
D'année en année c'est le sempiternel
casse-tête dont aucune éclaircie n'est à signaler en termes de circulation
urbaine à Sidi Bel Abbès ville surtout lorsque les heureuses conditions
atmosphériques sont au rendez-vous?relève-t-on ce mardi matin dans la presque
totalité des coins du chef-lieu de wilaya. C'est les mêmes constats, le même
décor auquel nous assistons depuis des années notamment, entre l'ancienne
armature urbaine du centre-ville et les nouveaux quartiers de la périphérie
surtout Sidi Djillali, qui reste coupé, isolé et ce par manque d'efficacité des
rares ouvrages d'art implantés lors de son extension fulgurante . En effet sur
lesdits lieux résident plus de la moitié de la population de la ville, appelée
soit à aller au travail, au marché, ou vers les autres destinations à forte
concentration des affaires commerciales administratives et autres, que dire de
la population universitaire ou ceux qui sont tenus à voyager en dehors du
chef-lieu. Cela était un calvaire, des rues engorgées d'eau de toute part, des
axes bouchés?. Voire artères impraticables, des détours forcés pour tout ce
monde qui semble maudire. L'hiver en général et toutes les heureuses pluies
bienfaitrices relevait-on ici et là, à travers les dires des uns et des autres.
Pour un simple petit orage, des tracas sont souvent relevés dans plus d'une
dizaine de points noirs, que dire de ce cumul de chute de pluie qui posent de
sérieuses contraintes aux citoyens, aux hôtes de la wilaya en général.
Notamment là où la voirie est toujours vétuste, délabrée et dont les inconséquences
sont néfastes dans plusieurs endroits, voire les quartiers populaires de la
ville.