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Isaac Herzog, président de la
colonie de peuplement d'Israël à propos du peuple palestinien : « C'est tout un
peuple qui est responsable. Cette rhétorique sur les civils qui ne sont pas au
courant, qui ne sont pas impliqués, ce n'est absolument pas vrai. »
Les conclusions du Tribunal militaire international, (Nuremberg, 20 novembre 1945- 1er octobre 1946) qui a été établi par les quatre Puissances alliées : les Etats-Unis, l'Union Soviétique, la Grande-Bretagne et La France, pour juger les criminels de guerre nazis, continuent à faire jurisprudence et à être citées lors de la Commission de crimes de guerre et de crimes contre l'Humanité. Il est établi par les juristes et juridictions actuelles qu'elles sont encore d'actualité, chaque fois qu'un Etat est accusé de perpétrer des crimes dont la barbarie peut être qualifiée de crimes contre l'Humanité, dont évidemment le génocide fait partie. Le cas «Robert Brazillac» Selon cette jurisprudence peuvent être poursuivis et frappés de la sanction la plus forte, non seulement les auteurs directs de ces crimes, des décideurs aux exécutants, mais également tous ceux qui, par la plume ou par la voix, ont justifié, soutenus et encouragé ces crimes. Par voie de conséquence, des intellectuels aussi bien que des journalistes ont été condamnés à mort et exécutés sur décision de ce tribunal, bien qu'ils n'aient pas participé directement et physiquement à ces crimes. Prêter publiquement main-forte par l'écrit et la voix aux crimes contre l'Humanité est donc qualifiable et qualifié de complicité dans ces crimes. Cette jurisprudence, qui allait de soi, a d'ailleurs été appliquée, parfois avant même qu'elle n'ait été établie, dans différents pays contre les thuriféraires locaux de l'idéologie nazie. Ainsi, en France, Robert Brazillac (31 mars 1909- 6 février 1945) , écrivain célèbre et reconnu, a payé de sa vie ses écrits en faveur de la « Nouvelle Europe » qu'Hitler voulait créer, après l'achèvement de l'épuration ethnique qu'il avait programmée et mis en œuvre sur la majorité du territoire européen actuel, avec la collaboration active de gouvernements ou dans le cadre de l'occupation imposée aux peuples de ce continent. Bien que « pupille de la Nation, » c'est-à-dire fils d'un soldat mort pour la France, il n'a pas échappé au peloton d'exécution. La parenté idéologique entre nazisme et sionisme est historiquement prouvée au-delà de tout doute L'évocation du Tribunal militaire international et de sa jurisprudence, à la suite du génocide en cours à Gaza, n'a rien de futile, d'exagéré ou d'anachronique, car tant les idéologues du Sionisme que les dirigeants politiques et militaires de son incarnation qu'est l'Etat d'Israël, n'ont jamais caché leur projet de vider, par l'extermination physique ou par l'expulsion, la Palestine historique de ses habitants légitimes. De plus, la parenté idéologique entre Nazisme et Sionisme a laissé suffisamment de preuves pour que son évocation ou son rappel soit considéré comme des calomnies « antisémites » d'autant plus condamnables qu'elles seraient dirigées contre « un peuple qui a particulièrement souffert » de la politique raciste nazie. L'historien américain Lenni Brenner a suffisamment détaillé, documents à l'appui, la proximité idéologique entre Nazisme et Sionisme, pour que celle-ci soit considérée comme historiquement prouvée au-delà de tout doute. A souligner que l'ouvrage de Brenner, intitulé « Le Sionisme à l'ère des dictateurs » (WestPort, CT : Lawrence Hill,1983) où il donne les résultats de ses recherches, a été publié sous l'égide du centre Wiesenthal, établi à Vienne, et qui s'était donné comme objectif, après la fin de la Seconde Guerre mondiale, de pourchasser et de faire juger les criminels nazis à travers le monde. Un rappel de ce que les médias «libres» passent systématiquement sous silence On croyait que les médias ultra-professionnalisés des « démocraties avancées » allaient respecter leur engagement à « informer » de manière objective et sans parti-pris, leurs lectrices et lecteurs , des tenants et aboutissants de l'opération militaire menée sur le territoire palestinien, contre l'occupant militaire armé sioniste le 7 octobre 2023, et rappeler que le peuple palestinien est sous le coup d'une tentative d'extermination physique et d'élimination du territoire de la Palestine historique, et ce, depuis 1919. Ces médias ont, cependant, décidé de se transformer en tracts pro-génocidaires : ils ont tout simplement pris en charge la version de l'occupant sioniste. Ils omettent de souligner, non seulement le caractère génocidaire de l'idéologie sioniste, mais également de mentionner les crimes systématiques perpétrés contre la population palestinienne, tant à Gaza que dans tout le reste du territoire qui lui appartient et qu'elle a habité sans discontinuité depuis des milliers d'années, et bien avant même la naissance du Christ. La seule mention de ces crimes sionistes ne pouvait que justifier l'acte de résistance légitime et légale, reconnue de plus par le droit international, qu'a été l'opération palestinienne ciblant des objectifs militaires de l'occupant. Ces médias n'ont même pas pris la peine, et sans aller jusqu'à revisiter toute l'histoire de la région, en général, et de l'instauration de l'Etat sioniste en particulier, de rappeler certains faits connus et bien couverts, dont on donne une liste non exhaustive et sans entrer dans des détails macabres et accablants pour l'occupant sioniste: 1. Le territoire de Gaza est reconnu non seulement par les Nations Unies, mais également par le gouvernement américain (voir le site internet du département d'Etat,) comme territoire occupé militairement par Israël , ce qui veut dire que cette entité est considérée comme en état d'agression constante contre le peuple de ce territoire, ce qui justifie le droit du peuple agressé de se défendre contre cette agression même en portant la guerre sur le territoire de l'agresseur ; 2. Que ce territoire est soumis, en violation des règles internationales en matière d'administration des territoires militairement occupés, à un état de siège total, terrestre, maritime et aérien, qui rendait toute possibilité de vie normale impossible même avant le début de la campagne d'extermination actuellement en cours, sous les yeux attendris des « démocraties avancées, » qui fournissent l'armement et les munitions, comme la couverture politique et médiatique, permettant la légitimation de ce génocide. En tant qu'assiégeant Israël est en état de guerre permanente contre la population de Gaza et ne peut se couvrir du voile de l'innocence « surprise, « et ayant un droit absolu à l'indignation sans nuances; 3. Qu'entre 2005 et Octobre 2023, Israël a mené plusieurs guerres dévastatrices sur ce territoire occupé, guerres qui ont causé la mort de près de 7.000 Palestiniens et palestiniennes, en majorité des femmes et des enfants, la destruction de 24.000 habitations et infrastructures socio-économiques, religieuses, éducatives, de santé publiques, à, des pertes économiques d'une ampleur impossible à estimer, et à plus de 5 milliards de dollars de dommages matériels; 4. Que l'opération militaire du 7 Octobre menée par les résistants palestiniens a essentiellement touché des objectifs militaires et la majorité des victimes parmi les occupants étaient des membres d'unités impliquées dans les actes de répression militaire contre les populations palestiniennes désarmées, c'est ce que rappelle un écrivain américain, cité ci-dessus : «Avec de plus en plus de preuves, il semble que la majorité des personnes tuées (lors de l'opération de Hamas le 7 Octobre 2023) étaient en fait des réservistes en service actif ou de l'armée, des colons armés ou des membres des forces de sécurité et donc des cibles légitimes potentielles au regard du Droit international. De même, les récits de première main de civils israéliens, de diverses sources militaires et de preuves médico-légales découvertes dissipent davantage la réécriture calculée de ce qui s'est réellement passé le 7 Octobre. » (Stanley Cohen, « Coupables des crimes décrits par l'Accusation » Guilty as Charged - CounterPunch.org» Le gouvernement de la colonie de peuplement génocidaire d'Israël n'a jamais fait mystère de son projet final. L'agression en cours contre le peuple de Gaza est donc loin d'être une réponse à une provocation, mais la poursuite d'une politique d'élimination physique de toute population non-juive sur le territoire historique de la Palestine, en application même de l'idéologie sioniste. Le gouvernement sioniste, lui-même, par ses propres déclarations, reconnait qu'il mène une politique génocidaire, dont la guerre totale contre la population de Gaza est une simple étape. De plus, il mène une répression sans limite, jour après jour et 24 heures sur 24, sans relâche et sans la moindre manifestation de pitié ou d'humanité, contre les populations palestiniennes civiles totalement désarmées, et vivant sur le reste des territoires occupés. Ce gouvernement de criminels, qui n'hésite pas à utiliser les armes de la faim et des maladies, et à assassiner les malades dans les chambres d'hôpitaux, avance la colonisation par le meurtre, les expulsions, les destructions de maisons, les confiscations de terres, et par ses propres déclarations appelant à l'usage de l'arme suprême contre le peuple palestinien prouve qu'il est engagé dans la dernière étape de son projet génocidaire. On ne peut même pas dire qu'il n'a pas annoncé la couleur de son objectif final qui est la disparition de toute trace du peuple palestinien. La tentative de falsifier la réalité par les médias des «démocraties avancées » dont l'AFP est un symbole par sa présence sur le terrain, devient, face à cette franchise brutale des dirigeants sionistes, d'autant plus incompréhensible, et, à la limite, insultante pour ses lectrices et lecteurs, et démontre le mépris dans lequel ces médias les tiennent ! En répétant de manière quasi mécanique les mensonges et falsifications sionistes, cette presse « libre » ne fait que tenter de « cacher le soleil avec un tamis. » Mais qui est dupe dans ce monde de la communication de masse, des réseaux sociaux et de l'Internet à la portée de tous ? La profession de foi de l'AFP dément les principes qu'elle affirme L'Agence de presse publique française , connue sous le sigle d'AFP, a atteint le summum du cynisme en présentant, sur son site officiel, une dissertation tentant de faire croire qu'elle s'efforce sérieusement de faire son métier honnêtement et de se présenter comme quasiment la seule source fiable d'informations sur le crime de génocide en voie d'achement par Israël contre le peuple palestinien. Il est utile, ici, de citer la profession de foi de cette agence qui tient, à tout prix, à ce qu'on croit à son « objectivité absolue » et à sa « virginité médiatique intacte, » alors qu'elle est exactement dans la même ligne éditoriale que tous les médias du « monde libre, » devenue une meute de chiens enragés aboyant exclusivement et uniquement pour couvrir les crimes sionistes, et mettre le tort de l'extermination en cours des Palestiniens sur « une organisation qualifiée, à l'emporte-pièce « d'organisation terroriste fanatique islamiste, » et dont il est strictement interdit de dire du bien si on ne veut pas être frappé de toutes les foudres du système judiciaire du monde libre. « Israël - Hamas : le conflit de tous les dangers » est le titre, publié en novembre 2023, du credo médiatique de l'AFP face à cette tragédie qui n'est qu'une des tout derniers épisodes d'un crime contre l'Humanité qu'est la fondation de l'Etat d'Israël. « L'AFP travaille 24H/24 pour suivre et décrypter une situation en constante évolution, ce qui l'expose à des accusations de partialité, tantôt pro-palestinienne, tantôt pro-israélienne. Chaque mot que nous écrivons est scruté à la loupe pour y détecter des signes de subjectivité. Nos journalistes sont confrontés à des insultes inacceptables. Dans ce contexte, produire du journalisme de qualité est extrêmement difficile. Soyons clairs : l'AFP n'a pas de parti-pris. Elle respecte scrupuleusement ses statuts, qui l'obligent à couvrir les faits et à témoigner en toute indépendance. Et soyons clairs aussi : nous sommes très fiers de nos journalistes qui travaillent, sans relâche pour couvrir cette guerre, parfois dans des conditions extrêmement périlleuses. Ils ont fait des choses extraordinaires. » ( https://www.afp.com/fr/au-fil-de-lafp/israel-hamas-le-conflit-de-tous-les-dangers) On aurait, évidemment, été disposé à croire à cette « profession de foi du journaliste savoyard, » si le premier paragraphe de ce catéchisme médiatique ne donnait un démenti sans appel à sa proclamation d'absolue neutralité. La désignation du conflit comme conflit « Israël-Hamas' » est déjà une prise de position qui limite la crise actuelle à une affaire de simple police entre un « état organisé, sur la base de droits et privilèges d'un Etat souverain, » face à « une organisation terroriste sans attaches politique ou ethnique, mue par des motivations irrationnelles et un instinct destructif sans aucune légitimité ou justifications humainement acceptables, et ne représentant qu'elle-même. » L'AFP embrasse donc, dans le titre même de cette profession « d'objectivité et de neutralité » la position sioniste, qui, soit dit en passant, est exactement la ligne politique adoptée par les Etats partisans du génocide du peuple palestinien. Voici ce que dit ce paragraphe, et le lecteur peut en juger directement sans avoir à se référer au commentaire qui accompagnera cette citation : « L'ampleur et la brutalité de l'attaque du Hamas du 7 Octobre, et les questions existentielles qu'elle a fait surgir en Israël, ont suscité une émotion considérable, tout comme les souffrances et les bombardements à Gaza. Le débat au vitriol sur les réseaux sociaux, où foisonnent images violentes, propos haineux et désinformation, jette en continu de l'huile sur le feu. » Une prise de position sans réserve justifiant la barbarie sioniste et le projet génocidaire qui l'anime. On constate, avec horreur et stupéfaction, que dans ce paragraphe l'AFP reprend, sans nuances, la thèse sioniste faisant d'Israël une « victime innocente » d'une agression particulièrement sauvage, pour ne pas dire barbare de la part de fanatiques religieux, qu'animerait une haine sans limites contre les tenants de la religion juive. Une guerre non provoquée aurait été déclarée par cette « organisation terroriste, » contre des citoyens d'un pays pacifique qui n'aurait rien à se reprocher et qui aurait subi une attaque si vicieuse qu'elle justifierait non seulement l'indignation universelle, mais la réaction d'extrême violence qui, jusqu'à ce jour, a abouti au massacre de près de 30.000 Palestiniennes et Palestiniens, auxquels s'ajoutent des centaines de morts parmi les fonctionnaires internationaux et de journalistes, comme de travailleurs de la santé, sans compter l'équivalent d'une ville de cent mille habitants en nombre de blessés, à la destruction quasi-totale de toutes les habitations et de l'infrastructure , comme des hôpitaux, des écoles, des lieux du culte, des bâtiments internationaux, des cultures, rendant toute vie humaine quasiment impossible sur ce territoire de près de 3 millions d'habitants. En conclusion : 1. En faisant croire que la guerre a commencé le 7 Octobre 2023, du fait d'une « attaque-surprise unilatérale et non provoquée, » les médias des « démocraties avancées » mentent effrontément et toutes hontes bues, foulent aux pieds leurs règles d'éthique les plus élémentaires et les plus fondamentales, couvrent, ainsi, un génocide en cours et s'en font délibérément et en toute connaissance de cause, les complices ; 2. Même la qualification de « terroriste » qui accompagne systématiquement la mention de « Hamas » ne saurait justifier ou expliquer le génocide en cours, et innocenter l'entité sioniste du crime contre l'Humanité qu'elle commet actuellement avec l'appui sans réserve de gouvernements et de politiciens prétendant représenter ce qu'il a de plus avancé en matière d'humanisme et de protection des droits de l'Homme ; 3. Défendre l'entité sioniste et prétendre, en même temps, œuvrer pour un monde fondé sur le respect des droits de l'Homme est le comble du cynisme et une prise de position dont un terme annule automatiquement l'autre ; 4. La seule bonne cause est celle du peuple palestinien, et aucune tentative de criminaliser son droit à l'existence et son droit sacré à résister contre ceux qui veulent sa mort , ne saurait réussir ; toutes les victoires de l'occupant, qu'elles soient politiques ou militaires, ne seront, dans le cours de l'histoire, que victoires à la Pyrrhus, quelles que définitives ou absolues qu'elles puissent apparaître sur le moment ; 5. L'AFP, loin d'adopter une position neutre, embrasse cette version des faits que dément la réalité des évènements. Israël est et reste la cause principale de la guerre actuelle, qui n'a pas commencé par « le massacre d'innocents, » le 7 Octobre 2023, comme elle le reprend, s'alignant totalement sur le reste des médias du « monde libre ; » 6. La profession de foi médiatique de l'AFP apparaît pour ce qu'elle est : une déclaration que l'on peut qualifier de pure propagande, destinée à faire croire que sa couverture des évènements serait crédible, parce qu'elle observerait une neutralité sans faille. «Croyez-moi, parce que je ne mens pas » affirme l'AFP. Agence de l'Etat français ; 7. Le problème est que les premiers mots, comme les premières lignes, tout comme le premier paragraphe de cette « profession de foi de sainteté médiatique, » lui enlèvent toute crédibilité ; 8. L'AFP a choisi son camp, et elle veut faire croire au « lecteur niais, » exactement le contraire de ce qu'elle est : une agence officielle gouvernementale qui suit les directives de sa tutelle et appuie la position sans faille en faveur du massacre du peuple palestinien, avec quelques pleurs, par ci, par là, pour faire croire qu'elle est encore animée d'un brin microscopique de sentiment de pitié et de sympathie humaine à l'égard d'un peuple condamné à mort par « les démocraties avancées ;» 9. Il faut tout de même reconnaitre que l'écrasante majorité des médias des « démocraties avancées » ne font que refléter les prises de position politiques aux plus hauts sommets des Etats en cause qui ont choisi d'encourager, sur la base de leurs propres objectifs, Israël , qui a trouvé en eux les complices actifs et intéressés; Comment le futur Tribunal Pénal International qui aura, un jour ou l'autre, comme mission de juger les crimes contre l'Humanité et le Génocide en cours du Peuple palestinien, traitera-t-il les médias qui ont pris fait et cause pour le projet sioniste et acceptent d'exécuter la danse de « pom-pom girls » applaudissant l'opération finale d'extermination en cours à Gaza et sur le territoire de la Palestine sous joug de la colonie de peuplement d'Israël ? 10. Le référentiel du Tribunal militaire international servira sans aucun doute à souligner la complicité de ces médias qui trompent leurs lectrices et leurs lecteurs et applaudissent avec enthousiasme, et justifient des actes de barbarie rarement perpétrés dans l'histoire pourtant sanglante de l'Humanité ; 11. Finalement, loin d'être un signe de puissance, la violence sioniste barbare, sans limites et sans nuances, est une reconnaissance de faiblesse et une preuve supplémentaire de l'illégitimité de cette vaine, criminelle et destructrice entreprise voulant, à tout prix, remonter le cours de l'histoire, et faire renaître, avec l'appui et la complicité d'ex puissances coloniales, un passé biblique imaginaire disparu depuis des millénaires; 12. Même l'accusation d'antisémitisme et le référentiel historique surexploité de l'Holocauste ne peuvent plus servir de légitimation au Sionisme, qui a finalement révélé son vrai visage à l'Univers entier. |
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