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Eau souterraine
ou de surface, la gestion du précieux liquide a de tous temps suscité colère et
contestation à cause des pénuries qui peuvent durer plusieurs jours.
Distribution parcimonieuse comme sur la bande frontalière ou eau saumâtre dans
les communes de Dréan, Besbès,
Chihani et Chébaita
Mokhtar. Dans une conférence de presse, le directeur des Ressources en eau
s'est voulu rassurant quant aux projets sensibles et de la plus haute
importance pour les habitants de la partie ouest de la wilaya et ceux de la
bande frontalière, en l'occurrence Bouhadjar et Aïn Kerma.
Le premier projet, d'un coût de 101 milliards de centimes dégagés par le Fonds national de l'eau, consiste en une nouvelle conduite en PHD et une autre en fonte sur 24 km, qui partiront depuis le barrage de Mexa pour alimenter les habitants de l'ouest de la wilaya, servis jusque-là en eau saumâtre. Le projet accuse déjà beaucoup de retard. L'autre projet, et pas des moindres, concerne la bande frontalière où un ensemble d'autres projets qui vont de l'alimentation électrique en passant par la station flottante, les conduites et le traitement, va permettre à certaines communes frontalières une meilleure distribution d'eau avec un débit qui va passer de 200 l/s à 400 l/s. Enfin, le directeur a indiqué que le secteur n'est pas touché par les mesures d'austérité et qu'une entreprise allemande va réaliser le projet de télégestion de l'eau. |
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