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Non loin du
rond-point de la cité Emir Abdelkader, près du pont Asmidal, un terrain vague a
été transformé en une grande décharge sauvage. Les riverains, outrés par ces
comportements, sont en colère et dénoncent le laisser-aller des services de
l'APC d'Oran, mais pas seulement. «Tous les jours que Dieu fait, des gens de
tous bords viennent avec des camions chargés de détritus ou de débris de
construction qu'ils jettent à cet endroit, le transformant en décharge sauvage,
et nuisent à l'environnement», indique un riverain. Et ce n'est pas le pire,
comme le fait remarquer notre interlocuteur. «Oui, ce n'est pas le pire, même
des camions de l'APC d'Oran viennent jeter à cet endroit les ordures qu'ils ont
ramassées. Ils donnent ainsi le mauvais exemple aux citoyens. On ne peut pas,
donc, plaindre les gens qui viennent déverser ici leurs ordures», ajoute notre
interlocuteur. Et le comble, c'est que cet endroit se trouve à deux pas de
l'actuelle division de l'hygiène et de l'assainissement (DHA) de l'APC d'Oran.
Et pourtant, il existe des décharges publiques et des centres d'enfouissement et pour les déchets ménagers et pour les déchets solides, en l'occurrence les débris des constructions. Et le moins que l'on puisse dire sur ces comportements est qu'ils sont? inqualifiables. |
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