Sitôt le match face au Rwanda terminé, celui contre l'Egypte a déjà commencé. Tout le monde spécule sur une éventuelle égalité entre les deux équipes et chacun y va de son propre commentaire. Certains sont allés jusqu'à «prédire» un tirage au sort entre les deux sélections. Pour éclairer nos lecteurs, nous avons pris attache avec le président de la FAF, Mohamed Raouraoua, qui a tenu à apporter les précisions suivantes. «En cas d'égalité parfaite, un match barrage aura lieu sur un terrain neutre et dont la date sera fixée par la FIFA», affirma-t-il. A propos des réserves annoncées ici et là, le premier responsable de la FAF nous a confirmé qu'«aucune réserve n'a été formulée à l'issue du match face au Rwanda». A présent, nos responsables préparent activement le match décisif du Caire et ce, afin de mettre tous les atouts du côté des Verts, d'autant plus que les conditions d'avant match nous sont favorables par rapport à nôtre adversaire qui se trouve dos au mur. Une chose est sûre: aucun volet ne sera négligé du côté algérien pour permettre aux Fennecs de sauter cet ultime obstacle.

 En dépit de la guerre psychologique déclenchée par les médias égyptiens qui sont devenus maîtres dans l'art d'anticiper les événements, dans le camp algérien, on reste serein et optimiste.

 Déjà, et dans le but avoué de perturber les nôtres, les Egyptiens évoquent un probable changement de stade devant abriter le match du 14 novembre, en citant le stade d'Alexandrie.

 En tout cas, ce n'est pas l'ambiance électrique du stade d'Alexandrie ou celle du «Cairo Stadium» qui va diminuer de la volonté des Ziani, Yebda, Meghni et autres Bouguerra qui sont habitués à ce genre de situation en Europe.