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Malgré le soutien indéfectible de la
direction des PME/PMI et ses responsables respectifs ainsi que les exonérations
fiscales et parafiscales, des jeunes entrepreneurs éligibles aux différents
crédits (ANSEJ, ANGEM, CNAC etc.) risquent de mettre la clé sous le paillasson
dû à la menace de leurs créanciers à savoir les banques.
Celles-ci restent particulièrement inflexibles en ce qui concerne les délais de remboursement et rappelant à ces jeunes clients les dates d'expiration de ses avantages. En effet, il s'agit là de projets pourtant garantis par le FGAR, ce fonds constituant le maillon peu sollicité dans le financement tripartite et qui peut en ultime partenaire secourir les entreprises en difficulté. Elles sont ainsi plus de 800 dossiers qui ont atterris sur le bureau de leur union nationale. Les jeunes promoteurs qui sollicitent l'intervention de l'exécutif de la wilaya, manifestent leur souci celui d'être reconsidérés à leur juste statut c'est-à-dire que l'on ne peut exiger à présent de hautes qualifications lorsqu'ils soumissionnent pour des projets à leur portée, qu'ils peuvent réaliser surtout en sous-traitance avec des entreprises de même calibre, ce que font des multinationales maintenant. |
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