Les deux mères de faille D.Mimouna (45 ans)
et B. Mokhtaria (35 ans), qui observent une grève de la fin depuis décembre
2008 après des séjours alternés à l'hôpital Ahmed Medeghri, ne semblent pas
émouvoir les autorités locales en dépit de la dégradation de leur état de
santé. Les deux travailleuses, du filet social, revendiquent un changement de
statut professionnel (vacataires) pour pouvoir subvenir aux besoins de leurs
familles respectives. La LADDH interpelle les pouvoirs publics et les autorités
nationales pour mettre un terme au calvaire des infortunées.