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Après l'euphorie de la victoire arrachée avec le cœur contre les
Egyptiens d'El Ismaily, suivie de deux jours de repos, les bourreaux des
Pharaons cette saison ont repris du service hier après-midi, à partir de 17
heures, au stade du 1er Novembre de Tizi Ouzou. Un retour à la besogne avec en
point de mire le dernier match de la phase de poules qui attend les camarades
de l'excellent Nessakh au Nigeria face à Heartland. Une sortie qui ne sera en
fait qu'une simple formalité pour la JSK. Les Canaris ayant déjà assuré leur
fauteuil de leader dans ce groupe avec beaucoup de brio, l'occasion est donnée
au coach Geiger et son adjoint Bouhellal de faire tourner leur effectif. Une
belle opportunité pour les réservistes qui auront à cœur de montrer ce dont ils
sont capables le 19 septembre prochain, à l'image de Cherif El Ouazzani,
Berefane, Remache, Yalaoui, Berchiche et autre Azuka.
Toutes griffes dehors après un parcours sans faute, les Lions du Djurdjura brûlent d'impatience pour rugir encore plus dans ce fabuleux challenge en attendant, bien sûr, de faire une entrée fracassante en championnat national, le 24 de ce mois, contre l'ASK. Et c'est dans cette optique que le groupe ne ménage aucun effort pour préparer la demi-finale de la ligue des champions. Les camarades de Coulibaly affichent sans complexe leurs ambitions de remporter le trophée de la plus prestigieuse des compétitions africaines. Le seul qui manque à la vitrine des Kabyles et qui fait rêver Hannachi plus que tout autre amoureux des couleurs du club. Les poulains de Geiger, plus adulés que jamais par leur public qui s'est réconcilié avec eux, ne jurent, à l'image de Aoudia, que par le sacre final. Un objectif, le moins qu'on puisse dire aujourd'hui, à portée de mains vu ce qu'ils ont démontré face aux ténors du football égyptien, le Ahly et El Ismaily. Le sans-faute des Kabyles, dont la touche du coach Geiger en parfaite collaboration avec son second Bouhellal doit être mise en évidence, donne déjà à réfléchir pour ne pas dire des inquiétudes au prochain adversaire en demi-finales. Le dernier coaching opéré contre les Pharaons d'El Ismaily a encore une fois confirmé la bonne vision des choses ou la maîtrise du sujet par le Suisse. |
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