Le ministre des Finances, bien qu'il n'ait pas voulu s'étaler sur le
partenariat conclu récemment entre quatre firmes allemandes, le fonds
d'investissement et une société émiratie Aabar pour la construction automobile
en Algérie, précisera que « ce partenariat concerne toute une gamme de véhicules
et d'engins de travaux publics qui seront produits localement ». Djoudi a tenu
à souligner que « c'est de l'intégration, ce n'est pas uniquement du montage».
Une intégration jusqu'à quel niveau ? lui est-il demandé. «Une intégration sur
les pièces essentielles», a-t-il répondu en affirmant que «le dossier est
ficelé. C'est en phase de montage sur le terrain». Djoudi ne manque pas de
noter que « c'est fait avec des grandes marques allemandes comme Mercedes ou
Mann. C'est bon de voir qu'on a les possibilités de le faire, mais seulement il
faut qu'on puisse fixer un certain nombre de règles».