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Après avoir
déclaré que : «Les armes du Hezbollah constituent un obstacle à la relance des
négociations israélo-syriennes» et puis «Il est évident pour Israël que toute
négociation avec la Syrie comprend la question du Hezbollah» au journal
Libanais As-Safir du 23-12-2099, puis estimé que «qu'il serait plus «facile» de
rapprocher Israël et la Syrie «s'il n'y avait pas le Hezbollah». «Et encore
cette fois que «la situation en Iran pourrait conduire à une fuite en avant de
certains responsables iraniens, et cela est dangereux car le Hezbollah possède
des armes et il pourrait se produire des évènements regrettables et
condamnables», M. Kouchner fait toujours dans la désinformation et
l'incongruité en rendant l'agresseur «victime». Sa versatilité est connue. Le
monde sait que c'est bien le sionisme avec son armada qui a agressé le Liban et
qui occupe des territoires qui ne lui appartiennent pas! Il s'agit d'un droit
inaliénable entre les mains du Liban qu'exerce le Hezbollah et qui dépasse M.
Kouchner.
Les armes du Hezbollah ne peuvent présenter un danger que pour celui qui projetterait une agression! Sinon Israël aurait donc le droit de se doter des armes de destruction massive, d'agresser, de commettre des crimes de guerre, de bafouer les résolutions de l'ONU, de violer l'espace aérien des voisins et de se plaindre pour empêcher même les victimes de se défendre. C'est cynique. La «crainte» supposée d'Israël n'est que comédie et feinte, visant à se réserver un droit dissuasif par les armes sans risque de riposte. Et M. Kouchner ne peut en être que leur soutien avec son «terrorisme dans la région» ; même qualificatif quand le FLN d'Algérie a résisté au colonialisme français, au même moment où la résistance française faisait front aux Nazis. M. Bernard Kouchner a toujours suscité des doutes quant à sa fonction. C'est un pro-sioniste bavard qui ne peut être que maillon de leur stratégie. Cette même «stratégie» des sionistes qui n'entendent de solutions, de politique, d'intérêts que les leurs. Cette conception des choses conduit toujours à l'échec. L'exemple algérien en est la preuve historique. Sa révolution a commencé avec des fusils de chasse contre une puissance de l'OTAN pour se voir 07 ans plus tard indépendante et libre après 132 ans de colonisation de peuplement. On nous dit toujours que l'Occident défend la démocratique, les droits de l'homme, la liberté et tutti quanti. Si on nous disait qu'il défend les intérêts des pays de l'alliance (OTAN), nous serions d'accord. Mais l'OTAN défend la démocratie, là c'est une blague. Nous avons des dizaines d'exemples qui prouvent le contraire ! Il n'y a de démocratie, en Occident, que la sienne ou bien à ?géométrie variable' selon le pays, les intérêts et le moment ! C'est bien l'Europe et plus précisément M. Kouchner qui a inventé, sournoisement, le «droit ou devoir d'ingérence humanitaire» pour mettre «au pas» les pays pourvoyeurs de matières premières et de chantiers inépuisables. L'argument des «droits de l'homme» est une tromperie au regard des relations tissées par l'Occident avec des régimes corrompus. Au fait, qui sont les bourreaux dans ce monde, les esclavagistes, les colons, ceux qui provoquent les guerres, qui déstabilisent les Etats, qui provoquent des génocides, qui provoquent les famines, qui s'accaparent les terres qui ne leurs appartiennent pas ? Dès lors, ce représentant de la France nous parait inapte au poste qu'il occupe tant il apparaît que sa mission est antinomique avec ses actions et réactions. Le malheur de la France est qu'elle ne veut pas admettre qu'elle est honnie par la plupart des pays à cause précisément de ces comportements hautains, paternaliste et double jeu. La perte de son influence est continue. Il ne sera plus possible à la France de dicter quoi que ce soit d'autant qu'elle perd les marchés et son influence économique au profit d'autres pays (en particulier la Chine), partenaires plus pragmatiques et plus respectueux des valeurs des autres. Dommage pour elle et pour son peuple. |
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