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Ce sont les
données chiffrées qui ont été annoncées par la direction de l'antenne de
l'Agence nationale de soutien à l'Emploi des jeunes (ANSEJ) de Bouira, portant
sur les activités de son organisme, au cours de l'exercice de l'année 2013.
De la sorte, nous saurons que 813 dossiers ont été homologués sur 1.096 déposés auprès des services de cette antenne de wilaya, durant l'année 2013,. Ces derniers comptent 780 dossiers qui ont reçu l'accord des services bancaires. Pour l'instant, il s'agit de 739 projets qui sont, dès maintenant, financés. Cet apport de financement a facilité la création de 1.629 postes de travail, selon le bilan de l'Ansej. Durant l'exercice de l'année 2012, ce service avait approuvé 1.092 projets. Le bilan 2013 fait apparaître que le plus grand nombre de projets admis revient au domaine des services qui représente 167 projets, comparativement à l'année 2012 durant laquelle 137 ont été accordés. D'où la remarque d'une variation de 18% dans ce genre de métier. Les professions du Bâtiment, des Travaux publics et de l'Hydraulique (BTPH) viennent en seconde position avec 157 projets acquis. D'autres activités, telles la location d'engins, représentée par 130 projets et l'Industrie avec 111 projets. Quant à l'artisanat, ce métier a connu de remarquables progressions pendant l'année 2013, avec un taux de 34%, et la nouvelle activité qui est celle de la location d'engins a, également, connu une forte demande qui a été évaluée à 33%. A la question de savoir si son organisme est confronté au problème de recouvrement des crédits, le directeur de l'Ansej de Bouira a déclaré que le taux de recouvrement, dans la wilaya de Bouira est de l'ordre de 61%, et la wilaya de Bouira est classée 8ème , à l'échelle nationale, en matière de recouvrement des crédits. Comme il arrive que des désagréments surgissent, l'Ansej de Bouira a répertorié, malgré tout, 37 tentatives d'escroquerie de la part de tiers postulants durant l'exercice 2013. Leurs auteurs répondront, inévitablement, devant la justice pour les délits pour lesquels ils sont poursuivis. D'autre part, et d'après ce service, les délais de traitement des dossiers sont, désormais écourtés, c'est-à-dire qu'ils ne nécessitent qu'une période d'un mois pour leur traitement, et pas plus de 2 mois pour son approbation auprès des banques. Mais les retards consentis dans les procédures ont, de tout temps, été signalés par les postulants. Bien que des mesures ont été prises dans ce sens, la bureaucratie a la peau dure. |
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