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«Les
clubs n'ayant pas régularisé leur situation financière ne bénéficieront pas de
licence professionnelle et seront par conséquent rétrogradés en Ligue 2
amateur», dixit Reda Abdouche,
président de la DCGF. Du coup, le spectre de la relégation se profile à
l'horizon pour le MCO.
En effet, la situation n'a pas évolué d'un iota au sein de la SPA/MCO où les actionnaires campent sur leur position de ne pas organiser l'assemblée générale, sans pour autant mesurer les graves conséquences que cela peut engendrer. Pour rappel, les responsables de la DCGF ont, lors de leur dernière visite à Oran, suggéré une feuille de route aux actionnaires leur permettant de trouver les solutions, mais en vain. Jusqu'à l'heure actuelle, aucune démarche n'a été effectuée dans ce sens, d'autant plus que la situation de la SSPA/MCO est ingérable et pleine de confusions. «Le problème de l'identité de l'actionnaire majoritaire risque de compliquer davantage la situation. Nous avons décidé de saisir officiellement le wali d'Oran pour éclairer quelque peu la situation, ce qui pourrait faire avancer les choses», nous a affirmé le président de la DCGF. Voilà où en est le MCO à la veille d'une phase retour qui s'annonce déterminante. Par ailleurs, nous avons a appris que la société Hyproc a été sollicitée par Cherif El-Ouazani pour la deuxième et dernière tranche du sponsoring évaluée à trois milliards de centimes. Là, il y a aussi risque de blocage. Les responsables d'Hyproc, après avoir versé une première tranche de cinq milliards et reçu en contrepartie un bilan de cette tranche, semblent réticents pour le reste. Pourquoi ? Il semble que le responsable de ladite entreprise aurait demandé, lui aussi, de faire face aux interlocuteurs officiels du MCO. Drôle de situation ! |
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