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«La déontologie dans le domaine de l'information et de la communication,
entre la formation théorique et la réalité du terrain » était le thème d'une
journée d'étude organisée, hier, à l'Institut des sciences d'information et de
communication, à l'occasion de la célébration de la Journée mondiale de la
liberté d'expression, qui coïncide avec le 3 mai de chaque année.
Animée par des journalistes et des professionnels de la presse écrite et de l'audiovisuel, la rencontre a été divisée en trois thèmes, à savoir la déontologie dans le domaine de l'information et de la communication, le monde audiovisuel en Algérie et la liberté de l'expression du point de vue de l'Islam. Selon le doyen de la faculté des sciences humaines et de la civilisation islamique, M.Belkacemi Boualem, les débats ont été axés sur les limites de la liberté d'expression, la définition de la liberté d'expression et les textes de loi. Les orateurs ont également abordé les relations des médias avec les problèmes de société et de la bonne gouvernance. Notre interlocuteur a ajouté qu'il y a une certaine presse qui veut avoir plus de lecteurs et réaliser plus de vente, ceci au détriment de l'information et en nuisant parfois à la société et au personnes, ce qui est contraire aux règles de déontologie élémentaires régissant la profession. D'autre part, et à la même occasion, le Rassemblement national démocratique a organisé hier une cérémonie en l'honneur des représentants des médias. Le regroupement a eu lieu à l'hôtel Président. |
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