, on a mené des enquêtes sur ma vie... ils n'ont rien trouvé... , je fais partie d'une minorité... je paie rarement mes repas dans les restaurants parce qu'il y a toujours quelqu'un qui me reconnait et qui paie mon repas. Pour cela, je suis convaincu d'appartenir quand même à une majorité.» Sur l'assassinat de ses amis, il souligne sa ressemblance avec eux et ne peut s'empêcher de jouer à Colombo : «... C'est le même visage... le même âge... le même regard... quand tu découvres ça à deux heures du matin... Jamais de ma vie, je n'ai eu cette angoisse... J'ai mis tout de suite une tête sur le commanditaire... il sait que je sais. Parce que j'ai souvent traité de cette question dans les petits billets, par sous-entendus... quand il décidera, ce sera fait... Il fallait trouver quelqu'un qui nous connait tous. Il a géré leur carrière, leurs fichiers, leur vie, leurs diplômes etc.» Avant d'ajouter: «Je crois qu'il y a eu une saturation des cœurs, des états d'âme, des sentiments... on a voulu l'anesthésie de toute la société civile et particulièrement ... intellectuelle. Ceux qui gèrent ce terrorisme, pas celui qui tue des agents de police, sont des spécialistes en communication de masse. Ce sont des manipulateurs... Les généraux, dès qu'ils verront que leurs intérêts sont touchés, ils vont s'unir... Démocrates, pas démocrates... Et ils vont sacrifier un ou deux généraux pour l'exemple. C'est tout.» L'Algérie a fini par être un village de Potemkine avec rien derrière qu'un désert pétrifié. Même le leurre fut importé. Ni la France, ni les USA, encore moins l'Islam et les Arabes ne sont responsables de l?état exceptionnel de l?Algérie. Ils y ont contribué certes et les Algériens n'en sont pas les seules victimes. François Asselineau nous dit que les USA, avant même de se constituer, avaient bombardé le Japon pour qu'il ouvre son marché. Que dire, des guerres de l?opium contre la Chine. Sans parler de l'extermination des juifs... Si on y ajoute une géographie maudite avec une Régence fantoche et décervelée. Une Algérie orpheline, isolée, anesthésiée, apeurée/névrosée, coincée entre une Tunisie qui a toujours su choisir ses chefs et un Maroc dirigé par la même famille royale depuis des siècles. Une seule issue, basculer pour quitter fissa le triangle des Bermudes qu'est le milieu. Tout en espérant que la théorie du 100eme Singe marche. L'expérience se passe dans l'ilot de Kôjima au Japon de 1952 à 1965. Des scientifiques jettent des patates douces à des singes, les macaques. Un jour, Imo, la femelle eut l'idée de plonger l'aliment dans l'eau pour se débarrasser du sable. Des proches l'imitèrent et peu à peu, le groupe des laveurs de patates prit de l'ampleur. Le procédé, franchit les barrières naturelles jusqu'aux colonies lointaines. C'est Ken Keyes dans «Le 100eme Singe»qui rendit l'histoire célèbre. Il rêvait de l'appliquer aux Hommes. Wikipédia n'y croit pas, mais on ne compte plus les expériences où les animaux utilisent ce genre de télépathie. Notamment, celles de Rupert Sheldrake, chercheur anglais spécialiste dans la parapsychologie des animaux. De nos jours, on découvre que même les arbres qu'on est en train de brûler, possèdent ce don. Certes, le temps ne joue pas en faveur des petits, mais, par chance, ils sont les plus nombreux. De nos jours les macaques, chassés de leur forêt, mangent des rats. Gageons qu'ils auraient refusé d'avaler des patates OGM comme le font des bêtes moins évolués. «Sortir de la matrice» ou faire ventre avec elle. Woodrow Wilson, le 28eme président américain, malgré son Prix Nobel de la Paix et le droit de vote octroyé aux femmes, souffrait déjà du «complotisme» : «Nous sommes devenus un des gouvernements du monde les moins bien dirigé... entièrement contrôlé et dominé... par l?opinion et la coercition d'un petit groupe d'hommes dominants.» Ces derniers ont pris bien de l'avance. Si le coronavirus nous prête vie, il faut survivre à leur enfer. Y compris si la prison est dans la Prison. Quand Ferhat Abbas disait que la nation algérienne n'existait pas. Traduction, il faut fissa la bâtir. On l'a traité de traitre et d'ailleurs même avec un son contraire, il n'aurait pas échappé à son triste sort. Certes, c'était l'époque où la victoire des «hommes dominants» n'était pas entièrement acquise. «Enchainé», ils lui ont préféré un Benbella. Un Macron face à de Gaulle. Non conséquents, âge et matière grise, du moment où l'écriture du discours et l'oreillette sont assurées par d'autres. Etonnamment, c'est le Hirak, malgré son essoufflement, qui réussit à faire l'esquisse de la nation algérienne. Celle des gens du «Rien». Dans ce rien réside la force et la dangerosité. Foutu pour foutu, il n'y a rien à perdre. Comme le hurlement assourdissant de cette vieille à quelques kilomètres d'Alger, un jour de marché. Petite et frêle silhouette, le visage caché par la honte ou la colère ? On le sent, son vieux corps ne tiendra pas le coup. La première apparition et la dernière. Maladroite et si impressionnante. Elle tend la main sans la tendre. Les gens se bousculent, tête courbée, s'en éloigner, vite. Fautifs, mais de quoi ? D'autres, plus courageux s'en approchent pour tendre la pièce. Avec la même précipitation, le même embarras, ils fuient. On devine le sacrifice, seule une grand-mère... Tympans crevés par notre lâcheté à force de la laisser hurler seule : «Mes frères, il n'y a rien à la maison ! Donnez-moi 10 dinars !» Le prix d'une baguette, pas d'une galette... suite |
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