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Constantine - 3ème congrès de la Société africaine de physiologie et de physiopathologie: La nutrition en Afrique au cœur des débats
par A. Mallem ![]() Le troisième congrès international
de la Société africaine de physiologie et de physiopathologie se tient durant
trois jours, à compter d'aujourd'hui, au bloc pédagogique 500 places du campus Tidjani-Haddam de l'université Constantine ?1' des Frères Mentouri. Organisée avec la participation de l'université
?2' Abdelhamid-Mehri et l'université ?3' Salah-Boubnider, cette manifestation scientifique verra la
participation de scientifiques et universitaires venant des différentes régions
du pays mais aussi de nombreux pays africains et de France. Contacté hier, M. Dehinet Laïd, doyen de la faculté
des sciences de la terre et de la vie, nous a informé que six thèmes ont été
retenus dans ce troisième congrès et sont axés principalement sur « L'effort et
activité physique, la spécificité de la fonction cardiovasculaire de
l'Africain, le sommeil, la fonction respiratoire et l'environnement, l'obésité
et les maladies métaboliques et enfin la nutrition en Afrique : aspects
physiologique et physiopathologique». Et ces thèmes vont être abordés et
discutés par des scientifiques dans 12 conférences données en plénière par des
invités étrangers venant de pays africains et de France, 7 conférences qui
seront données et animées par des conférenciers nationaux et enfin 57
communications orales et 120 communications affichées qui seront faites par les
nombreux invités au congrès. Quant à la participation africaine, elle viendra
des universités du Togo, du Bénin, du Burkina Faso et de l'université d'Abidjan
en Côte-d'Ivoire ainsi que de la Tunisie, a ajouté notre interlocuteur. La participation
européenne va se limiter à l'université Descartes de Paris. Il y aura des
travaux dans 6 ateliers qui vont mettre l'accent d'une façon particulière sur
le thème de la nutrition en Afrique. Ce congrès va mettre en contact des
enseignants et des chercheurs des pays participants afin de procéder à des
échanges d'idées, d'expériences, etc. Il y aura aussi, selon notre
interlocuteur, des responsables de différents laboratoires et universités
africains. Et les résultats des efforts intellectuels et scientifiques qui
marqueront le congrès feront l'objet de recommandations qui vont servir de base
de travail au sein des institutions universitaires et scientifiques des pays
concernés.
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