Le parc immobilier
de la wilaya d'Aïn-Temouchent, naissant au lendemain du recouvrement de
l'indépendance et de la souveraineté du pays, a été ainsi renforcé, depuis
2005, à la faveur de deux programmes quinquennaux (2005-2009) et (2010-2014),
par 31.748 logements publics sur un total de 35524, toutes formules de
construction confondues, a indiqué un communiqué du secteur de l'habitat, sans
pour autant énoncer le total de l'investissement financier. A la lecture de ces
chiffres, on estime le ratio atteint à 89%. A ce titre, l'OPGI d'Aïn-Temouchent
a eu à réaliser 14.684 logements ruraux (LR) et 9.490 logements publics
locatifs (LPL). La même source d'information fait état de la livraison de 7.010
logements socio-participatifs (LSP), 1.490 unités dans le cadre de la
résorption de l'habitat précaire (RHP), 1.800 logements publics aidés (LPA),
1.000 unités au titre du programme AADL acte II et de 50 autres de fonction
pour le campus universitaire. Toujours, à la faveur des deux programmes
quinquennaux, il est prévu la réception de 3.192 logements à Aïn-Temouchent,
1.035 autres unités à Sidi-Benadda, 2.472 à Aïn El-Kihel, 2.605 à Béni-Saf (+
Sidi-Safi), 3.026 à Oulhaça (+ Sidi-Ouriache), 3.871 à El-Malah (Chaabet-El-Leham,
Ouled-El-Kihel et Terga, y compris), 2.992 à Hammam-Bouhadjar (Chentouf,
Oued-Berkeche Hassasna y compris) et 540 à Aïn-Larbâa (Oued-Sebbah, Sidi
Boumediene et Tamzoura y compris). Il sera procédé aussi, avant la fin de
l'année 2014, à la distribution de 6.169 logements LSP, à travers 12
différentes communes de la wilaya. On indiquera aussi que, dans le cadre du
programme AADL acte II, 1000 souscripteurs bénéficieront bientôt de leurs
logements. Enfin, on n'a pas manqué de signaler que plusieurs cas de litige,
entre des entrepreneurs défaillants et des souscripteurs, sont toujours devant
les tribunaux.