Après une fermeture qui aura duré presque dix mois, pour une mesure préventive après l'apparition de plusieurs foyers de fièvre aphteuse, dans des régions tunisiennes proches de la frontière algérienne, les souks à bestiaux des communes de Bouhadjar et Ain Assel ont rouvert, cette semaine, suite à une décision du wali.

Cette décision a été, favorablement, accueillie par les éleveurs qui ont dû batailler dur pour la levée de cette mesure qui les a pénalisés, au plus haut point, dans la mesure où ce négoce constitue leur seule ressource de subsistance.

En ce sens, les Services agricoles et la Chambre de l'Agriculture ont été sollicités, à maintes reprises, tout autant que les maires de ces communes qui se sont vu privés d'une rentrée d'argent puisque ces Souks sont adjugés au plus offrant, chaque année.

Par ailleurs, les mesures de prévention pour la protection du cheptel resteront en vigueur, tout autant que la réglementation régissant leur déplacement qui relève du secteur douanier.