A l'occasion de la célébration de la Journée mondiale du diabète qui coïncide avec le 14 novembre de chaque année, le Centre de recherche en Anthropologie sociale et culturelle-CRASC (Oran, Algérie) en partenariat avec l'Association ?Santé au Travail, Sécurité, Hygiène et Environnement' (Ain Témouchent- Algérie), a organisé une vidéo conférence. Sous le slogan: «Le personnel infirmier marque la différence», plusieurs maîtres assistants, médecins spécialistes, universitaires, psychologues, ont participé à cette rencontre virtuelle. Plusieurs thèmes, ont été abordés «résilience phycologique des patients diabétique face au Covid-19», «Grossesse et diabète», «Trouble trophique et le diabétique», «Nouveau- né de mère diabétique», «Evaluation de la dépression et l'anxiété chez le diabétique pendant le confinement dû à la Covid-19», «Acidocétose chez l'enfant diabétique» entre autres? Le diabète est une maladie insidieuse qui est due à la carence ou à l'inefficacité de l'insuline qui est une hormone produite par le pancréas. Selon les spécialistes ce n'est pas le diabète en lui-même qui pose problème, mais ce sont surtout les complications qui s'ensuivent qui sont les plus dangereuses. Les complications vasculaires sont les plus importantes, suivies des atteintes de la vision et des reins, et ces pathologies reviennent très cher à l'État. Pas moins de 14,4 % de la population de la wilaya d'Oran sont diabétiques selon les dernières statistiques de la direction de la Santé. Souvent, les malades, lors de leur première consultation, sont déjà à un stade avancé de leur maladie, celle-ci a déjà causé des ravages sur leur organisme. L'Algérie a célébré le 14 novembre la Journée mondiale de lutte contre le diabète...