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Sidi Bel Abbès : L'APC interpellée lors d'un prêche

par M. Kadiri

La gestion des bâtiments, infrastructures commerciales bénéficie, comme on le sait, d'une prise en charge financière et matérielle des services administratifs et financiers de l'APC.

Les cimetières, les écoles et les mosquées y sont ainsi concernées... mais de là à entendre, de source des plus dignes de foi, qu'un imam, vraisemblablement ulcéré par le non suivi des imminentes préoccupations de sa mosquée, saisir l'opportunité de la prière collective du vendredi passé pour lancer son appel, tout en citant les références de ses envois écrits quant à l'éclairage public, la peinture qui font défaut en cette mosquée qui fut inaugurée par Monsieur Tedjini Haddam, alors ministre des Affaires religieuses, après des efforts déployés par une âme charitable qui avait construit cet édifice en droit de regards. Et ce n'est pas seulement l'imam qui insiste sur cela.

Les fidèles nombreux du quartier populaire Abbou où elle est située sont du même avis. En effet, l'imam en question pensait, ce vendredi-là, saisir le passage d'un responsable local. Hélas, ce dernier a fait son devoir religieux dans un autre site. Mais les commentaires sont allés bon train et des questions fort lancinantes se posèrent sur ces dysfonctionnements répétitifs où les citoyens, pas en panne d'imagination fertile, usent de tous les procédés pour se faire entendre par les pouvoirs publics et par les élus en général. Cette mosquée comme tant d'autres écoles, relève-t-on, attendent réhabilitation pour le bien des élèves, enseignants et des fidèles qui les fréquentent.