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Plus de mille
lampadaires installés le long des doubles voies reliant le chef-lieu de wilaya
à d'autres localités voisines restent allumés de jour comme de nuit, à la plus grande
incompréhension des automobilistes comme de tous les usagers de la route.
C'est le cas notamment de ces sept cents lampadaires, nouvellement installés, tout au long de la double voie reliant Tiaret à Sougueur et qui restent allumés H24. L'autre exemple est celui de la double voie entre Tiaret et Dahmouni, avec plus de quatre cent vingt lampadaires allumés? en pleine lumière du jour. «L'éclairage public, géré par les services de la commune, coûte la bagatelle de plusieurs milliards de centimes chaque année à l'APC de Tiaret, qui cumule elle-même des dettes importantes vis-à-vis de la société de gaz et d'électricité. Alors pourquoi ce «gâchis», s'interroge un citoyen. Mais selon un responsable à la commune de Tiaret, ce «dérèglement dans le fonctionnement de l'éclairage public est imputable justement aux services de la Sonelgaz qui a la charge de régler les minuteries des lampadaires, ces derniers fonctionnant avec des cellules photovoltaïques qui tombent en panne souvent», soutient-il. C'est le cas également des feux tricolores, installés un peu partout dans la ville de Tiaret, et qui «font souvent l'objet de panne à cause de la mauvaise qualité des équipements», ajoute-il. A titre d'exemple, la «douloureuse» de l'éclairage public pour l'année qui vient de s'écouler a coûté à la commune plus de quatre milliards de centimes, conclut-il. |
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