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La dernière
session ordinaire hivernale de l'assemblée populaire de la wilaya qui s'est
tenue dernièrement avait pour ordre du jour, la situation des logements en
préfabriqué réalisés après le séisme du 10 octobre 1980. Le directeur de
l'urbanisme et de la construction a présenté des logements en préfabriqué par
des constructions en dur, avec à l'appui des statistiques pour chacune des six
étapes.
Après la lecture du rapport, des élus sont intervenus pour aborder respectivement le problème des logements en préfabriqué dont ils ont souligné la persistance depuis 35 ans malgré l'aide financière directe accordée par l'état qui a été revue à la hausse, passant de 70 millions de centimes à 120 millions. Certains élus ont précisé que les demandeurs de cette aide ont augmenté en 2014 comparativement aux cinq précédentes années, mais le nombre demeure encore extrêmement faible par rapport au parc logement en préfabriqué. Deux élus ont proposé «un travail de proximité pour de plus amples informations et explications». Une élue a pointé du doigt la bureaucratie. «En toute objectivité et toute franchise, la bureaucratie constitue un facteur de blocage. De ce fait, les directions concernées doivent jouer pleinement le rôle qui leur est dévolu». Une autre élue a abordé le problème des matériaux de construction». Un des facteurs du faible engouement est le déficit des matériaux de construction sur le marché local». Un élu a posé le problème des lignes électriques. «Pour les occupants de logements en préfabriqué survolés par les lignes électriques, le permis de construire leur est refusé». Le wali dans son intervention a rappelé la loi régissant les logements de fonction tout en précisant le cas où l'occupant peut bénéficier de l'aide en question et les cas où il ne peut pas en bénéficier. Pour les héritiers, il a précisé qu'ils doivent présenter un certificat d'urbanisme délivré par l'APC concernée pour pouvoir bénéficier de cette aide. |
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