Selon
le Coordinateur national du Conseil national des enseignants du supérieur (CNES),
la justice a débouté, «pour la deuxième fois», la demande émanant du «nommé Milat Abdelhafid pour invalider
notre congrès qui s'est déroulé le 12 janvier 2017, au profit du pseudo congrès
qu'il a organisé avec quelques dissidents, à Constantine», affirme Abdelmalek
Azzi dans un communiqué. Pour M. Azzi, cette décision de justice «dit
clairement» que M. Milat «n'a pas la qualité de
coordinateur national» du CNES. «Nous rappelons, aussi, que le Tribunal
administratif avait déjà refusé la même plainte», ajoute la même source.
«Le
conflit imaginaire mené par certains dissidents, à travers l'organisation d'un
congrès parallèle, à Constantine, et la tentative de détournement de notre
organisation par le recours à la justice, afin de contester la légalité du 5ème
Congrès ont échoué», ajoute le communiqué, appelant «tous les enseignants à
s'unir autour» du CNES «pour défendre une Université algérienne efficace».