La
route reliant le quartier de l'USTO à la cité AADL 937 logements, communément
appelée ?cité Cosider' constitue un réel danger pour
les riverains qui la traverse, quotidiennement, pour rejoindre la station du
tramway ou les arrêts de bus et essentiellement, les habitants de la cité ?1.063
logements' location-vente mitoyenne de l'établissement hospitalier
universitaire 1er novembre. «Cet axe routier a endeuillé plusieurs familles de
cette cité. Des piétons sont renversés régulièrement, par des chauffards qui
sèment la terreur en roulant à tombeau ouvert. Nos enfants sont contraints de
traverser, tous les jours, cette route où il n'existe ni passerelle, ni passage
piétons, ni dos-d'âne pour ralentir la circulation. Depuis 2006, date de remise
des clefs des appartements de cette cité, nous vivons la peur au ventre au
quotidien. Nous traversons, chaque jour, cette route composée de deux voies
rapides où le risque d'accident nous guette en permanence. Nous avons déjà
perdu deux voisins : une femme et un homme, qui ont été fauchés par des véhicules
roulant à vive allure, sans oublier les blessés, dont l'un d'eux est handicapé
pour le restant de ces jours (?) En dépit de toutes nos requêtes aucune
réaction positive n'a été faite par les responsables de la commune de Bir El Djir. Nous avons lancé
récemment, une pétition pour exiger des responsables locaux des solutions pour
réduire le danger imminent qui guette la vie des habitants de cette cité. Nous
voulons des dos-d'âne pour obliger les fous du volant à ralentir la vitesse.
Nous réclamons aussi la matérialisation des arrêts de bus des lignes 11, 51 et
102 et l'installation d'abribus», affirme le délégué des habitants.