L'ex-baroudeur d'Ezzerga des années 90 et artisan de l'accession en
Division nationale amateur la saison écoulée, en tant qu'entraîneur, revient
sur sa démission en mettant l'accent sur l'environnement malsain qui entoure le
club. Chadli Mohamed, ce TSS et détenteur des diplômes de deuxième et troisième
degré en France, avouera: «A vrai dire, j'ai déposé ma démission exactement
pendant la pause du match de coupe d'Algérie à El-Hadjar. Après vingt-cinq
minutes de jeu, on avait encaissé coup sur coup trois buts et pour moi c'était
prévisible suite à ce voyage à Annaba que je qualifierai de catastrophique avec
une délégation de trente personnes dont certaines qui n'ont rien à voir avec
l'équipe. Mieux encore, j'ai refusé formellement l'ingérence du président dans
le domaine technique, mais en vain, sans parler de l'environnement malsain. Ce
qui est donc insupportable. Sans m'étaler plus, j'espère que les vrais
supporters de la JSMT ont bien saisi mon message.
Pour en savoir plus, nous avons pris attache avec le président de la
JSMT, mais ce dernier a refusé toute déclaration.