Les succès probants et distinctions raflées
par l'Association «Bachair Chifaa» et son éminent Cheikh Hadj Belahmar,
notamment lors de colloques et séminaires internationaux, Abou Dhabi, Berlin,
entre autres, et son périple programmé aux Etats-Unis, reposant sur son
entretien avec un autre Algérien non moins valeureux ayant monté ses galons,
sous serment d'Hippocrate en ce qui le concerne, de médecin de la
Maison-Blanche, le Pr Lies Zerhouni en l'occurrence, ont donc valu à cette
association, unique en son genre mais doublement agréée, regroupant aussi bien
des hauts cadres et magistrats que de simples gens profanes, toute la
considération et l'estime des responsables à différentes échelles. Et, la
récente décision du wali de Relizane d'affecter une assiette de terrain, une
poche urbaine inestimable du Mont Viso de près de 500 m², convoitée par ces
«insatiables» du foncier jusqu'à y pointer des piliers de clôture, au profit de
la direction des Affaires religieuses qui en a cédé le bénéfice à «Bachair
Chifaa» en est une preuve. Il y est question de construire outre son siège
administratif, une maison coranique, une pouponnière d'éducation aux valeurs de
l'Islam mais surtout une clinique avec des blocs opératoires dignes de celles
des grands hôpitaux où se relayeront spécialistes et chirurgiens membres ou
simples sympathisants de l'association pour opérer au moindre coût prenant en
charge les malades de couches sociales défavorisées côtoyant un pavillon
moderne de médecine coranique, médecine complémentaire préfère Cheikh Belahmar,
qui voudrait taire les supputations des uns et des autres sur la propriété de
ce terrain des Waqfs dont la décision d'attribution précise, dans son article
2, il ne saurait être utilisé à d'autres fins que celles prévues par la
réglementation faute de quoi, les organismes de contrôle de la DUC ou
l'administration des Affaires religieuses se réservent le droit de récupérer ce
bien, terrain d'une expérience inédite d'une approche «hybride» associant les
thérapies prophétiques actualisées, les phytothérapies moyenâgeuses et la
médecine contemporaine. Côté finances, on prévoit un montage tripartite ou les
dons et legs, voire partenariats sponsorisés dépassent de loin l'AP initiale de
6 milliards de cts prévus par la DPAT, qui reconnaît enfin Dieu et ses Saints,
sur un délai de deux années.