Mostaganem, cette ville
côtière de 280.000 habitants, construite début du siècle dernier,
principalement le centre-ville, enregistre chaque jour un flux important de
véhicules, estimé par les services concernés à plus de 120.000 voitures
quotidiennement, ce qui provoque l'étranglement de la circulation,
principalement les heures de pointe, conséquence de la la
présence de beaucoup de services vitaux à l'intérieur telles les banques, les
assurances, le marché couvert et autres, devenue génératrice de mouvement
automobile très dense, d'autant plus que la capitale du Dahra ne possède
toujours pas un parking à étages, ce qui complique davantage le stationnement
et la circulation des voitures à l'intérieur des grandes artères, telles
l'avenue «Ould Aïssa Belkacem», la rue de «Mazagran», alentours de «Square Boudjemaâ» et au niveau de la grande poste.
Un ancien responsable d'une
société étatique à la retraite nous explique à ce sujet «que cette situation
n'a jamais cessé de fermer l'image de cette belle ville, le meilleur espace
actuel pouvait servir de parking à étage et l'ex-maison «Simca» attribuée par
la suite à l'ex «Sonitex» fermé depuis, il offre
l'avantage d'être situé au centre-ville disposant de 3 étages pour
stationnement et pouvant accueillir plus de 450 véhicules» ; selon notre
interlocuteur, M. le wali Abdelwahid Temmar est vraiment sollicité pour la prise en charge de
cet épineux problème pour mettre un terme à l'asphyxie du centre-ville,
principalement après le lancement des travaux du tramway.