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Tous les
programmes de développement, qui ce soit ceux inscrits au titre de la relance
économique ou dans le cadre de l'amélioration du cadre de vie des citoyens,
outre ceux des Hauts Plateaux, n'ont été à même de profiter au centre-ville de
Mécheria dont les artères principales (rue du 1er Novembre, rue Colonel Lotfi,
rue Moulay Ali?) se trouvent dans un état de dégradation avancé avec des
bordures de trottoirs qui datent des années 40 et qui, sous le poids de l'usure
et de la vétusté, se sont confondues avec les chaussées, des chaussées
raccommodées en plusieurs endroits mais au milieu desquelles se trouvent des
nids-de-poule qui donnent du fil à retordre aux automobilistes de passage. Tous
les riverains en ont fait le constat désolant. A défaut d'aménagements
planifiés, certains commerçants ont pris l'initiative de construire chacun son
trottoir sans respecter les normes suggérées par les instruments de
l'urbanisme.
AINSI DONC, LES
PIETONS QUI EMPRUNTENT LA RUE DU 1ER NOVEMBRE, A TITRE D'EXEMPLE, NE SE FONT
GUERE PRIER POUR DECOUVRIR DANS CETTE MEME ARTERE UN TROTTOIR A DIFFERENTS
NIVEAUX QUI GENE CONSIDERABLEMENT LES PERSONNES AGEES. LES QUELQUES PLACES
PUBLIQUES DU CENTRE-VILLE, A LEUR TOUR, NE SONT PAS EPARGNEES PAR LA VETUSTE ET
LA DEGRADATION. LA PLACE DES MOUDJAHIDINE AVEC SON VIEUX REVETEMENT ET SON CARRELAGE
A MOITIE DECOLLE OFFRE AUX VISITEURS UN VISAGE HIDEUX. NON LOIN DE LA, LA PLACE
DE L'ANCIENNE EGLISE EST DANS UN ETAT TEL QUE TOUT CITOYEN QUI PASSE DE CE
COTE-LA NE FERA QUE CONSTATER L'ABANDON DANS LEQUEL ELLE SE TROUVE. D'APRES NOS
RENSEIGNEMENTS, UNE OPERATION D'AMENAGEMENT ET D'EMBELLISSEMENT A ETE INITIEE
EN SA FAVEUR PAR LA DUCH DE NAAMA DEPUIS 2011 MAIS LES TRAVAUX N'ONT JAMAIS PU
PARVENIR A LEURS FINS, EN RAISON, NOUS DIT-ON, D'UN DIFFEREND OPPOSANT LE
MAITRE D'OUVRAGE ET L'ENTREPRISE DE REALISATION, UN DIFFEREND QUI N'A TOUJOURS
PAS TROUVE UN DENOUEMENT HEUREUX.