La cité Khater, de l'ancienne Amrous, ne
supporte pas l'obscurité, «source de maux et de fléaux», dira un habitant
sollicité à travers l'association du quartier, l'intervention des responsables
municipaux pour réparer et réhabiliter l'éclairage public défaillant en
certains endroits et artères de la cité.
Bien que l'APC soit disponible «quant à
l'amélioration du cadre de vie et pour répondre finalement aux doléances
citoyennes, il n'en demeure pas moins que le civisme et la vigilance sont de
rigueur car plusieurs lampes, lampadaires et réverbères ont été la cible de
dégradations volontaires, d'actes irresponsables ou de simples jeux d'adresse
de gamins insouciants», est-il déploré.