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Difficiles vainqueurs à domicile (1-0) face à l'ASEC Mimosas (Côte
d'Ivoire), lors du match aller des huitièmes de finale de la Coupe de la CAF,
les Constantinois du CSC, qui se trouvent à Abidjan depuis quatre jours déjà,
aborderont la seconde manche cet après-midi sur la pelouse du stade Félix
Houphouët-Boigny face au même adversaire, avec la ferme intention d'arracher la
qualification. Le fait d'avoir rallié la capitale
ivoirienne, très tôt, a permis aux Sanafirs d'anticiper d'éventuels aléas qui
pouvaient surgir au cours de leur séjour. Cela leur a permis de s'habituer
également au climat très humide de la Côte d'Ivoire. D'aucuns estiment que
l'ASEC Mimosas est la véritable bête noire des clubs algériens.
Pour preuve, toutes les précédentes confrontations livrées à ce jour par les Mimosas de l'ASEC, ont systématiquement tourné à leur avantage, chaque fois qu'ils ont affronté un représentant de notre pays. Le CSC est donc face à une double opportunité, celle de renverser la tendance mais aussi et surtout arracher la qualification au tour suivant. Pour le technicien français, Bernard Simondi, le fait d'avoir à sa disposition un effectif complet constitue un atout non négligeable, lui qui s'est souvent retrouvé devant l'obligation de remanier à chaque fois son effectif cette saison, en raison des blessures de joueurs. Quant aux objectifs des Constantinois à Abidjan, ils sont clairs. D'ailleurs, il faudra coûte que coûte éviter d'encaisser des buts, puis aussi espérer bousculer la défense locale afin de trouver la faille, ce qui serait le scénario idéal pour les camarades de Boulemdaïs. |
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