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Le vice-président du CAB, Kamel Farhi, est considéré dans l'entourage du
club comme la cheville ouvrière et l'un des artisans de cette accession. Son
rôle a été primordial dans la réussite du club batnéen.
Le Quotidien d'Oran: Le CAB vient de retrouver l'élite. Peut-on connaître votre sentiment ? Kamel Farhi: L'accession est le fruit d'un long travail. Je qualifierai cette accession d'historique car réalisée dans des circonstances un peu particulières avec cette rencontre décisive contre le PAC, une équipe redoutable et soutenue par une forte galerie algéroise. Heureusement que nos joueurs se sont surpassés dans cette rencontre en arrachant le nul, synonyme d'un retour parmi l'élite. Q.O.: Avouez que vous êtes revenus de loin dans le championnat... K.F.: Il faut souligner que ce n'est qu'après l'arrivée de Benyellès que l'équipe avait commencé à carburer. A l'aller, on avait perdu huit points à domicile et de plus l'argent nous a fait cruellement défaut, les autorités de la ville ayant mis beaucoup de retard pour nous venir en aide. Q.O.: Allez-vous tenter de retenir Benyellès, sachant qu'il est partant ? K.F.: On n'a rien décidé concernant la barre technique. On va savourer comme il se doit cette réussite, avant de se remettre au travail dans les plus brefs délais afin de préparer la prochaine saison. |
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