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Le centre pour enfants assistés, situé à Saint Hubert, a vécu hier, une
journée mouvementée. Le personnel de la structure revendique le versement des
salaires, des indemnités et des allocations familiales et aussi une meilleure
gestion du centre.
Afin d'exprimer leur ras-le-bol, les agents ont tenu mercredi dernier un débrayage tout en assurant le service minimum pour les 150 enfants. La promesse obtenue auprès de la tutelle, en l'occurrence la DAS, pour régler les problèmes soulevés depuis 48 heures, n'a pas été tenue. Jusqu'à hier matin, aucune décision, pour dénouer la situation, n'est parvenue de leur tutelle. Dans le même centre, une autre protestation a été organisée cette fois-ci, par les anciens pensionnaires du centre, dont certains sont sur place depuis 1972, pour d'interpeller les responsables de la wilaya auxquels ils lancent un SOS, pour déterrer le dossier des 40 logements qui ont été réalisés pour eux, depuis 2002 à Sidi El Bachir, et qui pour des raisons encore inconnues ne leur ont pas été attribués, en dépit des décisions qui leur ont été remises. Pour cette question, ils estiment que l'ex agence foncière de Bir El Djir, n'aurait pas achevé sa mission d'attribution et ces logements achevés sont toujours fermés et qu'en contrepartie, il leur a été proposé des studios F1, du côté des 200 logements à Es Senia. Ils considèrent donc, que ce changement veut dire tout simplement qu'ils risquent de ne pas bénéficier de ces logements alors qu'initialement ce projet a été réalisé, suite à une convention signée à la fin des années 90, par le ministère de la Solidarité, la wilaya d'Oran et la direction de l'Action sociale (DAS), avec un montage financier commun et dont 50% proviennent des caisses du ministère à savoir 3 millions de DA. |
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