La cité dite des
«400 logements» à Tébessa a bénéficié, en 2005, d'une enveloppe financière de
05 milliards de centimes, allouée pour son embellissement et son aménagement:
réfection des trottoirs et chaussées, remise en état du réseau des eaux usées
et pluviales et autres espaces verts. Or, il se trouve d'après certains
habitants du quartier en question que ces opérations tournent au cauchemar une
fois les travaux «achevés», la preuve en est l'amoncellement des déblais
abandonnés en l'état par l'entreprise réalisatrice des travaux, qui, à la
longue deviennent un véritable casse-tête pour les locataires, dans la mesure
où les monticules de gravats se sont transformés en dépotoirs, foyers nocifs
d'insalubrité touchant directement la santé des riverains. Ajoutant à cela,
l'absence d'éclairage public, quasiment depuis le lancement des travaux en
2005.