Le Secrétaire
général (SG) du Front de Libération nationale (FLN), Djamel Ould-Abbès,
a appelé, hier, depuis Ouargla, les jeunes à «consolider l'édifice
institutionnel de l'Etat algérien et la pratique démocratique». Animant un
meeting à la maison de Culture ?Moufdi Zakaria', dans
le cadre de la 15ème journée de la campagne électorale, pour les prochaines
législatives, Ould-Abbès a appelé les jeunes à
«contribuer à la consolidation de l'édifice institutionnel de l'Etat algérien
et de la pratique démocratique, ainsi qu'à la concrétisation effective des
réformes globales prônées par le président de la République Abdelaziz
Bouteflika, pour la préservation de la cohésion du peuple algérien et de l'intégrité
territoriale du pays». Les réalisations, depuis 1999, constituent «une arme
pour affronter l'avenir», a lancé Ould Abbès, en direction des jeunes, les invitant à «adhérer en
force» au programme du FLN qui, a-t-il dit, «constitue un prolongement du
programme du président de la République, tire ses orientations de la
proclamation du 1er Novembre 1954 et accorde un grand intérêt au sud du pays».
Le SG du FLN n'a pas manqué de rappeler les réalisations enregistrées par la
wilaya de Ouargla depuis 1999, à l'instar de la faculté des Sciences médicales,
du centre anticancéreux, ainsi que le programme de pose d'implants cochléaires
aux enfants issus de familles démunies. Ces opérations de développement, a
défendu Ould-Abbès «ont pris forme, sous la conduite
du FLN» qui représente, selon lui, «le parti du président de la République et
de tous les Algériens». Un «parti qui s'emploiera à réaliser davantage
d'acquis», a-t-il ajouté. Evoquant la guerre de Libération nationale, Djamel Ould-Abbès a indiqué que «les actions menées par les
populations de Ouargla (soulèvement du 27 février 1962) et de tout le sud du
pays, sous la bannière du Front de Libération nationale, inspirent de la fierté
et de la détermination à poursuivre le combat de l'édification et de la construction».
Il a présenté, par ailleurs, sa formation politique comme étant «la colonne
vertébrale de l'Etat algérien», estimant qu'il est du devoir des Algériens de
«reconnaître le rôle de ce parti, dans la construction du nouvel édifice de
l'Etat algérien».