Actuellement une véritable course contre la
montre s'opère pour achever les travaux du lycée et du CEM, deux établissements
relevant des localités de Tamazourah et de Aïn el Beïda (Hammam Bou Hadjar). Il se trouve que
l'entreprise qui réalise ces projets doit les achever avant la rentrée scolaire
2011-2012. Cette dernière accuse des retards qui, selon des responsables locaux,
peuvent hypothéquer la carte scolaire et les objectifs fixés aussi bien par le
maître de l'ouvrage que celui de l'œuvre. Ces deux ouvrages sont constamment
visités par le secrétaire général de la wilaya et l'autorité de la daïra car
s'ils ne sont pas prêts à la prochaine rentrée scolaire, la situation serait
aggravée par l'augmentation des effectifs d'une part et la surcharge des
infrastructures accueillantes de pas moins de 500 élèves devant se déplacer au
lycée (l'unique) de Aîn el Arbaa,
chef-lieu de daïra et à Hammam Bou Hadjar. Lors de la dernière visite, le SG de la wilaya a
demandé à l'entrepreneur de renforcer les moyens de réalisation pour livrer le
lycée de Tamazourah devant recevoir pas moins de 200
lycéens venant des localités secondaires et chef-lieu de la commune de Oued Sebbah qui est distante de 15 km de Tamazourah.
Selon d'autres sources, l'entrepreneur a évoqué en toute vraisemblance le
problème des villes de la wilaya de Sidi Bel-Abbes. Ce
point précis ne concerne que l'entreprise et n'est point compris dans les
clauses du marché. Interrogé le SG de l'APC de Tamazourah reste optimiste si toutefois l'entreprise
renforce le chantier. Ce dernier exige le paiement des situations en instance.