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On se souvient que durant les
premiers mois de la pandémie, les pays occidentaux se révélèrent incapables de
protéger les personnes âgées.
Que des pays hautement développés aient laissé les aînés livrés à eux-mêmes est moralement scandaleux. Qu'ils aient abandonné les séniors dans les maisons de retraite ou confinés chez eux sans soins, ni tests, ni protection sanitaire, est humainement révoltant. Qu'ils aient entassé des malades dans des hôpitaux sous-équipés, voués à la mort, est indigne de ces pays capitalistes technologiquement performants. D'autant plus scandaleux que, pour prendre l'exemple de la France, selon le journal Le Canard Enchaîné publié le 22 avril 2020, une circulaire ministérielle du gouvernement français du 19 mars «suggérait de limiter fortement l'admission en réanimation des personnes les plus fragiles», sous couvert d'éviter l'acharnement thérapeutique (sic), mais en vérité par manque (programmé) de lits pour les plus jeunes. Le Canard s'interrogeait à juste titre : «Les vieux ont-ils été privés de réanimation ?». Il se demandait si «cette circulaire du ministère de la Santé n'aurait pas conduit à une aggravation du bilan de l'épidémie pour les patients les plus âgés ?». Cette volonté d'euthanasier (de soulager la souffrance selon la terminologie euphémistique gouvernementale) les personnes âgées et vulnérables a été officialisée par l'adoption, en pleine première vague de l'épidémie de Covid-19, le 28 mars 2020, d'un décret autorisant le recours à des médicaments palliatifs, notamment le Rivotril, habituellement interdit en médecine de ville et dans les Ehpad (maisons de retraite médicalisées). En effet, le Rivotril est contre-indiqué en cas d'insuffisance respiratoire. Le Rivotril n'est pas adapté pour l'insuffisance respiratoire chez les malades pulmonaires avec des difficultés à respirer car il ralentit le rythme respiratoire. Ce produit est règlementairement interdit en cas d'insuffisance respiratoire. Or, c'est la pathologie principale développée par les malades atteints de la forme grave du Covid-19 : ils souffrent de pneumonie sévère. Aussi, prescrire du Rivotril, cela revient-il à précipiter la mort. Telle fut pourtant la réalité : des milliers de malades de Covid-19 furent mortellement soignés à coup d'injections létales de Rivotril. (voilà comment la courbe de la mortalité covidale grimpa de manière fulgurante, en dépit de l'instauration du confinement). Curieusement, au moment où le gouvernement Macron promulguait le décret autorisant le recours au Rivotril, il interdisait aux médecins la prescription de la Chloroquine (et son dérivé l'hydroxychloroquine) pour soigner les malades du Covid-19. (Au même titre, aujourd'hui, il promeut l'usage exclusif des vaccins expérimentaux au détriment de tout traitement médical curatif conventionnel.) À ce stade de notre étude, ouvrons une longue parenthèse. Il est de la plus haute importance de rapporter l'information suivante. Selon toutes les informations fiables, aisément véritables dans les publications scientifiques médicales, le coronavirus a commencé à se disséminer en Europe dès le mois d'octobre 2019, quasiment en même temps qu'en Chine et les États-Unis, à l'instar des variants actuels Delta et Omicron qui, en l'espace de quelques jours, se propagent dans de nombreux continents. Or, jusqu'au début mars 2020, malgré la propagation du coronavirus et la contamination de milliers de personnes, on n'a déploré aucun décès. Pour quel motif, selon vous ? Car, présentant les mêmes symptômes que la grippe saisonnière, ces malades étaient traités - spontanément et innocemment, autrement dit sans arrière-pensée politique ni pression toxique étatique soumis aux Big Pharma, impulsées début mars 2020 - par les médecins au moyen de thérapeutiques médicales curatives conventionnelles et des traitements médicamenteux classiques. Ainsi, durant les six premiers mois de l'épidémie - octobre 2019/mars 2020 -, les malades étaient normalement suivis par leurs médecins en ville ou passés par les Urgences, soignés, avec succès, à l'aide de traitements symptomatiques habituels des épisodes saisonniers de types grippaux pour lutter contre la fièvre, les symptômes respiratoires comme la toux, les douleurs, les courbatures. De nombreux patients s'étaient vu également prescrire de la chloroquine ou de l'hydroxychloroquine parfois associée à l'azithromycine, ou d'autres antiviraux en milieu hospitalier. Mais, dès lors que les autorités ont décidé d'interdire toute médication curative conventionnelle et administration médicamenteuse usuelle, les décès, curieusement, ont commencé à exploser. En effet, à la faveur de l'instauration du premier confinement en Europe, notamment en France, accompagné de l'interdiction de consulter son médecin ou de se rendre aux urgences en cas de symptômes grippaux, avec comme conséquence immédiate une diminution de 50% d'actes en médecine générale et de 70% en médecine de spécialité induite par l'interdiction de circulation, les décès ont fortement augmenté, faute de soins. Selon le rapport publié le 9 juin 2020 par EPIPHARE - Groupement d'intérêt scientifique (GIS) ANSM-CNAM : « Dès le début des 8 semaines du confinement en France (c'est-à-dire au moment du pic de la pandémie ou du plus grand taux de mortalité lié au coronavirus enregistré, selon la perspective d'analyse adoptée. En effet, ces décès peuvent être attribués à l'exacerbation aiguë de la pandémie d'après la lecture gouvernementale ou à la défaillance de soins en se fondant sur des sources scientifiques indépendantes, NDA) il y a eu un effondrement des délivrances de médicaments dont l'administration ou le suivi nécessite impérativement le recours physique (et non en téléconsultation) à un professionnel de santé.» En d'autres termes, comme tout le monde se souvient, les malades ont été livrés à eux-mêmes, c'est-à-dire à une mort certaine. Au reste, durant des mois, la population était assaillie par des campagnes de publicité diffusées par les médias audiovisuels invitant les malades à ne pas se rendre en consultation chez leur médecin ou à l'hôpital, pour ne pas engorger les hôpitaux selon la version officielle. Toujours selon le même rapport : « Durant les 8 semaines du confinement, la consommation d'antibiotiques polyvalents (ATC J01, systémiques utilisés habituellement pour les infections bactériennes ORL, pulmonaires...) a chuté de -30% à -40% par rapport à une consommation habituelle d'avril et mai. Au total ce sont près de 2 millions de personnes qui n'ont pas eu de traitement antibiotique de la classe J01 par rapport à ce qui aurait été attendu en l'absence d'épidémie et de confinement strict. À notre connaissance une baisse d'une telle amplitude brutale n'avait jamais été observée en France. ». Autrement dit, du fait du confinement, des restrictions de déplacement soumis à la possession du certificat de dérogation de sortie limité à une heure, des interdictions de consultation médicale pour les patients présentant des symptômes de la grippe, des prohibitions de prescription de certaines classes de médicaments ordinairement délivrés pour traiter les maladies respiratoires, les décès liés officiellement au coronavirus ont flambé. Cela explique le nombre exceptionnellement élevé du nombre de morts du Covid au cours de ce premier confinement meurtrier. Tout se passa comme si la mise à mort de plusieurs milliers de personnes devait inaugurer l'ère de la gouvernance par la terreur, le prétexte sanitaire à la légitimation de la militarisation rampante de la société. Au reste, depuis cette hécatombe délibérément provoquée pour justifier l'urgence de l'instauration des mesures restrictives, les gouvernants n'exhibent plus la quotidienne liste macabre de morts aux fins de légitimer leur dictature sanitaire, mais la courbe statistique des cas. Preuve de la diminution significative de la pandémie, ou, pour le moins, de sa charge létale ? Tout se passa comme si, pour marquer effroyablement les esprits, effrayer les populations, il fallait leur livrer, via la télévision, quelques milliers de cadavres amoncelés dans les crématoires ou dans les cimetières de fortune exhibés à même les zones urbaines. Fin de la parenthèse. Cette décision de recourir au Rivotril jeta l'émoi parmi les agents des établissements hospitaliers et des maisons de retraite. Comme le déclara une responsable de santé dans le magazine de France 3 Pièces à conviction : «Quand on a reçu ces directives, ça nous a choqués, témoignait Sandra Rotureau, cadre de santé, de se dire que là, on ne donnait aucune chance aux personnes âgées de s'en sortir. Quand une personne âgée n'est pas hospitalisée [par manque de lits] et qu'ensuite, ce qu'on lui propose, c'est une sédation dès l'instant qu'elle va présenter une détresse respiratoire... ma première réaction ça a été : on nous demande de faire une euthanasie passive auprès de nos résidents.» La machine euthanasique tourne à plein régime socialement fasciste Dans le même documentaire, une médecin d'Ehpad public exprimait son «sentiment d'horreur». Alors qu'elle estimait ne pas avoir «le droit de prescrire quelque chose qui pourrait soigner les personnes si elles étaient atteintes» (notamment la Chloroquine et autres médicaments interdits curieusement dès l'apparition de l'épidémie), elle était «autorisée à les faire partir... en douceur». «On a abrégé les souffrances des gens. Moi, j'appelle ça l'euthanasie, extrêmement choquée. Qu'on ait osé nous demander de piquer nos patients pour les faire partir plus vite, c'est insupportable.», avait-elle déclaré. Pour sa part, Serge Rader, ancien pharmacien, coauteur du livre «Le Racket des laboratoires» pharmaceutiques, déclara que l'autorisation de la vente en pharmacie du médicament sédatif Rivotril est la porte ouverte à une légalisation de l'euthanasie des personnes âgées: «Non seulement on ne les a pas amenés en réanimation, mais on leur a préparé la seringue de Rivotril avec un arrêté à la clé pour les achever complètement alors qu'ils étaient déjà en détresse respiratoire.» Quant au célèbre avocat Gilbert Collard, il affirma dans un tweet «qu'un décret du 28 mars autorise l'euthanasie pour se débarrasser des vieux». Pareillement, dans un tweet publié le 2 avril 2020, le député Meyer Habib écrivit : «On donne le permis légal d'euthanasier en France ! Décret du 28/03, le Rivotril, passeport pour la mort douce, est en prescription libre.» Ainsi, dès le début de l'apparition de l'épidémie, pour gonfler les chiffres de décès justifiant leur politique sécuritaire illustrée par les mesures liberticides et les confinements, les gouvernants recoururent à la Solution létale : l'euthanasie (opérée délibérément par la défaillance d'équipements sanitaires et matériels médicaux - pénuries de respirateurs, de lits de réanimation - ou administration de substances médicamenteuses létales - Rivotril). Aujourd'hui, un an après, le gouvernement Macron continue d'appliquer la même Solution létale dans les territoires d'outre-mer (Guadeloupe, Martinique, Mayotte), confrontés à la dégradation de leurs établissements hospitaliers, illustrée par la défaillance d'équipements médicaux et la pénurie de personnels soignants. En effet, le 9 septembre 2021, des soignants avaient témoigné dans le quotidien régional France-Antilles Martinique, affirmant que le Conseil de l'Ordre des médecins de Martinique préconisait qu'ils appliquent un protocole de «fin de vie» à des personnes en détresse respiratoire à domicile. Autrement dit, comme l'ont déclaré des médecins révoltés par les protocoles de «soins palliatifs Covid»: «c'est de l'euthanasie active !». En effet, aux Antilles, les soignants enragent que le Conseil de l'Ordre des médecins leur demande, selon eux, de «tuer plutôt que de soigner». «Ça va à l'encontre totale du serment d'Hippocrate !» À cet égard, il est utile de rapporter le témoignage de ce médecin qui préférait conserver l'anonymat pour ne pas subir de sanctions des autorités sanitaires : «Dans l'impréparation, on voit que la version officielle de toutes les autorités de santé, de l'ARS, du Conseil de l'Ordre, c'est : «si vous avez des symptômes du virus, faites-vous tester, et si vous êtes positifs, restez chez vous, et si ça s'aggrave, appelez le 15.» Dans le discours officiel, il n'y a jamais eu «Allez voir votre médecin traitant». On a dit aux patients de rester chez eux. Et là, quand vous êtes gravement malades, vous allez à l'hôpital, mais si vous avez plus de 47 ans, on vous dit que vous ne pouvez pas aller en réanimation. Ceux qui connaissent des complications, interdits d'accès aux services de réanimation, se voient alors administrer un protocole de fin de vie, de soins palliatifs, c'est-à-dire «soulageant définitivement la douleur du patient». En résumé, les recommandations du gouvernement Macron sont : «si vous avez des symptômes du virus, restez chez vous» (traduction : crevez chez vous). Si «vous êtes gravement malades, quoique hospitalisé, n'escomptait pas être admis en réanimation, en particulier si vous êtes âgé plus de 47 ans» (on vous administre automatiquement le protocole de fin de vie). Aujourd'hui, on reprend à notre compte la même interrogation : deux ans après les récurrents confinements déments, en dépit du déblocage de centaines de milliards d'euros pour soutenir prétendument l'économie, comment expliquer qu'aucun nouvel hôpital n'ait été construit, ne serait-ce que sous forme d'unité de soin ambulatoire ? Les établissements de soin manquent toujours cruellement de matériels sanitaires, de lits de réanimation, de personnels soignants (qui sont par ailleurs terrorisés par le gouvernement ) ? N'est-ce pas cette défaillance planifiée qui a conduit à l'aggravation délibérée du bilan de l'épidémie, pour justifier et légitimer toutes les mesures antisociales et liberticides promulguées depuis presque deux ans, décrétées dans le cadre de la militarisation rampante de la société, appuyée sur un climat d'alimentation permanente de sidération, de fabrication de la peur nourrie d'informations anxiogènes, véritables déferlements de vagues de terreur de la part de l'État terroriste. |
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